Détails psychologiques : On regrette toujours pour rien, étant donné qu'on ne peut regretter qu'après. - Réjean Ducharme « Les regrets n'ont plus jamais cessé de façonner mon existence artificielle. Artificielle, parce que je n'ai plus eu l'impression de véritable vivre. Respirer, c'est facile. Vivre, c'est une autre chose. Si dans le passé, j'ai pu être le genre d'hommes dont parlent avec envie les jeunes filles à la recherche de ce fameux Prince Charmant, je ne suis plus qu'une loque humaine, rien qu'un corps forcé à se mouvoir et à continuer sur une route qui ne l'intéresse plus. Adieu humeurs fantasques, sens de l'humour quelques fois trop développé, créativité excentrique ou sens de l'honneur excessif... Il n'en est plus. J'ai de plus en plus de mal à contrôler mes pulsions, une difficulté monstre à me contenir d'exploser. Au lieu d'être perfectionniste et charismatique, je suis devenu nonchalant et colérique, un brin prétentieux, voire même arrogant. Maladroit comme dix, je n'attache plus autant d'importance à l'idée de réparer avec soin les dégâts qu'il peut m'arriver de commettre. Pire encore, il y a de ces fois où ils sont complètement volontaires et où j'y trouve une certaine satisfaction - peut-être une forme de vengeance -. Pourtant attentionné et conscient des besoins de ceux qui m'entourent, on me qualifie parfois d'obsédé excessif. Je ne lâche jamais prise ; je n'abandonne jamais devant les embûches qui parsèment mon chemin. Celles-ci ont d'ailleurs plutôt l'habitude de fléchir sous mes efforts quelques fois à tendance violente. Je suis devenu ainsi ; presque froid, asocial à mes heures et impossible à cerner. J'ai toujours eu cet espèce de don pour jouer la comédie... Toutefois, il vaut sans doute mieux éviter tout contacts inutiles avec moi, histoire de ne pas se frotter à une quelconque crise de colère qui pourrait survenir sans crier gare. »
Détails physiques : « Qui a dit que l'habit ne faisait pas le moine ... ? , qu'il ne fallait pas se fier aux apparences ... ? Je suis de ceux à croire exactement le contraire. L'apparence est, de loin, ce qui nous donne - ou pas - une poussée afin d'entrer dans le monde, ce qui nous y classe dans la hiérarchie sans pitié de la société. Du haut de mes 1m82, je perçois le monde sous un angle un peu plus réaliste que certains autres. Je suis acteur, je joue le jeu. Yeux bleu-clair, cheveux blond-sable, la nature m'a doté du nécessaire pour être pris au sérieux dans le métier que je m'efforce d'exercer. Accordant une certaine importante à la santé et à l'entraînement physique, j'aurais probablement un conditionnement physique irréprochable si je prenais pas grand soin de tout gâcher avec les clopes et l'alcool. Heureusement pour moi, m'empoisonner de l'intérieur ne laisse pas encore gâcher ma silhouette digne d'un athlète professionnel. J'ai plusieurs tatoos sur les bras, ceux-ci me donnant un air peut-être un peu plus sombre et s'accordant à la perfection avec les traits - on peut dire - inquiétants de mon visage. J'ai cette allure de bad boy, ce petit côté mystérieux et qui donne froid dans le dos à certains. De plus, je ne porte pas n'importe quoi. Mon "métier" ne m'offrant pas les moyens de me payer du luxe chaque jour, je paraîs souvent dans des tenues assez sobres, mais de bon goût. Un peu artiste, un peu rockeur. Peut-être bien qu'au fond, l'apparence n'est qu'un masque, mais je tiens à ce masque.»
Signes particuliers :
III. Histoire & Co :
Histoire: « Je vis le jour le 14 février 1987, dans cette même ville qui a vu la suite de ma pathétique existence ; Rome. Au sein d'une famille aimante et aisée - n'ayant qui plus est ni frère, ni soeur -, je devins le genre de type qu'on souhaite à sa fille d'épouser : Bon chic, bon genre, fortuné et charismatique. Très jeune, je fis mon entrée dans le monde du théâtre grâce aux contacts plutôt influents de mon père, metteur en scène réputé. Je passai autant de temps à l'école que sur une scène, voyageant parfois ici et là en compagnie de mon paternel sur les diverses tournées de ses troupes de théâtre. L'absence régulière de ma mère, celle-ci actrice de renommée mondiale et occupée à divers tournages à l'étranger, je me construisis rapidement une espèce de carapace vis à vis des émotions humaines. Pourtant loin d'être asocial, je fus le genre de jeune homme à enchaîné les conquêtes - lorsque je fus en âge d'y penser -, ainsi que les fêtes bien arrosées jusqu'au petit matin. Jusqu'à mes quinze ans, je vécus plus souvent qu'autrement au côté de mon père, avec qui je partageais cette passion commune, et mes études se firent en privé. M'investissant à fond dans mon art, j'eus droit à quelques rôles au grand écran qui me donnèrent une certaine propulsée dans le monde du cinéma. Acteur, comédien..., je finis tout de même par admettre que j'avais, déjà à seize ans, vécut plus que certains ne le feront jamais d'une vie toute entière. Je pris donc la décision de m'arrêter quelques instants et j'entrai au collège de ma ville natale, bien décidé à vivre comme n'importe quel autre jeune homme de mon âge l'aurait fait. Je n'eus aucun mal à me faire des amis, ni même à m'intégrer, faisant complètement abstraction de mon "glorieux" passé sur les scènes européennes ou encore les grands écrans américains. Je vécus seul chez moi, en la compagnie de domestiques tout de même, durant les deux années où mon père et ma mère furent prirent sur un projet conjoint à Paris. Je menai une vie de débauche, rattrapant tout ce que j'avais pu manqué et plus encore. Mes pulsions furent toutefois ralenties lorsque je fis la connaissance d'une jeune femme ; Savannah Leoni. Nous filâmes le parfait amour durant un moment, faisant de nous de grands jaloux, mais tout s'écroula le jour où j'appris avoir mise la jeune femme enceinte. Pris de panique et surtout inquiet à l'idée d'avoir à abandonner ma carrière pour de bon, également encouragé même à distance par mes parents qui m'assuraient avoir ainsi hypothéqué mon avenir, je pris la fuite et abandonnai la femme que j'aimais et l'enfant qu'elle portait. À dix-sept ans, on est jeune et con, me dis-je souvent. Ne prenant plus de nouvelles d'elle, j'abandonnai la vie qui m'avait le plus comblé et je retournai à mes productions aux côtés de mon père. Je vécus deux ans à Hollywood près du plateau de tournage d'une série dans laquelle ma mère eut le premier rôle et je participai moi-même à celle-ci à titre de figurant. Tentant de tous les moyens possibles de trouver un échappatoire à la douleur et la culpabilité qui me rongeaient, j'enfilai de nouveaux les conquêtes et les substances illicites. Ha, la vie d'artiste ! Mes vingt ans m'apprirent incontestablement qu'on n'oubliait jamais totalement le passé et je revins à Rome avec la ferme intention de retrouver Savannah et ... mon fils. Matteo. Je mis près d'une autre année avant d'avoir la force de tenter une approche et je réalisai, ce faisant, que j'avais bien eu raison d'attendre. Disons le aussi simplement : Savannah n'est pas ce qu'on pourrait appelé "prête" à me revoir. Ne sait-elle pas, pourtant, que je n'abandonnerai pas ? J'ai maintenant l'âme d'un acteur déchu, celui qu'on reconnaît quelques fois dans la rue pour d'anciens succès plutôt médiocres et qui, de toute façon, ne fera plus rien. Ma vie est fichue ; il faut bien payer les conséquences de ses actes ...»
Le plus beau jour de votre vie : « Il n'est pas encore arrivé. »
La plus grande épreuve que vous avez surmonté : « Ma lâcheté. »
Si vous pouviez changer une chose : « Même réponse. »
Votre plus grand rêve : « On ne doit jamais rêver au passé ou à l'avenir ; on doit rêver au présent... - Guy-Marc Fournier »
L'instant parfait : « De vagues souvenirs, de douloureux souvenirs... »
IV. Goûts :
Plat préféré : Pasta !
Couleur Préférée : Bleu-gris
Livre Préféré : Lire ?
Musique Préférée : Lennon
Boisson Préférée : Vodka
Parfum de Glace Préféré : Chocolat
Odeur Préférée : Bouffée d'air frais
Endroit Préféré : Hollywood
Saison Préférée : Automne
Pays Préféré : États-Unis
Other ? :
Dernière édition par Samuel Jenkins le Dim 12 Avr - 20:00, édité 9 fois
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Sujet: Re: Samuel Jenkins Sam 11 Avr - 7:02
V. Le joueur.
Nom ou pseudo : Stace
Fille ou garçon : F
Âge : 16 ans
Comment avez vous connu le forum ? Qu'en pensez vous : Par hasard sur PDR. Jusqu'à présent, le forum me paraît vraiment sympa et le contexte très original.
Évaluez votre niveau de RP sur une échelle de 1 à 10, ainsi que votre présence sur le forum : Niveau RP : 8/10. Si on évalue en longueur, je dirais peut-être 7, car je ne raffole pas des posts trop longs pour ne rien dire. Enfin, je m'adapte souvent à la longueur de mon interlocuteur.. Présence (sur 7 jours) : 7/7, mais je ne peux pas poster tous les jours, surtout ces derniers temps ou j'ai un horaire extrêmement chargé autant au niveau social que scolaire. Toutefois, je n'ai plus qu'un autre forum, alors j'avais envie de me remettre au RP.
Un exemple de post :
Spoiler:
Pour être totalement franc avec moi-même, ses premières paroles m'irritèrent au plus haut point. Je savais, parce que j'étais loin d'être stupide, que nous n'avions eu qu'une histoire physique, qu'une aventure prolongée par, peut être et je dis bien peut être, des espoirs sans fondement de sa part que je change... Cependant, c'était une toute autre chose que de l'entendre me le dire comme ça, froidement et sèchement. Je jouais avec le feu, je la provoquais, il fallait bien sûr que je sois prêt à recevoir les coups et je l'étais... Du moins, c'était ce que je pensais là tout de suite, dans le moment, alors que je la regardais droit dans les yeux d'un air détaché. Mon orgueil en avait pris un coup quand elle était partie, eh oui. Habituellement, c'était moi qui jouait à ça, qui larguait sans scrupule et qui brisait des coeurs à la tonne... Je ne pouvais pas vraiment dire qu'elle m'avait brisé le coeur, mais mon orgueil... Ça oui, elle l'avait brisé et pas rien qu'un peu.
Mon envie de me payer sa tête et de continuer à argumenter fut ravivé par la suite, lorsqu'elle parla du fait qu'elle avait largué Travis pour la simple et bonne raison qu'il avait trahis sa confiance. Bien sûr, je me doutais qu'elle ne s'en était pas tout à fait rendu compte, mais elle venait de me donner une réplique facile.
« Amy, n'as-tu donc pas encore compris ? N'as-tu donc pas remarqué que tu n'inspirais tout simplement pas l'envie d'être fidèle ?»
Celle-là, je dus le reconnaître, c'était un peu fort. Un peu trop, elle ne le méritais pas. Amy était une fille bien, j'en étais parfaitement conscient au fond de moi même et d'ailleurs, il m'arrivait à moi aussi d'être un type bien quand j'en avais envie et quand je n'étais pas trop occupé à autre chose.
Et voilà qu'elle me parlait de mon nez. Franchement, elle aurait eu beau me sortir toutes les insultes de la planète dans trois-cent-mille langues différentes, ça ne m'aurait fait ni chaud ni froid, mais.. mon NEZ. J'en avais ras le bol d'en entendre parler, moi qui était enfin heureux d'en avoir fini avec cette histoire pour cons..
« Ça y est, mon nez ...! Mon nez, je te le signale et je ne le ferai pas deux fois, n'a rien à voir dans tout ça ... ! Ne le mêle pas à ça !»
Lançai-je, furieux... N'ayant même pas conscience de l'ironie et de la drôlerie de ma réplique. Je soupirai profondément. J'étais déjà épuisé de me fâcher et je ne venais que de commencer :
« Si tu veux vraiment savoir, c'est plutôt qu'une petite garce s'est jetée sur moi et Bang, j'ai appris qu'elle avait un copain, l'idiote. Ensuite, beh ouais, son chéri m'a tapé dessus au lieu de pleurer toutes les larmes de son corps.»
Je restai silencieux à la regarder durant quelques instants. C'était comme si nous avions contrôler une énorme tempête durant quelques instants, nous criant presque dessus... Un besoin incontrôlable de sa part et de la mienne de se dire les quatre vérités et là, c'était le calme plat tout d'un coup.
« Tu me détestes... mais t'es toujours là...»
Je lui fis un mince sourire un peu déplacé vu tout ce qui venait de se dire. J'ignorais même ce que je voulais dire par là ou ce que j'en pensais. C'était simplement la vérité, un fait comme un autre que je relatais en lui souriant. Je songeai qu'elle aurait été surprise de voir à quel point j'avais changé. J'étais un tout autre homme, un Thomas différent... Seulement, le changement ne s'était pas encore opérer à cent pour cent et je doutais qu'il ne soit permanent. Je chancelais encore dangereusement entre mes deux personnalités.
Code :
Spoiler:
Spaghetti
CITTA ETERNA.
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Sujet: Re: Samuel Jenkins Sam 11 Avr - 9:59
Oh mon ex' & le père de mon enfant... ! Bienvenue ! Et bon courage pour ta fiche ! ^^
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Sujet: Re: Samuel Jenkins Sam 11 Avr - 12:22
Bienvenue !
C'est Julian qui va être content...
Bonne chance pour la suite de ta fiche.
Thalie J. Spinelli
AGE : 24 ans MESSAGES : 2249 ARRIVÉE LE : 17/03/2008 EMPLOI : Glandeuse professionnelle ! Tout un art ! Même s'il m'arrive de m'occuper d'instruire les autres, même contre leur volonté ! ADRESSE : Trastevere - Demeure Spinelli. QUOTE :
. ARE U IN MY CELLPHONE: STATUT: Libertin(e) DISPO POUR UN SUJET ?: not yet
Sujet: Re: Samuel Jenkins Dim 12 Avr - 0:22
La vache ! Hâte de voir la suite de ta fiche...
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Sujet: Re: Samuel Jenkins Dim 12 Avr - 18:18
Mdr en effet très très très content xD J'ai enfin quelqu'un a boxé^^ Mdr
Bienvenue, en espérant ne pas t'avoir fait peur xD
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Sujet: Re: Samuel Jenkins Dim 12 Avr - 18:22
Non, ne t'en fait pas :) Nous boxerons, si tel est ton souhait Je finis la fiche de présentation ce soir, enfin pour moi, autrement dit à l'heure du Québec.
EDIT : Et voilà, terminé ! J'ai l'impression que l'histoire est un peu précipitée, mais ça m'ennuie de faire une fiche de présentation X)
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Sujet: Re: Samuel Jenkins Dim 12 Avr - 21:36
J'aime, j'aime, j'aime et j'aime ! -Pourquoi faire compliqué, quand on peut faire simple ? ^^
Je valide sans la moindre hésitation ! Bienvenue parmis nous !