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 THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!!

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MessageSujet: THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn''t It ?!!!   THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!! EmptyMar 19 Mai - 23:46



    By CelticAddiction
    THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!! Pf_310
    I. Identité :
  • Nom : Giolitti
  • Prénoms : Paolo Milo Matteo Giovanni
  • Surnom(s) :Le Patriarche du Clan Spinelli le surnomme l’Arriviste, allez savoir pourquoi ?!
  • Âge : 46 ans
  • Lieu de Naissance :Palerme, Sicile
  • Profession : Politicien
  • Groupe : Residenti
  • Avatar : Peter Facinelli

  • II. Description physique & psychologique :


  • Détails psychologiques :Le premier mot qui vient à la bouche lorsque l’on veut parler de Paolo, c’est sans conteste « Brillant » ! Le jeune homme (oui, il n’a pas encore assez de rides pour qu’on le dénomme vieillard, Giovanni Spinelli, ce n’est pas lui, alors attention à ne pas confondre !)l’est, en effet ! Il a débuté très jeune en politique, à 22 ans à peine, devant par là même le conseiller personnel du dirigeant Italien, mais aussi le plus jeune conseiller de l’histoire, ainsi que le plus jeune politicien travaillant au Parlement ! Pas mal pour une première fois ! Il est sorti Major de sa promotion, ce qui n’est pas rien dans un milieu qui vous prépare déjà à faire disparaitre les mots pitié et soutien de votre vocabulaire. Mais il ne doit pas ce succès à un coup du destin, bien au contraire. En effet, Paolo est issu de la famille Giolitti, au plutôt, du Clan Giolitti. Son grand père a été en son temps le plus brillant homme politique du pays, et pour cette raison, le petit Paolo, tout comme son jeune frère mais aussi ses deux sœurs cadettes, a été élevé à la dure. On lui a appris très vite à se débrouiller seul, à ne pas avoir à compter sur son nom pour obtenir ce qu’il voulait. Ainsi, ce n’était qu’après avoir terminé tous ses devoirs, ceux donnés par ses professeurs du système scolaire dit « normal » et ceux donnés par ses professeurs particuliers, qu’il avait enfin le droit de jouer. Mais il n’en a jamais été pour autant une personne sans cœur. C’est d’ailleurs ça qui a beaucoup plus à tous tout de suite, cette faculté à être dans la politique tout en ayant pas avoir eu à perdre son cœur en route.

    Paolo, c’est l’image du fils modèle, du gendre idéal. Très bel homme, mais encore plus intelligent, il possède une culture exceptionnelle, étant capable de vous citer, par exemple, le nom de tous les pays du monde, leur capitale mais aussi l’homme politique à sa tête. Il est également un grand fan de cinéma, ne manquant jamais de regarder tous les films sortis et susceptibles de l’intéresser. Et puisque son emploi du temps est plus chargé que n’importe quel ministre du gouvernement, il regarde ces films dans sa salle de projection privée, située dans sa grande demeure, en plein cœur de Rome. Tous ont toujours recherché sa compagnie, et ce dès son plus jeune âge. Ainsi, son grand père adorait déjeuner avec lui, lui lisant le journal tout en lui demandant à chaque instant ce qu’il pensait de ceci et de cela … Ces petits camarades des écoles les plus sélects de la capitale Italienne recherchait sa présence, parce qu’il était déjà de ces personnes possédant une aura quasi mystique, un charisme auquel on ne peut résister. Il n’avait jamais eu de mal à obtenir ce qu’il voulait de ces professeurs, puisque, lorsqu’il s’agissait d’un professeur, il savait mettre en avant tant et si bien ses arguments qu’il gagnait toujours et que lorsqu’il était face à une professeur, il n’avait qu’à lui sourire.
    Parce que voici l’un de ses autres traits de caractères. Paolo est séducteur, et même plus que cela. Tout petit, il lui était impossible d’embrasser sur la joue, à travers les grillages, parce que filles et garçons étaient séparés, toutes les petites filles qui le lui demandaient. Mais il mettait un point d’honneur, à déjà 6 ans à peine, à connaître le prénom de chacune d’entre elle. En grandissant, il a vite appris et compris que ce charme jouerait en son avantage dans n’importe quelle situation. Dès sa majorité, il est devenu l’un des plus beaux partis de Rome, et même de tout le pays. Et cette situation s’est renforcée dès son entrée dans la vie active ! Et il y en a une qui l’a vite compris !!!
    Mais Paolo a grandit, prenant du grade et se mariant, puis devenant père. Il n’a pas pu tout gérer de front, malgré ce qu’il aurait souhaité. Il n’a pas été un père présent, jamais en fait, mais c’était uniquement parce qu’il travaillait d’arrache pied pour prouver à tous qu’il méritait sa place. Certes, il a pu aller dans les plus grandes écoles du pays, réputées et ouvrant un maximum de portes, et ce grâce à l’argent de sa famille et à la réputation de cette dernière. Mais il a mérité sa place, c’est lui et lui seul qui a trimé pour être le meilleur, sans cesse, pour sortir major de sa promo, puis pour obtenir une si belle place au Parlement. Et lorsqu’on est au sommet, ou presque, les convoitises augmentent. Les gens cherchent encore plus à vous faire chuter, puisqu’ils savent que plus haut vous êtes, plus dure sera la chute. Il passe ses journées dans son bureau, ne rentrant que trop tard dans la nuit. Les premiers temps, cela a été très dur pour lui, d’autant plus que son mariage battait d’ores et déjà de l’aile et que sa toute petite fille, sa princesse, sa Sara, semblait toujours lui demander de lui consacrer du temps.

    Il entretient un grand sentiment de culpabilité à ce propos. Sara a commencé à se rebeller, mais il n’a jamais pu se résoudre à la réprimander comme il l’aurait pourtant dû. Au lieu de ça, il lui a toujours offert les plus beaux présents, pensant qu’ainsi, à défaut d’acheter l’amour de sa fille, il rachèterait son absence du foyer. Si Paolo peut donner sa vie pour quelqu’un, c’est bien pour sa fille. C’est un père laxiste, s’exclamant toujours devant les dérapages de sa fille, parce que lui a toujours eu un rang plus imposant à tenir. Il se souvient de ces longues heures durant lesquelles il travaillait et travaillait sans cesse, et il a vite compris que ce n’était pas la vie rêvée pour un enfant. Avant même d’être en âge d’en avoir, il avait déjà pris la décision de ne jamais leur faire vivre ça. Il a toujours tout donné à sa fille, pour qu’elle ne manque de rien, mais est ce réellement la meilleure solution ? A croire que dans cette famille, ils connaissent par cœur le blanc et le noir mais que le gris leur reste totalement étranger ! Elle porte son nom, et espère, sans doute naïvement, qu’elle, elle parviendra à changer l’image que l’on en a … Mais elle risque surtout de passer pour une sale gosse ! Il l’aime de tout son cœur, mais a du mal avec les émotions …
    Parce qu’il tient aussi à elle, plus que sa propre vie, il ne peut se résoudre à se séparer de celle qui lui a fait ce magnifique présent. Rien que pour ça, il aura toujours une certaine tendresse pour sa femme …



  • Détails physiques : Que dire de Paolo ? Mis à part ses magnifiques yeux bleus, il représente traits pour traits l’Italien. Brun aux cheveux coupés courts, ses traits sont fins mais très masculin. Il a toujours un léger sourire sur les lèvres, ce qui renforce l’idée de certains qu’il est juste ici pour se moquer d’eux. En réalité, c’est l’inverse, mais il refuse d’entrer dans leur jeu. Ce mystérieux sourire, tout de même plus naturel que Mona Liséien est juste dû à son air habituel. Et puis, avouez qu’il est beaucoup plus rassurant et confortant de rencontrer un homme politique comme lui, puisqu’en grande règle générale, ces « collègues » ont toujours les traits tirés et semblent toujours sortir d’un enterrement. Lui, au moins, lorsqu’il vous regarde, vous ne vous attendez pas à ce qu’il vous annonce que vous avez été condamné à mort et que la sentence est immédiate ! Il a un côté rassurant et dans le même temps mystérieux, parce que dans son regard, vous verrez sans cesse trente milles sentiments à la seconde. Le miroir est le reflet de l’âme dit on, c’est d’autant plus vrai pour lui alors, mais qu’est ce qu’il doit être déchiré le pauvre homme ! On a cependant sans cesse le sentiment qu’on y a versé des bulles de champagnes, tant ses yeux bleus pétillent. Qu’il plonge son regard dans le vôtre et vous voilà toute à sa merci, mais avouez que vous ne tombez pas sur si horrible que ça !


    Bien bâti, il passé beaucoup de temps, le maximum qu’il peut en tout cas, à faire du sport. Pas question pour lui de s’encrouter, et encore moins de devenir aussi bedonnant que tous les autres ! Il est encore bien musclé et combien de ses secrétaires se pâment dès qu’il a le dos tourné, par qu’elles ont deviné sous sa chemise des tablettes de chocolat des plus alléchantes. Il est grand, mesurant près d’un mère quatre vingt dix, et semble avoir été taillé d’un seul bloc, comme s’il avait été sculpté par les mains expertes de Michelangelo, devenant alors le Paolo Di Michelangelo ! Il vous donnera sans cesse l’impression d’être là pour vous rattraper si vous veniez à chuter. S’il vous accorde une danse à l’une de ces réceptions hypra guindées, il vous fera tant et si bien danser que vous finirez pas être persuadée que vous n’êtes plus au milieu de toute cette foule, qu’il vous a emmené là d’ici, que vous l’avez pour vous seule !

    Et que dire de sa voix grave, un peu éraillé, qui donne toujours l’impression qu’il a passé la soirée de la veille à hurler dans les tribunes d’un stade ? Très sexy et toute aussi envoutante que le reste de sa personne ! Il semble qu’elle vous enveloppe d’un cocon suave et protecteur et à l’écouter, parce qu’il a l’intelligence nécessaire alliée à tel timbre de voix, vous oubliez tout du motif de votre présence, de ce que vous disiez aussi, bref, de vos oppositions à l’un de ses choix !!!



  • Signes particuliers : Beaucoup trop pour tous les citer, mais sachez tout de même qu’il a eu un accident de voiture plus jeune et qu’il a « hérité » d’une cicatrice dans le dos, longue de tout de même quelques 5 centimètres.
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MessageSujet: Re: THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!!   THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!! EmptyMar 19 Mai - 23:48

    III. Histoire & Co :


  • Histoire:

    « Paolo Milo Matteo Giovanni Giolitti … Un nom court, mais précédé de pas moins de quatre prénoms ! Le dernier n’étant pas des moindres, qui plus est, puisqu’il s’agit de celui de mon grand père paternel, le grand Giovanni Giolitti, président du conseil Italien de 1892 à 1863, puis de 1904 à 1909, une nouvelle fois de 1911 à 1914 et enfin, pour la quatrième fois, de 1920 à 1921 … Je suis né dans une famille où l’on m’attendait un peu comme le Messie je dois dire ! Mon père et ses frères étaient eux aussi dans la Politique, mais ils étaient assez loin d’avoir les mêmes prédispositions et le même talent que leur père ! Je suis le premier petit fils, le premier petit enfant aussi, mais aussi le fils aîné du fils aîné, on m’attendait au tournant ! Je suis né près de Palerme, dans notre maison de campagne … Elle a toujours été mon refuge, et je ne suis visiblement pas le seul à le penser. Mon grand père avait connu des soucis avec les Siciliens, mais avait aussi des tas de points communs avec eux. Il avait acheté ce lieu quelques mois avant sa mort, et il y était d’ailleurs quelques jours avant de s’étendre dans son Piémont Natal … Et puis, pour autre preuve, lorsque ma mère a accouché, la délicieuse Helena Mazanareti, mon père a tout de suite voulu m’appeler comme son père. Mais même si nous étions encore au début des années soixante, dans un pays patriarcal à l’extrême, ma mère a refusé de se laisser marcher sur les pieds ! Il a cédé, parce qu’on ne résistait jamais à ma mère. C’est d’elle, et ça, sans aucun doute, que je tiens ce côté joli gosse, rieur et fûté, et aussi charmeur. Parce qu’une chose est sûre, je n’ai pas hérité de la force tranquille mais froide des Giolitti, et heureusement pour moi, parce que je n’avais strictement aucune envie d’être un nouveau croque mort ! J’ai eu, après moi, un petit frère et deux sœurs jumelles. J’étais l’aîné, mais je ne jouais pas vraiment mon rôle avec eux, puisqu’on m’a élevé pour devenir ce que je suis aujourd’hui, on m’a donné toutes les clefs de la réussite : un nom de famille illustre et prestigieux qui m’a ouvert sans conteste toutes les portes, même les plus fermées, de l’argent pour pouvoir avoir à la maison les meilleurs précepteurs venant compléter l’éducation que je recevais dans les meilleures écoles du pays, situées à Rome. J’y ai toujours vécu il me semble …

    A l’école, d’ailleurs, j’étais le meilleur élève de ma classe, je l’ai toujours été d’ailleurs. Mais il y avait des heures et des heures de travail derrière cette réussite. Mon père était un homme aimant, mais qui ne le montrait jamais, sauf lorsque je le surprenais à venir nous embrasser le soir sur le front, tard dans la nuit, alors qu’il nous croyait endormi. Il voulait le meilleur pour moi, m’expliquant sans cesse que c’était pour mon bien, que la réussite était à ce prix. Moi, je voulais réussir, bien sûr, parce que j’ai grandis depuis tout petit avec cette idée, mais j’aimais aussi m’amuser. Je ne me suis jamais fais renvoyé d’une école, parce que je craignais la réaction de mon paternel si cela venait à arriver. Mais je n’étais pas non plus le plus sérieux des élèves … Ma période adolescente a été rock, comme celle de tout jeune ado, mais moins que celle de ma fille ! Je préfèrais juste voir les filles plutôt que de plancher, mais comme mes résultats scolaires ne baissaient pas tant que çà, ma mère ne disait rien, fermant les yeux, ou m’adressant des clins d’œil le matin au réveil, signe qu’elle m’avait très bien entendu rentrer plus tard que prévu la veille au soir. Mon père n’en a jamais rien su d’ailleurs, elle ne lui disait rien et lui s’endormait comme une souche dès qu’il se couchait, épuisé par sa journée de travail …

    A 22 ans, je suis sorti diplômé en droit, comme mon père, ses frères et mon grand père avant moi, alors que, je vous le donne en mille, mon frère en était à sa première année et que mes sœurs allaient entrer lorsque moi je partais ! Tradition familiale, quand tu nous tiens ! J’y suis allé au culot, je ne vous le cache pas, quand je suis entré sans rendez vous dans le bureau du Dirigeant du Parlement. Je me suis présenté à lui sous le nom de famille de ma mère, pour être sûr qu’il ne me donne pas cette place de conseiller que je venais chercher juste parce que je me nommais Giolitti, et je lui ai tendu mon dossier scolaire. Il a aimé mon charisme, mes appréciations scolaires et aussi mon culot : j’ai été pris …

    J’avais 22 ans, des espoirs et des rêves plein les yeux et une péliade de jolies jeunes filles à mes pieds ! Je n’étais pas bien sérieux en amour en ce temps là, je préférais mettre tout mon sérieux dans mon tout nouveau poste, le premier de ma carrière qui ne faisait que commencer ! J’avais 22 ans, j’étais donc le plus jeune de toutes les personnes déambulant dans les couloirs du Parlement, parce que j’avais encore tous mes cheveux, que ceux-ci n’avaient pas encore commencé à virer au poivre et sel et que je portais des costumes D & G, Givenchy, Clavin Klein, sans cravate ni nœud papillon, et que je ne pensais pas toujours à raser cette barbe de trois jours qui me donnait encore plus de charme … Mais tout ceci n’allait pas tarder à changer pour moi … »

    « Attend … Tu es enceinte ? …. Et ça veut dire quoi ça ?

    - Et bien ça veut dire que dans 8 mois maintenant, tu auras un enfant et qu’en attendant, mon ventre va gonfler comme une pastèque !!!

    - Je suis pas idiot Olivia, je sais ce que signifie être enceinte mais … Tu es sûre qu’il est de moi ?

    - Disons que depuis qu’on est ensemble, je n’ai fréquenté personne d’autre, ça te va ? »


    Ouah, c’était l’amour fou me direz vous !! Pour être honnête, je ne crois pas un jour avant été amoureux d’Olivia. Je ne savais pas ce qu’était l’amour, et j’ai pensé que, puisque je ne m’étais encore jamais senti ainsi avant, cela devait être ça l’amour … La suite m’a donné tord. Olivia était très belle, à se damner d’ailleurs. J’en ai fait des envieux mais ils n’ont pas tardé à ne plus l’être, une fois qu’elle acceptait de coucher avec eux. J’ai rencontré Olivia lors d’une réception mondaine, où elle avait été engagée pour chanter. Oh, elle n’était pas une grande chanteuse, mais elle se débrouillait plutôt bien. Et puis, elle avait sûrement été embauchée grâce à son physique. Elle était mannequin, actrice, chanteuse, mais surtout serveuse en ce temps là. Elle m’a séduite dès que mon regard s’est posé sur elle, elle a adoré mon compte en banque et toutes ces choses qu’elle lisait dans mes yeux … Croyez moi ou non, mais à peine 1 mois après l’avoir rencontré, je l’épousais ! Elle m’avait annoncé une semaine plus tôt être enceinte. Je n’étais pas plus prêt que ça à l’épouser, pas plus prêt que ça à me mettre en couple avec elle, mais j’étais prêt à assumer mes responsabilités. Ma mère était gravement malade, et elle m’a demandé d’épouser Olivia, afin qu’elle puisse assister à la noce. Celle-ci a été célébrée en grande pompe, on me mariait, ce n’était pas rien ! Olivia avait eu des exigences énormes et lorsque je me risquais à hausser un sourcils, elle me disait que tout ça était nécessaire et mettait ça sur le compte de ses envies subites de femme enceinte.

    Sara est née 7 mois, trois semaines et deux ou trois jours après. Ma toute petite … Olivia a souffert mais ça valait le coup. Lorsqu’on me l’a tendue, je me suis mis à pleurer. Bête, nan ? Pas tant que ça, parce qu’elle était si belle … Et semblait si fragile … Mais déjà, Olivia n’y accordait plus d’attention. Elle était du genre volage, même si elle n’avait pas eu la possibilité de me tromper une fois enceinte, cela faisait fuit les éventuels prétendants ! J’ai fait une tonne de tests, pour m’assurer que cette huitième merveille du monde était bien MA merveille … Les résultats tombaient les uns après les autres, tous positifs … Mais après tout, comment aurait il pu en être autrement, elle avait mes yeux, mes cheveux, et ne tarderait pas à avoir ma curiosité !

    J’avais presque 23 ans, j’étais marié et surtout, père. C’est à ce moment là que j’ai compris que nous ne formerions jamais la famille idéale, que jamais je ne pourrais être aimé d’Olivia, incapable d’aimer quiconque d’autre qu’elle-même. La preuve, elle n’a pas pris part à l’éducation de Sara, préférant vider un peu de mon compte en banque en shopping à travers l’Europe. Je me concentrais sur mon boulot, parce qu’en rentrant tard, je savais que je ne risquais pas de la croiser, et que je n’avais pas à prendre part à une scène de ménage. Sara devait être préservée. Et puis, avec mon travail, il y avait de lourdes responsabilités, un emploi du temps chargé aussi. Je ne pouvais pas m’occuper d’elle, mais pour ne pas passer pour le méchant père démissionnaire et jamais là, je la couvrais de cadeaux, pourtant conscient que même ce gigantesque cheval à bascule en peluche ne me remplacerait dans le cœur de Sara, que ce joli vélo rose ne me pardonnerait jamais …

    Ma princesse m’en a fait voir de toutes les couleurs … Mais je n’ai jamais été doué pour parler de mes émotions moi. Autant je peux discourir comme personne sur la pollution des nappes phréatiques ou sur la nécessité de prendre une place importante dans les affaires de l’Union Européenne, autant je suis incapable de simplement dire « Je t’aime » à Sara … Je suis pitoyable, nan ? Et pourtant, malgré mon travail plus que prenant, j’ai toujours veillé de loin sur elle, payant les meilleures personnes pour s’occuper d’elle, pensant à chacun de ses anniversaires, à chacune de ses fêtes. Je savais toujours quoi lui offrir, preuve de mon grand intérêt pour elle … Mais je n’ai jamais su faire comme il faut, parce qu’elle n’est jamais devenue la petite fille modèle dont j’ai pu rêver. Mais ma Sara reste ma Sara … Et au fond, dans ce milieu de requin, où l’on ne peut compter que sur soi et où l’on est plus seul que jamais, elle est la chose la plus précieuse que je possède, je sais qu’elle ne cessera de m’aimer, mais je sais aussi que je risques de la perdre si je continues à être si peu là pour elle …

    J’ai assuré son bien du mieux que je pouvais, l’envoyant en pension afin qu’elle n’ai pas à grandir encore et toujours avec sa mère et moi. Nous faisions lit à part, le matin, elle ne répondait pas à mon baiser sur le front, un baiser qui avec le temps s’était mué en simple baiser amical, voire même moins. Olivia n’a jamais été fidèle, tout Rome sait ça. Et si j’accepte de rester marié avec elle, c’est parce qu’elle m’a tout de même donné Sara. Et que je veux que ma fille reste en contact un minimum avec sa mère. Si nous divorçons, j’ai bien peur que Sara coupe les ponts avec sa mère, n’ayant plus à la voir. Et cela ne changerait rien à ma vie. Voilà près de 25 ans que c’est ainsi, je vis avec sans grand soucis …
    Mais aujourd’hui, Sara m’inquiète. Je sais, je suis maladroit dans mes gestes et mes paroles, dès que cela la touche de près ou de loin, alors que je suis si habile avec tout le reste. Il y a des rumeurs très déplaisantes à son sujet, comme quoi elle fréquenterait le petit fils Spinelli …

    J’ai horreur de cette famille, comme eux ont horreur de nous. Il y a ce vieux crouton et ce vieux fou de Giovanni, qui fait bien honte à tous les Giovanni (il changerait de nom que cela ne me déplairait pas !). Il me déteste, mais après tout, c’est bien le signe que je suis tout à fait en mesure de m’élever plus haut que lui et de devenir meilleur que lui, si je ne le suis déjà. Il me taxe d’arriviste, mais je m’en moques bien. Je ne dis rien, mais cela ne m’empêches pas de le détester encore plus. Tout ce qui touche aux Spinelli doit être fui comme la peste, et elle … Elle, elle veut à tout prix nous faire un remake de Roméo et Juliette, changeant le lieu de Vérone à Rome … Elle m’a d’ailleurs tout confirmé au Bal, et je n’ai pas su quoi faire. Maintenant, elle doit sûrement me détester, parce que j’ai tourné les talons sans rien dire. Le soucis, c’est qu’elle semble amoureuse, mais que Julian est un Spinelli … C’est me demander de choisir entre mon honneur et ma fierté, et mon amour et ma vie de père …
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MessageSujet: Re: THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!!   THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!! EmptyMar 19 Mai - 23:51


  • Le plus beau jour de votre vie : « Quand j’ai tenu Sara dans mes bras, lorsque sa toute petite main à chercher à encercler l’un de mes doigts, j’ai bien cru que mon cœur allait lâché à force de s’emballer … Elle était si légère, et j’avais si peur de la laisser tomber par terre. Cela aurait été une catastrophe, n’est ce pas ? Ce jour là a été et reste encore le plus beau jour de ma vie, parce qu’enfin, j’avais fais quelque chose par moi-même et que je pressentais déjà que tout ceci n’était que le début d’un long projet. Sara a bien grandi si l’on regarde le foyer que nous lui avons offert, c’est ma fierté à moi … «
  • La plus grande épreuve que vous avez surmonté : « Je n’étais pas là pour les 18 ans de Sara, du moins, je suis rentré trop tard à la maison. Je me suis retrouvé coincé dans un sale embouteillage à la sortie du Parlement et lorsque je suis arrivé chez nous, elle n’était plus là. On l’avait fait revenir exprès de son pensionnat, mais sa mère n’avait même pas daigné être avec elle, et moi, alors que je lui avais promis d’être là, de ne me consacrer qu’à elle, j’avais brisé ma promesse. Sara était partie se promener seule d’après le personnel de maison, et je suis resté assis derrière cette table magnifiquement dressée, avec devant moi ce beau gâteau même pas touché et toutes ces bouteilles pas ouvertes. Je me suis pris le visage dans les mains tout en me maudissant. Elle ne répondit à aucun de mes appels … Les 18 ans de Sara, je les ai passé tout seul dans cette grande salle à manger, complètement perdu, loin d’elle, avec la certitude que quelque chose se cassait entre nous, que je la perdais … »
  • Si vous pouviez changer une chose : « Il y a tant de chose que je voudrais changer, alors, je ne peux en choisir une … Si j’avais été un père présent pour elle, jamais je ne serais arrivé aussi haut que je suis aujourd’hui. Si j’avais été à fond dans mon travail, je serais plus haut encore. Je n’ai jamais pu me résoudre à choisir entre ma paternité et mes ambitions, et je n’ai pas géré au mieux visiblement … »
  • Votre plus grand rêve : « J’aimerais juste qu’un jour, Sara se marie avec un homme formidable, qu’elle ai enfin quelqu’un sur lequel elle puisse toujours compter. J’aimerais qu’elle ai enfin la vie qu’elle mérite, qu’elle cesse sans cesse de courir après ses rêves et ses envies de se voir aimer …
  • L'instant parfait : Lorsqu’elle était plus petite, Sara veillait tard dans les escaliers, en attendant que je monte la border, et l’endormir. Mais je ne montais jamais à l’heure, je ne montais parfois même pas. Mais lorsque je le faisais, je m’installais sur une chaise et l’observait dormir, ses petits poings fermés sur son oreiller, et cet air déterminé sur le visage … Sara Tosca Giolitti va changer le monde un jour, mais elle ne le sait probablement pas encore. Je suis son père, j’en suis persuadé. Elle est du sang des Giolitti après tout ! »

    IV. Goûts :
  • Plat préféré : Lasagnes à la Bolognaise, mais attention, uniquement fait pas sa mère ou sa cuisinière.
  • Couleur Préférée : Bleu
  • Livre Préféré : Paolo dévore les livres, dans la voiture qui le ramène chez lui, dans son lit, ou entre deux rendez vous. Mais il a un faible pour les romans de capes et d’épées, ou les romans épiques, avec du sang et des larmes …
  • Musique Préférée : Lorsqu’il travaille, il écoute du classique, avec une préférence pour la Chevauchée des Valkyries ou encore La Lettre à Elise. En revanche, il aime aussi écouter la radio, et change souvent de fréquences. Vive l’éclectisme !
  • Boisson Préférée : Rien ne remplacera un bon café pour lui ! Il en est accro, en a plus que besoin avec les horaires incroyables auquels il est soumis !
  • Parfum de Glace Préféré : Le chocolat ! C’est un accro de chocolat, parce que ça remonte le moral et que, plus petite, Sara en fourrait plein ses poches de veste avant qu’il ne parte au travail, pour qu’il pense à elle … Comme si le milliard de photos d’elle dans ses bureaux ne suffisait pas !
  • Odeur Préférée : Il adore l’odeur de la mer, de cette écume qui vient s’échouer sur les rochers. Et il y a aussi l’odeur de sa maison natale, près de Palerme, où il ne cesse d’aller pour se ressourcer dès qu’il en a le temps.
  • Endroit Préféré : Cette même maison de campagne en Sicile … Il y emmenait Sara lorsqu’elle était enfant, laissant Olivia à Rome, elle qui refusait d’aller jouer les paysannes comme elle disait ! Ils y passaient tous les deux d’excellents moments, et bien souvent, elle finissait par s’endormir après avoir couru et couru encore et encore. Il la portait et la ramenait, plongeant son nez dans ses cheveux, resserrant encore plus son petit corps contre le sien.
  • Saison Préférée :L’été … C’est signe pour lui de la fin de l’année parlementaire, et donc des vacances. Et puis, c’est aussi le signe qu’il est temps d’aller faire un tour du côté de Palerme !
  • Pays Préféré : L’Italie … C’est son pays, celui pour lequel il travaille si hardemment !
  • Other ? : Nop !

    V. Le joueur.
  • Nom ou pseudo : Han, trop dur à deviner !
  • Fille ou garçon : Principessa !
  • Âge : 1 an, je suis surdouée que voulez vous ?!
  • Comment avez vous connu le forum ? Qu'en pensez vous : L’adresse était écrite sur une feuille, posée à côté du truc, lui-même prêt du machin, vous savez, par là bas … Je me suis dis que les gens devraient vraiment ramasser leurs affaires !
  • Evaluez votre niveau de RP sur une echelle de 1 à 10, ainsi que votre présence sur le forum : Je suis une bille, alors je serais votre boulet, et pour punition, je bouletterais tous les jours ou presque !
  • Un exemple de post :
    Spoiler:

  • Code :
    Spoiler:



CITTA ETERNA.
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Sara T. Giolitti
Sara T. Giolitti
V.O.X P.O.P.U.L.I

AGE : 24 ans
MESSAGES : 1913
ARRIVÉE LE : 01/03/2009
EMPLOI : Pour l'instant je me consacre à ne rien faire. C'est bien aussi.
ADRESSE : 25 via s. maria sopra minerva - Parione, Palatin.
QUOTE :
THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!! 6439563

"cette fille, c'est un prédateur déguisé en caniche"

AVATAR : kristen stew
POINTS : 576

.
ARE U IN MY CELLPHONE:
STATUT: Marié(e)
DISPO POUR UN SUJET ?: pas pour l'instant.

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MessageSujet: Re: THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!!   THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!! EmptyMer 20 Mai - 0:01

Vas-y, je sors Sara pour valider le papounet !

Alors là, vive les coups en douce ! ^^ J'adore ! J'adore ! J'adore !

VALIDÉE !!! C'est assez visible, là ? XD
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https://citta-eterna.bbactif.com/t1391-sara-9670-et-ta-debauche-n
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MessageSujet: Re: THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!!   THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!! Empty

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THE Paolo ~ You Waited For Me, Isn't It ?!!!

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