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 carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue

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Carolina B. Di Brolese
Carolina B. Di Brolese
« ils s'instruisent pour vaincre »

AGE : 23 ans
MESSAGES : 281
ARRIVÉE LE : 08/03/2011
EMPLOI : universitaire sur-diplomée et pilleuse de tombes.
ADRESSE : 6 via di sant'erasmo - monti, esquilino
QUOTE :

AVATAR : daria werbowy
POINTS : 224

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DISPO POUR UN SUJET ?: et ta soeur ?

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MessageSujet: carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue   carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue EmptyMar 8 Mar - 1:58

di Brolese Carolina Barbara

carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue 9zt5ko
NAPHTALINE.
FT. DARIA WERBOWY


PRÉSENTE-TOI MON GARS. mon nom c'est di brolese et carolina c'est l'intitulé qu'on m'a collé à ma naissance en Sardaigne. J'ai 23 ans et je suis célibataire. Vous avez entendu parler de mes parents ? pas normal ! Ils sont inintéressant au possible et morts. Et quand à moi, je suis universitaire et chasseuse de trésors oubliés.
.

T'ES A ROME DEPUIS LONGTEMPS ? Depuis quelques années, le temps de passer un énième diplôme et de finir par m'installer. ET NIVEAU SEXE OPPOSÉ, COMMENT ÇA SE PASSE ? A votre avis ? Je n'ai pas trop de problème à ce niveau là, et je ne suis clairement pas réfractaire à la chose.ET LA FAMILLE, SISI BIEN OU QUOI ? On va faire court : j'ai pas de famille. Mes parents sont morts et le reste de famille inexistante. Voilà. ET TON RAPPORT AVEC LE FRIC ? Quand j'en ai besoin, je trouve le moyen de m'en procurer. Et le passe-temps que j'ai choisi m'aide pas mal à ce niveau-là.

C'EST MON HISTOIRE.
.
.
Il grimpait à flanc de colline depuis un petit moment, luttant contre les branches que son assistant lui renvoyait systématiquement en pleine tronche. Il se demandait si ce geste n’était pas délibéré, surtout qu’il le ponctuait régulièrement d’un « désolé, boss » qui sonna faux au bout de la deuxième fois, alors à la dixième… Déjà qu’il n’était pas là pour le plaisir, que ce voyage au fin fond du trou du cul du monde il le subissait, tout comme il subissait son assistant, il fallait, en plus, que cet idiot de chef de site demeure introuvable. Il n’aurait pas pu se trouver dans la vallée, comme le reste de l’équipe ? Non, il fallait aller le dénicher dans cette stupide forêt qui grimpait sec, sous cette bruine désagréable qui le trempait jusqu’aux os. Encore un excentrique. C’était forcément un excentrique. Il les détestait, ces crétins qui mouillaient pour un vulgaire caillou que lui-même ne parvenait à différencier d’un autre. Qu’y avait-il de plus ressemblant à une pierre, qu’une autre pierre ? Rien ! Définitivement, il ne comprendrait jamais rien à ces gens-là. Comme l’autre idiot, en bas, dans la vallée, qui lui avait tenu la jambe pendant une heure en s’extasiant devant des trous de poteau. Des trous de poteau ?! Quel intérêt cela pouvait avoir ? Ses mocassins à glands s’enfonçaient dans la terre meuble et détrempé. Il manqua glisser, et se rattrapa in extremis à une branche, évitant la chute de justesse. Il n’était pas équipé pour cette expédition à la con. Personne ne lui avait dit qu’il aurait à faire le guignol en pleine forêt. Il était censé se contenter d’une visite officielle en bon représentant officiel qu’il était. Mais en bas, on l’avait prévenu : si on n’allait pas chercher le chef de site, le chef de site ne viendrait pas vous chercher. Visiblement, c’était le genre de tordu à se prendre pour Indiana Jones et faire cavalier seul pendant des journées complètes sans jamais donner signe de vie. Il avait jugé préférable d’aller le chercher plutôt que de devoir attendre, dieu sait combien de temps, dans les constructions précaires que l’équipe avait installée, où on risquait de chopper la gangrène rien qu’en s’installant sur un de leurs sièges en toile. Mais finalement, après une vingtaine de branche dans la tronche, trois glissade, son manteau en cachemire sur mesure trempé, et le bas de son pantalon maculé de boue, il se disait que la gangrène n’était peut être pas le pire des maux. Il était sur le point de ravaler sa fierté en annonçant à son assistant qu’il préférait rentrer au camp, quand ce dernier se mit à agiter les bras frénétiquement. « Là, boss ! » S’accrochant à une branche pour le rattraper et se hisser à sa hauteur, il suivit la direction de son doigt, et repéra au bout d’un moment la parka verte, capuche relevée accroupie dans une dépression naturelle du terrain. Alors c’était ça qu’on l’avait envoyé quérir ? Un surdoué surdiplômé, éminent spécialiste de l’Europe au cours de ses différentes époques, qui prenait son pied en crapahutant dans la boue. Génial, le dialogue s’annonçait fort sympathique. Fallait-il lui parler en latin ?
« Di Brolese ? » Appela-t-il en grimpant les derniers mètres péniblement. « Professeur Di Brolese ? ». La capuche verte se tourna de trois quart, leur jetant un regard surprit et agacé.
« Qu’est-ce que vous lui voulez ? » Lui répondit en français une voix féminine à laquelle il ne s’attendait pas. On lui avait dit que l’homme serait seul, pas qu’il serait accompagné d’un pit-bull féminin. Putain, il avait pas de temps à perdre avec une foutue gonzesse, encore moins si c’était une tarée férue d’Histoire avec le cheveu gras et les sourcils en jachère. Il ferma les yeux, lâcha un soupir à fendre l’âme et observa la parka verte se redresser en se frottant les paumes l’une contre l’autre. « Vous lui voulez quoi ? » Répéta-t-elle en s’approchant.
« Vous savez où est le professeur, mademoiselle… ? » Insistant sur la dernière syllabe traînante, il cherchait à connaître l’identité de cette chieuse dont il ne distinguait que sa parka immonde et une paire d’yeux bleu perçant qui semblaient vouloir sonder son âme. « Je suis envoyé par l’Agenzia Nazionale di Ricerca. » Ajouta-t-il comme pour se donner plus de poids et d’importance afin qu’elle comprenne qu’il n’était pas là pour jouer aux devinettes avec une gamine qui devait être à peine plus âgée que sa propre fille. Encore une étudiante volontaire qui vivait son job d’été comme une mission quasi divine.
« Carolina di Brolese. » Annonça-t-elle alors en lui tendant une main maculée de terre sèche. Surprit, il observa sa main aux ongles noires, avant de remonter vers son visage toujours dissimulé dans l’ombre de sa capuche.
« Carolina di Brolese… heu… comment ça ? Vous êtes parent du professeur, ou bien… ? » Il n’eut pas le temps de terminer cette phrase qui, soyons honnête, ne méritait pas vraiment d’être achevée. La jeune femme, qui avait fini par essuyer sa main sur son jean crasseux, lui coupa la parole.
« Y a qu’un seul di Brolese ici, et c’est moi. L’Agenzia vous a-t-elle à ce point mal renseigné ? » Elle avait automatiquement basculé en italien. « Et je ne suis pas professeur. Docteur, à la rigueur, si vous tenez tant à un titre honorifique, mais sinon je me contente assez bien de mon prénom. » Elle se recula, sans plus leur prêter attention, et tira une bâche sur son trou où gisaient toujours ses outils, plaça quelques pierres pour la faire tenir en place, puis s’empara d’une sacoche qu’elle passa en bandoulière autour d’une épaule. « Bon, si nous retournions au campement, afin que vous m’expliquiez autour d’un café pourquoi Rome m’envoie deux bureaucrates en mocassin en pleine forêt française ? »
Quoi ? Il allait devoir redescendre tout ce qu’ils venaient de monter, là ? C’était une blague ? Il allait réellement falloir revoir son salaire à la hausse.

Finalement, il ne voyait plus trop de ressemblance avec sa fille. Mais alors vraiment plus aucune. Lorsque la jeune femme avait pénétré dans le préfabriqué principal, suivie de près par les deux hommes, les bénévoles qui s’y trouvaient étaient sortis sans faire d’histoire, les laissant seul dans cet espace relativement réduit, très peu confortable, mais qui avait le mérite d’être sec et de les protéger du vent frais. Elle avait immédiatement tombé la capuche, révélant une chevelure aux reflets dorés qui n’avait rien de gras. Et lorsque ce fut au tour de la parka de tomber, elle révéla un corps qu’il n’aurait jamais imaginé chez un de ces binoclars poussiéreux. Pourtant, elle portait un vieux jean trop large et un pull de plusieurs années d’âge, le tout sale et en mauvais état. Et malgré tout, il émanait quelque chose de cette femme qui poussa le quarantenaire à nourrir des pensées hors de propos. Alors, elle se tourna vers eux, et ce fut pire encore. S’il avait du, un jour, donner un visage à la Tentation, c’est le sien qu’elle aurait eu. Mal à l’aise dans son siège en toile, il gigota, dégluti difficilement, et tenta de regarder ailleurs, n’importe quoi du moment que ce ne soit pas cette femme, cette jeune femme. Quel âge pouvait-elle avoir ? Clairement, elle n’avait pas la trentaine d’années que supposait son ahurissante collection de diplômes.
« Quel temps ! » lâcha-t-il pour rompre le silence. Il n’avait rien trouvé de mieux à dire, et ce n’était pas faute d’avoir essayé.
« Bienvenu en France. » Lui répondit-elle, amusée, en lui glissant une tasse fumante sous le nez, alors que déjà son assistant recrachait son café dans la sienne.
« C’est quoi, ça ? » S’indigna-t-il, grimaçant, avant d’éloigner l’objet du délit loin de lui.
« Bienvenu en France. » Répéta-t-elle, franchement amusée cette fois. Visiblement habituée, elle siffla le sien d’une traite. « Alors, signore Canella, que me veut l’Agenzia ? Je suppose que vous n’avez pas fait tout ce chemin pour une simple visite de courtoisie, d’autant que ce chantier ne dépend pas de Rome, mais de Paris. »
« Un chantier de fouilles. »
« J’en ai déjà un. » Lui répondit-elle en écartant les bras comme pour englober un espace invisible uniquement composé de ce préfabriqué miteux, bien loin du glamour d’Indiana Jones ou de Lara croft.
« Il s’agit de quoi au juste ? » Demanda l’homme en se levant pour observer le chantier de fouille par la fenêtre.
« Une abbaye du XVIIème siècle. » Dont il ne restait plus que les ruines de l'abbatiale et un pan de mur qui appartenait à l'aile ouest du cloître.
« Que s’est-il passé ? » Insista l’homme, faussement intéressé, les deux mains dans le dos, se balançant nonchalamment d’avant en arrière.
« La Révolution Française. »
« La France croule sous les vieux cailloux. » Il venait d’énoncer ça comme s’il eut s’agit d’une insulte, comme s’il nourrissait personnellement des griefs contre ces français et leur patrimoine historique.
« Tout comme l’Italie croule sous les vieux temples. » Rétorqua-t-elle, piquée au vif.
« Justement, on vous propose un chantier exceptionnel ! » S’emporta-t-il avec passion. Elle leva les yeux au ciel, s’attendant visiblement à ce genre de répartie. Tout était toujours « exceptionnel » avec ses concitoyens. « Vraiment, exceptionnel. » Enfonçait-il le clou. « Un chantier encore jamais exploité, un chantier réellement important, en plein Rome ! »
« Ce n’est pas mon époque de prédilection, vous devriez le savoir. » Malgré ses nombreux diplômes, elle ne s’était jamais réellement intéressée à l’antiquité, elle lui avait toujours préféré la période contemporaine et parfois moderne. Elle avait étudié diverse période, et était considéré comme une touche à tout, mais elle était une sommité dans l’ère napoléonienne, c’est ce qui avait, en partie, fait sa réputation.
« Je pense que vous ferez une exception pour cette fois. »
« Qu’importe votre fouille, je suis retenue ici encore deux mois. Rome attendra. »
« Il ne s’agit pas a proprement parler de Rome, et je crains qu’on ne puisse faire attendre la personne qui vous demande. »
« Qui ? Pourquoi moi ? » Pourquoi elle ? C’était une bonne question qu’il avait mainte fois posé. Il existait d’éminents spécialistes à Rome, des archéologues disponibles, des archéologues prêts à vendre père et mère pour fouiller à cet endroit. Mais non, c’était elle qu’ils voulaient, cette enfant capricieuse et bornée avec la beauté du Diable.
« Je n’ai pas la réponse à cette question. Je sais juste que vous ne pouvez refuser pareille invitation. » Elle avait quitté Rome plusieurs semaines plus tôt, justement parce qu’elle en avait plus qu’assez de ces colonnes doriques, ioniques ou corinthiennes qu’on lui foutait sous le nez avec excitation. Elle avait ressentit le besoin de voir autre chose, de fréquenter d’autres gens, de fouiller ailleurs, même si ça voulait dire en plein milieu d’une forêt humide où les premiers signes de civilisation ne se situaient pas à moins de cinq kilomètres. Pourquoi retournerait-elle à Rome ? On avait découvert un nouveau type de colonne hyper rare ?
« Développez. » l’invita-t-elle a poursuivre en moulinant du bras, alors qu’un sourire victorieux s’étalait sur les lèvres du bureaucrate.
« Le Vatican. » Bam, premier choc, Carolina en posa sa tasse vide. « On cherche la tombe de Saint Pierre. » Ok, il allait lui falloir un siège. « Le Saint Siège vous autorise à composer une équipe de six personnes. Vous avez huit semaines, pas une de plus. Après ça, qu’importe le résultat, vous serez chassée des lieux. »
« Pourquoi ? » Parvint-elle à articuler, courbée en deux dans son fauteuil pliant. A cette question non plus, il n’avait pas de réponse.
« Vous êtes catholique, mademoiselle di Brolese ? »
« Si vous me faite entrer au Vatican, je serais ce que vous voudrez que je sois ! »


    YOU LIKE. I DON'T
  • Plat préféré : la sole meunière
  • Couleur Préférée : l'or
  • Livre Préféré : « La genèse de Napoléon : sa formation intellectuelle et morale » J.B. Marcaggi (1902)
  • Musique Préférée : classique
  • Boisson Préférée : champagne et coca zéro
  • Parfum de Glace Préféré : on s'en fout
  • Odeur Préférée : Philosykos
  • Endroit Préféré : Vatican
  • Saison Préférée :printemps
  • Pays Préféré : France
  • Other ? : rien à signaler, à part : je suis grave bonne, quand même.

    Salut les gueux ! Mon prénom à moi c'est S., et S. pour les intimes dont tu ne fais pas encore partie. J'ai atteins l'âge canonique de un 2 suivi d'un autre chiffre sans me faire renverser par un bus, ni mordre par une grand-mère. Je suis ici parce que nom de la personne ou du forum m'y a conduit, et si je compte vous pourrir l'existence à peu près 7/7 c'est parce qu'emmerder le monde, c'est une raison d'être. J'ai trouvé le super code qui est validé par admin1 parce que je suis trop fort. Et maintenant, on dit quoi ?
    carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue 2u8v7fr


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Sara T. Giolitti
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EMPLOI : Pour l'instant je me consacre à ne rien faire. C'est bien aussi.
ADRESSE : 25 via s. maria sopra minerva - Parione, Palatin.
QUOTE :
carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue 6439563

"cette fille, c'est un prédateur déguisé en caniche"

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MessageSujet: Re: carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue   carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue EmptyMar 8 Mar - 2:09

Bienvenue jeune femme absolument repoussante ! Beurk ! x)
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Milo Auditore
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MessageSujet: Re: carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue   carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue EmptyMar 8 Mar - 2:11

Owii Daria ! Magnifique créature du calendrier qui traine dans...heu, une certaine pièce de la maison haha Bienvenue chère amie et bon courage pour ta fiche.
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Carolina B. Di Brolese
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MessageSujet: Re: carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue   carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue EmptyMar 8 Mar - 2:12

Je ne veux pas savoir où traine ce fameux calendrier. Ce que tu fais avec ne regarde que toi !
Merci !
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MessageSujet: Re: carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue   carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue EmptyMar 8 Mar - 18:11

DP.

Je pense avoir terminé. Ce n'est en rien détaillé, mais c'est volontaire. C'est jamais drôle de commencer un livre par la dernière page, non ? (et puis sinon ça va faire vraiment TROP long)
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Sara T. Giolitti
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MessageSujet: Re: carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue   carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue EmptyMar 8 Mar - 18:39

Grave bonne, je confirme.
Validée !
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MessageSujet: Re: carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue   carolina ♠ La vérité historique est souvent une fable convenue Empty

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