Julian Spinelli ... Le tombeur de ses dames et Glandeur de la famille xD

By Me, Pow

I. Identité :

Nom :Spinelli

Prénom : Julian Giovanni

Surnom(s) : Jul', Spinelli, Beau brun

Âge : « 24 ans, et oui déjà l'âge de la retraite... Je savais qu'il fallait que j'arrête de bosser ! »

Lieu de Naissance : « Roma, Italia... Mais je suis de pure souche, un vrai de vrai, un cent pour cent rital... Je suis rital et je le reste... Euh nan rien a voir. »

Profession : « Glandeur, bon ok sur un CV ca fait pas tip top, mais bon, ainsi est la vie... Nan après quelques années d'études en france, un diplome de droit et de science politique en poche... Je papillonne de petit boulot en petit boulot, logique me direz vous pour un gars avec bac plus 5 »

Groupe : Residenti

Avatar : Robert Pattinson

II. Description physique & psychologique :

Détails psychologiques : Julian est quelqu’un de plus tôt difficile à cerné car il possède un caractère très complexe comme la plus part des membres de sa famille d'ailleurs. Au premier abord Julian est une personne relativement sympathique, qui a tendance à plaire à beaucoup de gens, seulement si on gratte un peu il est possible de découvrir un être plus tourmenté, marqué par un passé difficile, un abandon qu'il n'a jamais vraiment comprit, le manque d'un père et de sa vrai mère. Depuis peu Julian ne reste jamais suffisamment longtemps auprès des siens pour s'intégrer totalement, devenu un grand solitaire depuis le début de sa vie d'adulte, il aime l'espace et la liberté, ne devoir de compte à personne, vagabondé au grès de ses envies. Julian possède un humour décapant qui peu blessé quand on ne le connait pas assez, une repartie assez impressionnante qui le tire assez souvent de situation délicate lorsqu'il provoque un homme dans un bar, car Julian a beau être sage, et calme, il ne peut s'empêcher de réagir parfois, de se mêler de conflit qui ne le regarde pas comme pour défendre ses cousines par exemple ou lorsqu'une dispute éclate dans un bar... Julian est de nature plutôt altruiste, et à tendance a se ranger auprès de ceux qu'on dit perdant, étrange pour un fils de riche, mais bon, Julian ne fait rien comme tout le monde, il est toujours là où on ne l'attends pas... Lunatique ? Un peu, surement beaucoup vous dirait ses deux "fillettes adorées". Drôle et charmant il se sert de son physique et de ses yeux envoutant pour obtenir ce qu’il veut des deux sexes, un charisme impressionnant chez quelqu’un d’aussi jeune est forcement apprécié par son grand père par exemple qui même s'il ne voit pas en lui un héritier légitime, après tout il est le fils d'une roturière, verrait bien son petit fils a la tête d'un des hôtels. Mais voila le plus gros problème de Julian c'est bel et bien son absence d'envie, a part la fête, les filles, l'alcool, la Dolce Vita des riches Romains, il ne se destine pour le moment à rien, deux trois boulots à droite a gauche alors que le jeune homme a fait ses études à science po... Il ne veut pas suivre un chemin tout tracé, s'est son côté rebel... Que dire de plus sur Julian ? C'est un être intelligent, instruit, malicieux, perspicace, ayant un avis sur tout, maitrisant bon nombre de domaine, c'est aussi un séducteur avec les membres féminine, il n'a jamais offert son âme et son cœur à quiconque, mais cela pourrait bien changer...
Détails physiques : Des cheveux de bronze en désordre, des yeux dorés tirant sur l'ambre ou sur le brun selon l'éclairage, autant dire un regard unique qui fascinent et attirent, séduisant serait un euphémisme pour décrire cet adonis de 24 ans. La plus part des jeune filles, femmes, qui l'ont rencontrés ont littéralement été charmés par le jeune homme mystérieux au regard de braise. Mais pourquoi un tel interêt ? Julian est plutôt grand, il parrait maigre au premier abord mais ce n'est qu'une expression sa musculature développé est sèche et toute en finesse, plus taillé pour la vitesse et l'action rapide que pour les grosses bagarres en fait. Il a donc un physique très agréable sans faire réellement beaucoup de sport, beaucoup de course dans les rues de sa ville natale, mais c'est tout, quelques pompes peut être pour l'échauffement mais sinon c'est tout, de quoi faire baver de jalousie ses collègues masculins... Côté vêtement, c'est une autre pair de bras. Même s'il fait attention à son image pour sa famille, Julian n'est pas vraiment ce que l'on peut appelé une victime de la mode, d'ailleurs ses plus fidèles acheteuses de fringues sont ses deux cousines adorées, qui le prennent pour une poupée a habillé, mais il ne s'en plein pas, moins il fait d'effort mieux il se porte. Plutôt discret sur les origines de sa famille même s'il est friqué au delà de l'imaginable, il est rare que Julian porte porte des vêtements de marques,peut être des jeans de créateur offert par sa famille, mais il est plutôt jean et T-shirt dans la vie de tout les jours. Même ainsi il a des airs de mannequin... Et oui le charme, la beauté, l'intelligence, c'est de famille... Pas vrai les cousines ?
Signes particuliers : « Mon dieu, si mon grand père le savait je me ferrais surement exploser, mais... Je suis tatoué, normalement c'est un truc que je devais faire avec des copains d'enfances, mais je suis le seul a avoir franchit le pas, depuis je le cache quand je suis à la maison, sur le bras gauche au dessus de mon biceps est tatoué le sigle SPQR (Senatus Populus Que Romanus c'est à dire le Sénat et le Peuple Romain). »

III. Histoire & Co :
Le plus beau jour de votre vie : Il n'est pas encore arrivé, ou alors chaque jours en meilleur que le précédent, Julian ne s'est pas encore décidé sur ce point... Lunatique un jour...
La plus grande épreuve que vous avez surmonté : Le départ de sa mère, même s'il n'en a subit les conséquences que récemment, être abandonner par sa mère, puis délaisser par son père ne fut pas chose aisé pour ce beau brun mystérieux, il n'en parle pas mais la blessure est encore là et s'infecte.
Si vous pouviez changer une chose : Il aurait aimé que sa mère réponde à sa lettre et pas qu'elle la jette comme il la soupçonne de l'avoir fait après cinq ans sans réponse. Il aurait aimé la connaître.
Votre plus grand rêve : Qu'un jour il soit fier de lui, que son père le voit enfin comme autre chose qu'une valise, que son grand père arrête de le voir comme un bâtard, que Ilena le voit peut être différemment, mais vraiment peut être...
L'instant parfait : Avec les trois femmes de sa vie, une petite soirée avec ses deux cousines et sa meilleure amie, une bouteille d'alcool, une plage de sable, un peu de musique, le clair de lune, des rires, des discutions... Le rêve

IV. Goûts :
Plat préféré : Umh... Un bon italien... Les pasta ! Mais pas n'importe lesquels, les Pasta que lui cuisinait son père quand il passait visiter sa "progéniture", ses diners lui manque, même si Julian ne l'avouera jamais.
Couleur Préférée : Le bleu pale, et oui c'est ce qui fait le plus ressortir son bronzage et la couleur de ses yeux... Quoi ? On est un top model ou on l'est pas, et les italiens ont le sens de la "mode" et lui plus qu'un autre, il est un Spinelli après tout.
Livre Préféré : Roméo et Juliette de Shakespeare, étrange me direz vous, et bien non, ce n'est pas l'histoire des amoureux que tous destinent à la mort, mais celle de la famille qui le fascinent tant de cette pièce de théâtre.
Musique Préférée : Ouah dure... Et bien Monsieur étant un virtuose du piano, le Clair de Lune de Debusi ou les préludes de Chopin font partit de ses morceaux préférés.
Boisson Préférée : Champagne ou bière bien fraiche... Bière bien fraiche... Avec une part de Pizza... Le Nirvanna.
Parfum de Glace Préféré : Kinder ! Etrange parfum qu'il a découvert de passage sur Lyon dans un petit "snack/restaurant" de la place de la République... Umh difficile voir même impossible d'en trouver en Italie... Alors un petit tour en france avec notre beau brun... Ca vous tente ?
Odeur Préférée : Le parfum de sa petite Cousine adorée... Quoi ? Bah elle l'aime le sien, il aime le sien xD
Endroit Préféré : Le Moulin Rouge à Paris, le seul endroit où il se sent proche de cette mère qui l'a abandonner.
Saison Préférée : L'automne, quand les arbres se parent d'une couleur rouge/orangé, quand les feuilles tombent doucement et quand le temps un peu plus doux vous permet d'enlacer votre compagne sans passer pour un "obsédé".
Pays Préféré : Globe Trotter, l'Italie reste avant tout son pays préféré, il porte son pays dans son cœur.
Other ? : Le sexe....Et oui un brin séducteur, un brin volage... Un brin Romain quoi...

V. Le joueur.
Nom ou pseudo : Pauline mais tout le monde m'appelle Pow
Fille ou garçon : I Feel Like A Woman !
Âge : 18 ans
Comment avez vous connu le forum ? Qu'en pensez vous : Par ma Gagouchka adorée^^ J'adore comme toujours sinon je serais pas là^^
Evaluez votre niveau de RP sur une échelle de 1 à 10, ainsi que votre présence sur le forum : Niveau rp 8/10, niveau présence 4/7 voir 5/7
Un exemple de post : Je suis Nathanael
Code :
Spoiler:

PASSATO DIMENTICATO.

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« Julian ? Oui c'est une bonne idée ! »

S'exclama doucement Aurelia en caressant son ventre déjà bien arrondit par le petit être qui grandissait en elle, elle sourit tendrement en embrassant son compagnon allongé auprès d'elle. Dante la serra contre lui et posa tendrement sa main sur le ventre de la femme qu'il aimait.

« Mais pourquoi Giovanni en deuxième prénom ? »

Demanda t-elle en posant sa main au dessus de celle du jeune Spinelli.

Dante sembla peser le pour et le contre, il ne lui avait jamais vraiment parlé de sa famille, de son passé, non pas qu'il n'eut pas confiance en elle mais parce qu'il était trop fier pour admettre ses erreurs.

« C'est le prénom de mon père. »

Avoua t-il finalement dans son français encore teinté de l'accent chantant de son pays d'origine, l'Italie, sa voix grave était douce, mélancolique lorsqu'il prononça cette phrase. Il ne le sut jamais mais c'est avec cet aveux qu'il scella le destin de son fils.

Dante ne remarqua pas le sourire satisfait d'Aurelia, il était bien le fil de Giovanni Spinelli... Finit la vie de danseuse, les galères, les problèmes de loyer ! Bonjour la vie de château ! Comme pour répondre à l'enthousiasme de sa jeune mère, le bébé, Julian se corrigea t-elle mentalement, lui donna un coup de pied...

[...]

Jeanne Lebrun était une ancienne institutrice, à le retraite depuis une vingtaine d'année, elle se rendait utile en s'occupant des enfants de l'immeuble dans lequel elle s'était installée à la fin de sa carrière Rue Pigalle, le quartier des prostituées. Etrange pour une vieille femme me direz vous, mais Jeanne était de ces femmes qui s'étaient dévouées toute leur vie aux autres, négligeant leur vie. Elle était et avait toujours vécut seule, sa vie c'était les enfants, aussi n'était-il pas si étrange de la voir s'installer dans un quartier où les naissances indésirées pullulaient. Pourtant, Julian avait été désiré, pensa t-elle en berçant le petit bout de chou ui s'époumonait entre ses bras tandis que ses parents se disputaient dans le salon. Jeanne Lebrun avait fait la connaissance de Dante peut après que le jeune italien soit arrivé en ville, il avait aidé la vieille femme à monter ses courses jusqu'au sixième étages (sans ascenseur), depuis elle le considérait comme son fils, il était toujours là quand elle avait besoin de lui, il passait la voir chaque jour... Elle ne l'avait jamais vu aussi heureux que le jour où il était venu lui annoncer qu'il allait être père, il rayonnait. Et pourtant, depuis la naissance de Julian le couple se déchirait, les choses s'étaient dégradées entre eux, tensions, disputes régnaient sous leur toit. La raison ? L'argent. Aurélia était une jeune femme vénale, intéressée, Jeanne l'avait toujours vu, toujours su, mais elle n'avait pas voulut l'avouer à Dante, il semblait si heureux...

« Tu ne peux pas t'en aller ! »

Jeanne n'avait pas remarquer que le silence s'était brusquement abattu sur l'appartement, il la gêna tout autant car à présent que le silence était revenu, elle les entendait distinctement, tout aussi surpris qu'elle par le silence Julian cessa de pleurer, ahurit.

« Tu ne peux pas partir. Tu ne peux pas abandonner ton fils. »

Jeanne sentit sa gorge se nouer à ses mots.

« Tu n'as pas d'argent ? Alors moi je n'ai pas de fils, juste mon cul pour survivre. »

La porte claqua, les pleures stridents de Julian envahirent à nouveau le silence.

L'enfant ne le savait pas encore mais il venait de perdre sa mère... et son père.

[...]

« Dante ! »

Livio se tenait dans l'embrasure de la porte de demeure familiale Italienne, échevelé, et encore passablement endormit, la nuit était tombée depuis des heures. Dante resserra son étreinte sur Julian qui s'agitant dans son sommeil tendit sa petite main la posant sur la joue mal rasée de son père, aussitôt l'enfant s'apaisa, soupira de bien être et se rendormit, trois mois, il n'avait pas plus de trois mois. Les yeux de Livio ne pouvaient se détacher de cette petite main posée sur la joue de son frère.

« Viens ne reste pas dehors ! Stella ! »

Appela t-il en s'effaçant afin de laisser entre son frère.

Lorsque la jeune femme arriva dans le salon, Dante se tourna vers elle, le regard éteint, emplit d'une tristesse infinit, Stella remarqua alors le petit paquet de linge entre ses bras puissants. Elle s'avança jusqu'à ce beau frère qu'elle voyait pour la première fois, en la voyant s'approcher Dante déserra sa puissante étreinte autour de son fils, Stella plaça ses bras en berceau pour accueillir l'enfant endormit. Dante le déposa entre ses bras mais ne relacha pas tout de suite son fils, tenant toujours Julian il demanda en français d'une voix roque, brisée.

« Tu veilleras sur lui ? »

« Comme sur mon fils. »

Répondit-elle dans la même langue, elle ajouta cependant en italien après avoir réussit a capté son regard pour la première fois.

« Lo prometto... »

Dante relâcha Julian, et s'éloigna de quelques pas vifs, l'enfant ouvrit alors les yeux pour la première fois depuis son arrivée en Italie, réveiller par le changement de bras et la tiède chaleur des bras de Stella. Deux grands yeux bleus la fixèrent soudainement, des yeux magnifiques, le petit tendit sa main, la posa dans le creux de la gorge de sa tante, soupira et se rendormit rassurée par la présence de celle qui serait pour lui une mère. Dante se détourna. Il ne serait jamais un bon père, alors à quoi bon ?

[...]

« Julian ! Julian ! »

Stella arpentait la demeure ancestrale de la famille, appelant le petit garçon depuis près d'une heure. Soixante minutes plus tôt les trois enfants étaient en train de jouer dans le salon, Stella avaient détourné les yeux une fraction de seconde, mais Julian avait su profiter de son inattention. Cet enfant était aussi hyper actif que son père, il avait la bougeotte, et dire qu'il n'avait que six ans et qu'a lui seul il épuisait la jeune mère. Penser à Dante lui arracha un petit soupire triste, son beau frère répartissait son temps entre deux activités bien distinctes, le travail et les femmes, au détriment de son fils unique. Aujourd'hui Julian fêtait son sixième anniversaire et Dante se payait un petit voyage aux Bahamas avec sa conquête du moment, un mannequin russe.

« Julian ?! »

Une pointe de panique perçait à présent dans la sa voix, elle commençait a avoir vraiment peur, la maison était vaste, le danger était partout pour un enfant de six ans dans pareil demeure. Et s'il s'était aventurer au grenier ? S'il avait fait une chute dans les escaliers du personnel ? Si l'un des domestiques avaient laissés une porte ouverte ? L'image du petit corps sans vie du garçonnet allongés sur les pavés d'une route s'imprima devant ses yeux, elle frissonna d'horreur...

« JULIAN ! »

Un cri, une vague de soulagement, il était là, bien vivant, assit au fond du dressing de l'entrée, le regard fixé sur la porte du hall.

« Julian ! Qu'est ce que tu fais ici ? Qu'est ce qui t'as pris de te sauver comme ça ? J'ai cru mourir de peur ! »

Elle grondait mais le cœur n'y était pas, c'était plus pour la forme que par vraie colère, elle était soulagée de l'avoir retrouver. Elle ne remarqua les larmes silencieuses du petit garçon qu'en s'accroupissant près de lui.

« Hey Bonhomme, qu'est ce qu'il y a ? Ce n'est pas grave de t'être sauver mais la prochaine fois préviens m... »

« Z'est pas za ! Il avait promit ! »

Sanglota le petit garçon en blottissant son visage contre la poitrine de Stella, elle le serra contre lui comprenant immédiatement qui était ce « il ».

« Il avait dit qu'il serrait là pour mon anniversaire ! »

La gorge de Stela se noua, Dante n'aurait pas du faire pareil promesse, il savait qu'il n'aurait jamais été là pour passer cette journée avec son fils. Elle fit alors la seule chose qu'une mère aurait fait dans pareil moment, elle sécha les larmes de cet enfant qui était presque sien, et s'installa près de lui à même le sol, le serrant dans ses bras.

« Je vais l'attendre avec toi d'accord ? »

Mais Dante n'arriva jamais...

[...]

Paris, la Belle Ville, la Ville Lumière, la ville d'exil d'une partie de la famille Spinelli depuis près de quatre ans, Julian venait de fêter ses quinze ans, il venait d'entrer au lycée où tout comme au collègue il faisait déjà battre bien des cœurs, mais les filles n'étaient pas vraiment sa préoccupation actuelle. Il accelera le pas, resserrant les pants de sa veste de créateur autour de lui, il n'aurait pas du se trouver ici, il aurait dû être au lycée en éducation physique et sportive, mais c'était sa seule chance, une chance qu'il guettait depuis trois ans, Livio et Stella ne seraient pas à la maison si la directrice appelait pour leur signaler son absence, il avait trois heures devant lui... Trois heures dont une pour faire l'aller-retour entre Montmartre et Saint-Germain-Des-Prés et deux autres pour glaner des informations sur sa mère, voir la rencontrée... Il n'avait mit personne au courant de son projet, pas même ses cousines, minue d'une ancienne photo d'Aurélia (sauver des flammes de la colère de Dante par Stella pour qu'il sache qui était sa mère, à quoi elle ressemblait) il pénétra au Moulin Rouge par l'entrée des artistes, qui n'était pas encore surveillée à cette heure. L'espoir lui tordant douloureusement le ventre. Enfin il allait apprendre à connaître sa mère...

[...]

« Je suis désolée mon petit mais Aurélia ne travaille plus ici ! »

« Mais je l'ai vu sur les affiches ! »

Plaida le jeune homme en tenant de nouveau d'échapper à la main de fer qui tenait son épaule.

« C'est elle ! J'en suis sur ! S'il vous plait ! C'est ma mère ! »

« Aurélia ne travaille plus ici depuis longtemps. »

Asséna a nouveau la directrice du Cabaret.

« Tu ne devrais pas être ici ! Tu n'es même pas en âge d'entrer dans ce genre d'établissement ! »

Elle fit un signe de tête à son gardien, l'homme pesa plus fortement sur son épaule, Julian lui résista, tendant l'enveloppe qu'il tenait à la main à la tenancière du Cabaret.

« Donnez la lui.... Je vous en prie ! »

Cria t-il alors que le vigile l'entrainait vers la sortie.

« Donnez la lui ! »

[...]

Pour la centième fois, ou bien était ce plus, il éteignit la sonnerie de son téléphone, basculant l'appel sur sa messagerie déjà saturée. Il ne baissa même pas les yeux sur son mobile, le regard toujours rivé sur la porte de service, il était là depuis des heures, attenant, l'attendant. Notre Dame sonna trois heures, le son des cloches porté par la brise résonna dans le lointain. Il attendait toujours. Une heure s'écoula, puis une autre, son téléphone sonnait toujours. Il était cinq heures du matin lorsqu'enfin la porte de service s'ouvrit pour la première et dernière fois, il sut tout de suite que c'était elle, Aurélia, sa mère. Elle tenait à la main une enveloppe, le cœur de son fils fit un bond dans sa poitrine, il allait s'avancer, sortir de l'ombre dans laquelle il se terrait, mais ce qu'elle fit l'en empêcha, le clouant au mur avec force. Sans même y jetter un œil elle jetta l'enveloppe cacheté au sol dans une flaque d'eau croupie. Un taxi se gara devant la sortie du cabaret, elle s'engouffra à l'intérieur... Julian ne se sentit pas glisser au sol, il réalisa qu'il était tombé lorsque ses mains entrèrent en contact avec le sol, il ne sentit pas le tesson de verre s'enfoncer dans sa paume, sa vue se troubla, il pleurait... Son cœur semblait se déchiré... Comment avait-elle pu ? Comment pouvait-elle... Il ne savait trouver les mots...

« Julian... »

Une voix paniquée, affolée... L'étreinte de deux bras doux et chaud, un parfum de Lila et de Lavande... Stella.

« Nous l'avons retrouvé... »

Une voix grave, chaude, teinté d'un accent chantant, une odeur plus marqué, bois de sental et Hugo Boss, Livio.

« Je suis là mon chéri... Oh mon dieu il saigne Livio ! »

Stella

« Tout va bien Julian... Nous allons te ramené à la maison... »

Livio.

Leurs paroles lui parvenait dans un tourbillon agité, il était comme déconnecté, il ne ressentait rien, il était comme mort à l'intérieur, il avait si mal, tellement mal. Il sentit que Livio le soulevait du sol, que Stella le tenait contre elle dans la voiture, il sentit l'odeur familière du cuire lui chatouillé les narines. La main légère de Stella lissait ses cheveux comme lorsqu'il était enfant, elle avait toujours été là, quand Dante l'avait oublié le jour de son sixième anniversaire, lorsqu'il avait demandé pourquoi il n'avait pas de maman, lorsqu'il avait été pour la première fois à l'école. Stella avait toujours été là... Comment l'avaient-ils retrouvé ? Cela resterait toujours un mystère, mais ils étaient là, ils avaient toujours étés là, ils serraient toujours là...

« J'ai besoin de toi... Maman... »

Murmura t-il doucement avant de sombrer dans le sommeil.

CITTA ETERNA.

VITTA DI REBELLE.

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[...]

« Julian ! »

Le jeune homme se redressa brusquement, se cognant violemment contre le montant du lit. Merde jura t-il en se masant le crâne d'une main, et en ramenant le draps sur ses reins de l'autre. Oups... C'était ce que l'on appelait une boulette ça. Livio se tenait dans l'embrasure de sa chambre d'étudiant près de la sorbonne, appartement qu'il partageait avec ses deux cousines depuis le début de ses études, cousines qui étaient parties pour les vacances avec leur parents... Livio n'aurait pas du se trouver là, et il aurait encore moins du le surprendre en pleine action avec une charmante blonde dans l'appartement dont il payait le loyer. Sa compagne se trémoussa sous les traits gêner de s'être fait ainsi surprendre par un inconnu alors qu'elle chevauchait complètement nu un garçon rencontré la veille dans un bar.

« Hey salut Tonton ! »

Lança Julian d'un voix décontracté en laissait le dras à la jeune femme pour se couvrir, pas vraiment gêner il enfila le boxer qui trainait sur le draps d'un mouvement rapide et assuré.

« Giuliano nella cucina »

Lâcha son oncle en italien avant de se retourner et de refermer la porte derrière lui, les épaules crispées... Oups, grosse boulette. Il n'aurait pas du être aussi insolent. Mais bon ce n'était pas comme si c'était la première fois que cela arrivait, Caly et Thalie l'avaient surpris des dizaines de fois depuis qu'ils avaient emménagés dans cet appartement, un détail qu'il ne mentionnerait pas à son oncle bien entendu.

En quatre ans Julian avait bien changé, quelques jours après avoir « rencontré » sa mère il était sortie de son apathie, transfiguré, il était toujours aussi joyeux, drôle, mais plus froid, plus distant, moins enclin aux longues discutions, refusant d'aborder le sujet de sa mère. Il avait demandé à son père, comprenez pas là Dante, de ne pas le contacter durant un certain temps, et il s'était mis à sortir, beaucoup, trop. Il avait perdu sa virginité quelques mois après sa « rencontre » avec Aurélia, avec une danseuse d'un club de la ville, tel père tel fils, depuis il enchainait les aventures, les sorties, l'alcool... Il cherchait l'oublie, il cherchait comment cicatrisé, comment se reconstruire en écumant les clubs de la ville, ses résultats scolaire n'avaient jamais été aussi bon, aussi Livio et Stella avaient les mains liés, lorsque Thalie et lui avaient demandés a avoir leur propre appartement plus près de la Sorbonne, son oncle avait accepté, Caly avait supplié ses parents pour être du voyage. Et bizarrement ses parents avaient acceptés... Chose que Julian n'avait jamais comprit. Cela faisait six mois que cette étrange collocation avait débuté, six mois que chaque soir Julian ne rentrait jamais seul, six mois qu'il vivait au rythme endiablé de l'IEP et des soirée étudiantes. Tout en gardant un œil sur ses cousines.

« Je reviens... »

Glissa t-il à sa compagne en lui mordillant l'oreille.

« Attends moi là... Et surtout ne finit pas sans moi. »

Lança t-il coquin en enfilant un jean.

« Je fais vite. »

Il quitta la pièce après avoir passer un tee shirt et se rendit dans la cuisine où son oncle l'attendait, il savait que le savon serait assez violent. Il toussota pour signaler sa présence. Livio se retourna et jeta sur la table quelque chose.

« Je peux savoir ce que c'est »

Demanda t-il en italien, mauvais signe, lorsqu'il était en colère Livio basculait automatiquement dans sa langue natale. Julian récupéra le paquet de cigarette sur la table. Une petite barette de shit tomba du paquet.

« De l'herbe ? Julian à quoi penses tu ! Mes filles vivent dans cet appartement ! Caly n'a que 15 ans Bordel ! A quoi penses tu ?! Stella et moi t'avons confiés leur sécurité ! Tu devais veiller sur elles ! »

« C'est ce que je fais Livio »

Et non plus de papa.

« Tu ne m'as jamais préciser que je devais devenir moine pour ça ! »

Gronda le jeune homme, énervé que son père est découvert son petit secret.

« Non mais tu t'entends ! Tu es en train de foutre ta vie en l'air Julian ! Tu deviens comme ton père ! Une fille à droite à gauche, un petit vere, un petit joint ! »

« Ne parle pas de mon père ! Je n'ai pas de père ! »

Aboya le jeune homme passant lui aussi à l'italien.

« Tu fais ça pour elle ? Pour lui prouver qu'elle a bien fait de t'abandonner de partir ? Que tu ne vaux pas qu'elle s'intéresse à toi ! C'est stupide Julian ! Et tu le sais ! Tu es quelqu'un de bien, ne gâche pas tout pour cette femme ! »

Le poing de Julian sembla animé d'une vie propre, il entra en contact avec la mâchoire de l'homme qu'il avait élevé dans un craquement horrible une vive douleur se propagea dans toute sa main, Livio se retrouva étendu sur le sol. Julian le regardait effrayé par ce qu'il venait de faire. Sa réaction avait été si disproportionné... Le paquet de cigarette et la barette d'herbe tombèrent à leur tour sur le sol.

« Oh mon dieu qu'est ce que j'ai fais... Livio ! »

L'homme qu'il considérait comme son père se relevait déjà, sa massant la mâchoire, Julian recula d'un pas, effrayé parce qu'il venait de faire, par le manque de respect flagrant dont il venait de faire preuve. Il avait perdu toute ses valeurs, il s'était perdu, il était devenu un autre en quatre ans, bafouant le code de moral des Spinelli. Son père s'approcha de lui en douceur. Il posa sa main sur son épaule, le jeune homme leva vers lui des yeux perdus, tourmenté.

« J'ai besoin d'aide... »

Quelques minutes plus tard Julian revient dans la chambre à couché, la jeune femme l'attendait, nue sur les draps. Mais elle ne s'attendait surement pas a un tel comportement. Julian ramassa ses affaires et jeta sur le lit.

« Habille toi et casses toi... Et emmène ta merde avec toi ! »

Ajouta t-il en balançant sur le lit la barette d'herbe.

« Je ne veux plus jamais te revoir... »

A présent il allait pouvoir avancer.

[...]

Julian était confortablement installé sur son lit, relisant tranquillement ses cours d'économie européenne en embrassant de temps à autre sa compagne allongé près de lui. Julian avait beau ne plus vivre uniquement des aventures d'un soir, il ne faisait toujours pas confiance aux femmes, Suzzie, c'était le nom de sa copine du moment ne faisait pas exception à la règle, leur relation était calme, douce, et avouons le reposait principalement sur le sexe. Cela lui convenait, il ne retombait pas dans ses anciens travers ainsi. Alors qu'il la faisait doucement basculer sur le matelas se disant qu'il pourrait toujours bosser demain matin, son portable sonna, une sonnerie qu'il avait programmer pour ses deux cousines. Il s'excusa et tendit le bras pour attraper son mobile.

« Hey Calywa ! Ca va ? »
« ... »

Silence, bruit de fond. Julian fronça les sourcils.

« Caly ? »

Toujours pas de réponse.

« Caly t'es là... »
« Julian... »

Une voix faible très faible, mais la voix de Calypso.

« Caly qu'est ce qui se passe ? Ca va ? »
« Julian vient me chercher... »

Sa voix n'était qu'un murmure recouvert par le son de la musique trop bruyante derrière elle. Puis une voix d'homme.

« Qu'est ce que tu fais ! Aller raccroche ! Vient t'amusée ma jolie ! »
« CALY ! »

Cria presque Julian. On raccrocha.

« Merde ! »

Il se redressa à une vitesse impressionnante, courant presque jusqu'à la cuisine, Julian était en troisième et dernière année de Science Po, il se rua dans la cuisine, dérapant sur le carrelage, il faillit presque arraché tout les post-it collés sur le frigo, il y avait une regle, quand la petite dernière sortait elle devait toujours laissé une adresse. Julian trouva enfin le mémo. Il connaissait cet appartement pour y avoir déjà passé quelques fêtes, les petits bourgeois parisien la louait souvent, un grand appartement en duplex. Il attrapa une veste, les clés de sa moto, ses baskets et se rua dans les escaliers. Il n'avait qu'une certitude, Caly avait un problème. Lorsqu'il démarra le rutilant engin (cadeau de Dante) laissa sur l'asphalte une trace noire.

Il ne lui fallut qu'une dizaine de minutes pour se rendre à l'adresse indiquer par sa cousine, mais il pouvait s'en passer des choses en dix minutes, les images ne cessaient de tournés dans son esprit. Sa Calywa... Pas elle, c'était la seule chose à laquelle il était capable de penser. Il grimpa en courant les six étages qui le séparaient de la fête, rencontrant sur son passage de nombreux couples assez occupés, en bousculant certains. Il fendit la foule qui se massait dans l'appartement comme du beurre, habitué de ce genre d'activité, appelant encore et encore sa cousine sur son téléphone. Mais personne ne répondait. À l'étage la musique était plus étouffée, moins forte, il parvenait a entendre ce qui se passait derrière certaine porte, à nouveau il composa le numéro de sa petite cousine. Il l'entendit alors, cette sonnerie que Caly lui avait attribué, le générique de Superman (celui de la série télé avec Lois et Clark). Il frappa violemment à la porte d'où provenait la sonnerie.

« CALY ! OUVRE ! »

Il entendit un faible appel. Son instinct protecteur prit le dessus. Il défonça la porte d'un grand coup de pied, la porte s'ouvrit, le verrou ayant sauté dans l'action. Caly était là, mais elle n'était pas seule. Un jeune homme était allongé près d'elle, l'aidant a tiré dans ce qui semblait être un pétard. La colère l'aveugla. Il se rua sur ce gamin, le prit par le col et le plaqua contre un mur, il frappa une fois, deux, trois... Et il l'entendit gémir, l'appel de sa cousine le stoppa aussitôt. Il laissa le gamin s'effondrer sur le sol et s'accroupit auprès de Caly.

« Julian... »

« Je suis là. C'est finit Calywa... Je suis là... »

Murmura t-il en passant une main fraiche sur son frond brulant.

« Qu'est ce que tu lui as donné ? »

Aboya t-il en se tournant vers le mec qu'il avait étalé au sol. Le gars était totalement défoncé, comme Caly.

« Rien qu'un peu d'herbe... »

Marmonna le junkie.

« Couper a quoi ? »

Gronda Julian en se redressant, menaçant.

« Un peu de GHB... »

Une nouvelle vague de fureur le secoua mais il se contint, elle avait besoin de lui. Il ota sa veste, en recouvrit sa cousine, il la prit tendrement dans ses bras.

« Ca va aller ma puce... Je suis là... Tout va bien se passer. »

Il la souleva et se releva son fragile fardeau dans les bras. Il quitta la chambre sans un regard pour le gamin.

« Si je te recroise t'es un homme mort... »

Jura t-il cependant avant de franchir le seuil de la chambre.

« Je te ramène à la maison... Tout va bien se passer... Reste juste avec moi d'accord... »

Murmura t-il à Calypso lorsqu'ils furent dans la rue. Il hela un taxi.

....

« Julian ? »

Le jeune homme fut auprès d'elle en un clin d'oeil. Elle s'était enfin réveillé. Enfin. Elle n'avait pas été en danger, enfin pas d'après le médecin qui était passé l'examiner lorsqu'il l'avait ramené de cette « soirée ». Elle allait dormir longtemps d'après le docteur, il fallait la veiller, vérifier qu'elle ne faisait pas de réaction a la drogue. Thalie n'était pas encore rentré de son voyage à Londres avec la Sorbonne, ils étaient seuls.

« Hey la belle au bois dormant comment te sens tu ? »

Demanda t-il en s'asseyant près d'elle sur le lit.

« Un peu dans le gaz... Qu'est ce que je fais là ? »

Demanda t-elle après avoir comprit qu'elle se trouvait à la maison.

« Tu ne te souviens pas ? »

Demanda t-il en replaçant des mèches de cheveux blonds derrière son oreille.

« Non... J'étais à cette soirée... J'ai bu un verre, je suis aller prendre l'air sur le balcon... »

Elle fronça les sourcils cherchant à se rappeler.

« Un gars m'a tendu une roulée... Je l'ai accepté pour essayer... Je me suis sentie toute drôle... J'ai cru que c'était l'alcool... »

Elle se tut, incapable de se souvenir du reste, ses yeux se remplirent de larmes.

« Oh Caly... Chut calme toi... Tout va bien... Il ne s'est rien passé... Tu m'as appelés... Tu avais l'air dans un sale état... Je suis venue te cherché... Il ne t'as pas touché... Tu es là, tout va bien... Tout va bien. »

Chuchota t-il en la berçant doucement, cherchant a faire taire ses pleures.

« Je suis là... Je serais toujours là. »

Gagouchka ?! (Oui je viens juste de le remarquer !)
D'où ça te vient ?
Fais gaff' à ton derrière toi ! Julian Spinelli ... Le tombeur de ses dames et Glandeur de la famille xD 67159

Julian Spinelli ... Le tombeur de ses dames et Glandeur de la famille xD 67159

Dit toi tu me réveilles dans un toto alors chut xD^^
Je suis en cours pas bien einh !!
Je bosse sur ma présentation déjà une page double

Haaaaaaaaaaaaan ! C'est pas bien ! Rebelle !
Bah je fais ce que je veux ! :tongue: Tu m'aimes quand même donc c'est pas grave !
:004:

Ça reste a voir, j'ai pas encore finit ma fiche !!!
Si Thalie veut répondre au sujet elle le peut au fait vu que je rentre que dimanche

C'est fait, cher cousin !

Gagoushka m'ayant prévenu ! ^^

Naaaaaaaaaaaan ! Tu vas pas t'y mettre ?!
Pow, t'as signé ton arrêt de mort ! Mouahahahah ! Julian Spinelli ... Le tombeur de ses dames et Glandeur de la famille xD 24769

Julian Spinelli ... Le tombeur de ses dames et Glandeur de la famille xD 24769

Mdr j'ai bien fais d'avoir du baby Sitt' samedi soir alors^^ xD
Elle m'aurait boxer au resto sinon^^
Bon je vous préviens le temps que je tape ma fiche, que je termine mon histoire (jen suis aller au 1/3^^) J'en ai pour un moment avant de répondre au RP^^

[...]

« Julian !!!! JULIAN ! Merde ralentit ! Attends moi ! »

Soupirant le jeune homme s'arrêta au beau milieu de l'aéroport, il se retourna en grommelant, ses deux là étaient pirent que des tiques, impossible d'aller quelque part sans qu'elles ne le savent et s'agrippent pensa t-il en souriant. Il avait tout fait pour éviter les adieux avec ses cousines, il était partit en plein milieux de la nuit, mais apparemment il en fallait plus pour que Thalie le laisse s'en aller comme un voleur. Il lui fit face alors qu'elle courait ses talons hauts à la main, un sourire amusé éclaira les traits de Julian, il ouvrit les bras sachant qu'elle était partit pour se casser la figure dans... Cinq... Quatre...Trois...Deux... Un... Et en effet elle glissa, trébucha, et s'étala dans les bras de son cousin.

« Je sais que ma beauté est renversante mais Thalie je te l'ai déjà dis l'inceste ce n'est pas mon truc. »

Plaisanta t-il en la remettant sur ses pieds.

« Très drôle. »

Elle lui asséna subitement et brusquement un coup de sac à main sur la tête.

« Tu comptais vraiment partir comme ça en pleine nuit, sans dire au revoir ? I...D...I...O...T. »

Elle lui asséna cinq coups supplémentaires au rythme de ses paroles.

« Hey Va pianno ragazza ! »

Plaisanta t-il en se reculant d'un pas.

« Je n'ai jamais été doué pour les adieux et tu le sais ! Et puis je ne suis pas partit comme un voleur techniquement, j'ai laissé une lettre sur le frigo ! »

« Alors tu t'en vas vraiment.... »

Demanda t-elle en perdant son si jolie sourire.

« Oui... »

Répondit-il en caressant doucement sa joue.

« Je n'ai plus rien a faire ici... J'ai mon diplôme... Et l'Italie me manque.... Je crois que je dois voler de mes propres ailes maintenant... »

Ajouta t-il en lui souriant.

« Et puis comme ça j'arrêterais de vous sur protéger toi et Calywa. Tu vas pouvoir suivre mes traces comme tombeuses de Paris... Bien que je désapprouve cela... »

« Julian... »

Essaya t-elle de plaider.

« Ne dit rien... J'ai pris ma décision Thalie, c'est ce dont j'ai besoin pour l'instant... »

Les passagers de vol 556 en direction de Rome sont priés de se présenté porte d'embarquement numéro 7.

« C'est mon vole... Il faut que j'y aille Thaliwa... »

Ajouta t-il doucement. Les quittées étaient un déchirement, mais il avait besoin d'air, d'une nouvelle vie. D'un nouveau départ, d'un peu de temps pour savoir ce qu'il voulait faire de sa vie.

« Prends soin de toi, et de Caly... Tu lui diras que je l'aime d'accord... Je t'aime aussi... »

Il l'embrassa doucement sur le front et s'éloigna il ne se retourna que lorsqu'il eut franchit le contrôle de sécurité, elles étaient là, Caly et Thalie lui faisant signe.

Ses cousines... Ses soeurs... Son enfance.... Son passé... Sa famille... Au fond de lui il savait que ce n'était qu'un au revoir...

Terminé !!!

Et je valide mon cousin d'amouuuuuuuuuuuuuuuur !
Wouah, toi je t'aime fort, fort ! Coeur

Merci !!!

Et même pas tu dis que tu m'aimes ?
Cousin indigne va !

C'est pour pas que Thalie soit jalouse xD

Mais c'est pas grave...
Je suis la préférée, elle le sait bien ! Mouahahahah

N'importe quoi !
Rêve, Gamine ! Rêve !

Mouahahahah... Quelle naïveté de ta part ! xD

Que tu crois !

Mais c'est pas grave ! En compensation t'es ma petite soeur préférée !

En même temps t'en a qu'une... Rolling Eyes

Breeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeef !

Breeeeef !

» Spinelli... Julian Spinelli // The boy who took himself for James Bond
» Calypso Lucy Spinelli [Admin]
» Dante Spinelli
» Thalie J. Spinelli [Admin]

Julian Spinelli ... Le tombeur de ses dames et Glandeur de la famille xD

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