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 Sara Giolitti, pour vous servir | U.C

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Sara T. Giolitti
Sara T. Giolitti
V.O.X P.O.P.U.L.I

AGE : 24 ans
MESSAGES : 1913
ARRIVÉE LE : 01/03/2009
EMPLOI : Pour l'instant je me consacre à ne rien faire. C'est bien aussi.
ADRESSE : 25 via s. maria sopra minerva - Parione, Palatin.
QUOTE :
Sara Giolitti, pour vous servir | U.C 6439563

"cette fille, c'est un prédateur déguisé en caniche"

AVATAR : kristen stew
POINTS : 576

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STATUT: Marié(e)
DISPO POUR UN SUJET ?: pas pour l'instant.

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MessageSujet: Sara Giolitti, pour vous servir | U.C   Sara Giolitti, pour vous servir | U.C EmptyDim 1 Mar - 2:19

    Sara Giolitti, pour vous servir | U.C Kristen2
    By Maeva

      I. Identité :
    • Nom : Giolitti
    • Prénom : Sara Tosca
    • Surnom(s) :
    • Âge : 24 ans
    • Lieu de Naissance : Rome !
    • Profession : Fille à papa, ça compte ?
    • Groupe : Residenti
    • Avatar : Kristen Stewart

    III. Histoire & Co :
  • Histoire:

    [...J'ai un passé, très passé !...]
    "Le nom "Giolitti" vous parle ? Evidemment, comment pourrait-il en être autrement ? Giovanni Giolitti, président du conseil italien de 1892 à 1893, puis de 1904 à 1909, puis de 1911 à 1914, et pour finir de 1920 à 1921. L'un des plus grands, des plus respectés, de tous les présidents du conseil ! On retient de lui, surtout, son opposition à Benito Mussolini, durant la seconde guerre mondiale, et son rejet du fascisme. On oublie certainement de parler de la corruption qu'il a largement établie pendant ses différents mandats. Mais la fierté italienne a la mémoire courte. Ce grand homme, c'était mon arrière-grand père."
    La famille Giolitti profitait d'une large notoriété à Rome, et les fils de Giovanni, entamèrent eux aussi, des études de Droit, avant d'embrasser, comme papa, une carrière politique. Aucun, cependant, ne parvinrent à égaler leur fameux père, l'homme aux 5 mandats, se contentant souvent, de présider des Conseils locaux. Puis, la monarchie cessa avec la fin de la deuxième guerre mondiale, et l'Italie redevint une République, comme sa grande soeur française. La deuxième génération de Giolitti ne brillant pas vraiment, on porta tous les espoirs dans la troisième génération, Notamment Paolo Giolitti. Quel choix judicieux ! A l'âge de 22 ans, à peine son diplôme en poche, il entra au parlement italien. Il excellait dans tout ce qu'il entreprennait, devenant le conseiller personnel du Dirigeant italien. On se l'arrachait, en politique, comme en société. Plutot bel homme, il devint rapidement un des meilleurs partis de Rome ! Il ne s'en plaignait pas, abusant de son statut pour multiplier les conquêtes, avant de tomber sur une jeune apprentie mannequin, apprentie actrice, apprentie chanteuse aussi, mais essentiellement serveuse. Elle ne serait probablement jamais ressortie du lot si elle n'avait pas eu l'excellente idée de tomber enceinte. Acte volontaire ou non, la carrière du jeune Paolo était bien trop prometteuse pour l'entacher avec une sordide histoire de secret de polichinelle. La famille, presque une mafia, incita fortement Paolo à épouser la demoiselle, histoire d'étouffer dans l'oeuf tout scandale, ce qu'il fit. Un mois après leur rencontre, la jeune serveuse devint la nouvelle Madame Giolitti, et quelques mois plus tard, elle mit au monde une belle petite fille. Malgré une batterie de tests de paternité, Paolo ne pouvait pas renier sa fille. Elle avait son visage, ses yeux, sa bouche, et les mêmes boucles brunes. A croire que sa mère n'avait servit qu'à l'abriter pendant 9 mois. D'ailleurs elle ne fut guère étouffée par son instinct maternel. A peine la petite fille née, elle la reposa dans le berceau, et ne la toucha, pour ainsi dire, quasiment plus. Sara, Tosca, Giolitti. C'est Paolo qui avait insisté pour que sa fille porte en deuxième prénom, celui de l'oeuvre préféré de son grand père. La Tosca, Opéra célèbre, où le rôle titre, est celui d'une femme d'une jalousie maladive, qui fera tuer son amant par mégarde, avant de s'ôter la vie en signe de désespoir. Tout compte fait, il aurait peut être mieux valu qu'il s'abstienne.


    [...1989...]
    "Où est-elle ?"
    "A l'Opéra, Monsieur."
    "Et elle abandonne sa fille comme ça ?"
    "Ana s'occupe d'elle, Monsieur."
    "Comme d'habitude !"

    J'avais 5 ou 6 ans, et depuis ma chambre, j'entendais mon père faire les cents pas dans le grand hall d'entrée. En tendant l'oreille, je pouvais savoir exactement ce qu'il faisait. Un bruit d'étoffes, c'était son manteau qu'il retirait et confiait au majordome. Un bruit sec, reprit en écho par le marbre du sol, c'était sa sacoche en cuir qu'il venait de poser par terre. Ma Nanny tentait de me coiffer les cheveux. 100 coups de brosses, qu'elle avait dit, mais moi je voulais mon papa, et les coups de brosses pouvaient attendre, surtout qu'elle me tirait les cheveux, m'arrachant une grimace à chaque passage. Avec vivacité, j'échappais à Ana, et me faufilait par la porte ouverte jusque dans le couloir sombre de la grande demeure. Je n'avais aucun mérite, ma Nanny, ses 65 ans bien passés, et ses rhumatismes, ne pouvaient rivaliser avec mes petites gambettes toutes fraîches. Je ne voyais pas souvent mon papa, juste le soir, après son travail, quand il venait dans ma chambre pour déposer un baiser sur mon front, et bien souvent un énième petit cadeau sur mon petit lit. Je me moquais bien de ses présents, seul son bisou comptait, mais à ses yeux cela ne semblait pas suffire. Ce soir là, il passa devant moi sans me voir. Assise en haut de l'escalier, il ne me prêta pas le moindre regard, et ses grandes enjambées le conduire loin de moi, vers son bureau, cette pièce secrète où j'avais interdiction d'entrer... "Chuuuuut, jolie poupée. Ton papa est très fatigué, il te fera ton bisou tout à l'heure, quand tu seras au royaume des rêves.". Cette nuit là, je veillais jusqu'à très tard, ne voulant pas être au royaume des rêves quand mon papa viendrait. Mais le sommeil finit par me vaincre, et mes yeux se fermèrent sans que j'ai eu le droit à mon bisou de bonne nuit.

    [...1999...]
    "C'est quoi ce look ? T'as l'air d'une nonne ! P'tain, Sassa ! Tu ressembles à ma grand-tante !"
    "Mon père déboule !"
    "Oooh..."

    Matilda venait de hocher la tête d'un air entendu, avant de tourner les talons, afin de quitter la chambre que l'on partageait. J'avais 15ans, et j'étais dans ce qu'on appelle communément une "pension de jeunes filles". Il était d'usage d'envoyer les jeunes filles de bonnes familles, dans des établissements prestigieux où l'on était censé leur apprendre les bonnes manières, et la bonne tenue en société. Enfin c'est ce que le dépliant laissait entendre. Mais dans les faits, on était bien loin de tout cela ! Jouissant d'une liberté incroyable, nous faisions ce que bon nous semblait ! Du moment que cela ne revenait pas aux oreilles de nos fortunés parents, nous pouvions tout nous permettre. D'ailleurs je luttais pour effacer les cernes, témoins de ma nuit blanche, devant le miroir en pied de ma chambre. Mon père m'avait expédié ici, dans l'espoir de m'éviter la cicatrice d'une famille déchirée. Mais je n'étais pas dupe. Les rares fois où je rentrais à Rome pour les vacances scolaires, je voyais bien que même si lui faisait des efforts pour donner le change, ma mère, ne changeait rien à ses habitudes. Soirées mondaines ou en boites, nouvel amant tous les quinze jours, et les chambres séparées. Rien n'allait plus entre eux. Mais avait-ce été un jour ? Je ne m'en offusquais même pas. Ce schéma durait depuis tellement longtemps, qu'il était le seul modèle familiale que je possédais. Tout en réajustant mon chignon strict, j'étudiais mon reflet. Ma petite chemisette, et mon gilet boutonné jusqu'en haut faisait illusion ! J'avais tout de la jeune fille sage, même la jupe plissée. Mon haleine ! Oups ! En soufflant dans ma main je vérifiais que l'odeur ne nicotine n'était pas trop forte. Bon, j'avais cinq minutes devant moi pour un deuxième brossage de dents.

    [...2002...]
    "Renvoyée ?! Mais comment as-tu pu te faire renvoyer ? Tu es une Giolitti !"
    "La barbe, Giolitti !"
    "Pas sur ce ton là, jeune fille ! Sais-tu ce que ton aileul a donné pour que son nom soit aussi respecté ?"
    "C'est à lui qu'on a donné, oui ! Il était financé par la Banca Italiana !"

    Mon père leva les yeux au ciel. Je ne partageais pas l'enthousiasme que lui inspirait la seule évocation de son grand père. Mon nom de famille, n'était ni plus ni moins que mon droit d'entrée dans tous les lieux branchés de la capitale, pour le reste, je m'en moquais royalement !
    "Que comptes-tu faire avec ce jeune homme ?"
    "Qui ?"
    "Saraaaaa..."

    Plus un soupire, que réellement mon prénom. Ma nonchalance l'agaçait. J'avais été renvoyé de ma pension, parce qu'on avait retrouvé un type dans mon lit. Pas très intelligent de ma part, mais d'un autre côté, j'en avais marre d'être enfermée làbas, j'avais depuis longtemps envie de revenir à Rome.
    "Ha ! Lui ? Bah rien, pourquoi ?"
    "Tu... Tu ne comptes pas... heu... me le présenter ?"
    "Pour quoi faire ?"

    Son regard en disait long, et je compris de suite sa méprise.
    "Oula ! T'emballes pas ! C'était pas le premier, et ce ne sera pas le dernier !"
    Son visage s'empourpra, et la colère cavala dans ses veines, venant en faire palpiter une juste au niveau de sa tempe. Oups, je venais de briser l'image de la petite fille modèle qu'il s'était efforcé de conserver. J'aurais certainement dû y aller plus en douceur, histoire de ne pas le brusquer. J'étais franche, et je parlais avant de réfléchir, un de mes gros défauts. Je m'empressais de reprendre un visage angélique, tout en posant une main sur son bras. Mais le mal était fait, et il recula d'un pas, comme si mon contact lui était désagréable.
    "Tu es bien comme ta mère !"
    Il avait lâché ça avec une telle colère, et un tel dégout dans la voix, que ce fut à mon tour de sentir la colère monter en moi.
    "Mieux vaut être comme elle, que comme toi ! Au moins elle, elle vit, elle s'éclate ! Alors que toi, t'es mou ! T'es vieux ! C'est ça que tu souhaites pour moi ? Une vie de merde ?"
    J'avais 18 ans, et ce jour-là aurait pû marquer un tournant définitif dans nos relations. J'aurais souhaité qu'il réagisse, qu'il me gifle, qu'il me punisse, ou même qu'il m'ignore. Qu'il me fasse payer d'une façon ou d'une autre tout le mal que je venais de lui faire. Ma mère s'était comportée comme une trainée avec lui, durant toute sa vie, et moi je prenais le même chemin. Un électrochoc m'aurait certainement remit les idées en place. Mais au lieu de ça, il m'offrit une Porshe, pour se faire pardonner, m'avait avoué Ana. Tout faux, papa !

    [...2005...]
    "Pleure pas, jolie poupée..."
    "M'app... m'appelle pas... pas comme ça !"
    "Il ne te méritait pas."
    "Nul... nul ta phra... phrase !"
    "Un de perdu, dix de retrouvés."
    "M'en fous des... dix..."
    "Sara..."
    "Basta !"

    J'avais envie de le gifler, mais je me contentais d'ôter avec force la main charitable qu'il venait de poser sur mon épaule. Dario n'y était pour rien, il cherchait juste a me réconforter, un peu maladroitement, mais il avait le mérite d'essayer. Tout le monde m'avait fuit, même mes prétendues meilleures amies. Je ne leur en voulais pas. J'étais une loque ! Même moi, j'aurais pas voulu trainer avec moi-même si j'avais pu. Mais Dario, lui, était là. Cela faisait deux jours et deux nuits qu'il veillait sur moi, ramassant les kleenex qui étaient en passe de recouvrir complètement le parquet de ma chambre d'étudiante, il m'offrait ses bras quand je me réveillais en sursaut après un cauchemard, puis essuyait mes larmes quand je me rendais compte que la réalité était pire que mon horrible rêve. J'avais beau le traiter de tous les noms, lui hurler de quitter ma chambre et de me laisser "mouriiiiiiiiiiiiir", il n'en faisait rien. Il ne semblait même pas me trouver effrayante avec mes yeux rouges et bouffis, mes cernes XXL, mes cheveux gras, et mon nez qui coule. Il ne cessait pas de me répéter à quel point j'étais belle, et à quel point Stefano était un crétin ! C'était lui, le crétin, de ne pas voir à quel point j'étais banale, pour ne pas dire laide, et que Stefano avait bien fait de me laisser tomber pour une créature voluptueuse ! Grande, immense, brune, avec de grands yeux verts, une bouche pulpeuse, et des formes ensorcelantes, voilà le portrait de Simonetta ! Je la détestais ! Je la détestais pour tout ce qu'elle possédait et que je n'avais pas ! Moi, et ma petite silhouette androgyne, mon visage asymétrique et ma maladresse, alors qu'elle était tout en grâce ! La seule chose qu'elle aurait pu m'envier, c'était Stefano, mon amoureux depuis 3 ans. Mon premier vrai, mon premier amour, le seul qui avait eu accès à mon coeur en plus de mon lit. Mais elle n'avait plus a me l'envier, puisque maintenant c'était dans ses draps qu'il se prélassait ! Je m'étais toujours demandé ce qu'il avait bien pu me trouver, lui le tombeur. Il avait eu toutes les filles à ses pieds, et c'était avec moi qu'il avait choisit de vivre quelque chose. Ensemble on attirait tout les regards, et je n'avais pu m'empêcher de penser que c'était notre couple mal assortit qui les intriguait. Stefano n'avait eut de cesse de me rassurer, me répétant que j'étais la plus belle femme à ses yeux... J'avais presque finit par y croire, et j'entendais les cloches de l'église sonner nos noces. Arf', naïve petite sotte ! Il avait finit par se lasser de ma beauté atypique, au profit d'une beauté plus conventionnelle, et indéniable celle-là ! "Je te quitte !", m'avait-il lancé au petit matin dans sa chambre... J'avais cru comprendre... En même temps, la créature brune qui se lovait au creux de ses bras, ne me laissait pas beaucoup d'espoir quant à la tournure de notre relation. J'avais voulu lui faire une surprise, et le rejoindre dans sa chambre pour un réveil en douceur. Mauvaise idée ! La prochaine fois, je préviendrais, histoire de ne pas le surprendre avec une autre. "La prochaine fois" ? Non, mais il fallait que j'arrête de penser comme ça ! Il n'y aurait pas de prochaine fois, il n'y en aurait plus jamais !
    "Elle, si j'la croise, j'en fais une carpette pour devant ma cheminée !"
    Dario avait sourit ! Enfin je reprennais un peu de poil de la bête. J'avais pris une grande résolution ! Premièrement j'allais pourrir la vie de Simonetta, et de toutes les Simonetta de la terre. Et deuxièmement, plus jamais je ne tomberais amoureuse ! J'allais jouer avec les hommes, comme Stefano s'était joué de moi ! Mais pour commencer, j'allais enfiler des sous-vêtement, brûler mon vieux jogging, et aller à la remise de diplôme, la tête haute !
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Sara T. Giolitti
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MessageSujet: Re: Sara Giolitti, pour vous servir | U.C   Sara Giolitti, pour vous servir | U.C EmptyDim 1 Mar - 5:57



    [...2009...]
    "Où étais-tu ?"
    "En prison !"
    "Sara, tu peux pas être sérieuse deux minutes ?"
    "Je suis on ne peut plus sérieuse ! J'étais en prison, et j'ai passé la nuit la plus excitante de toute ma vie !"
    "Ok, c'est quoi ta dope ?"
    "Je connais pas son nom, juste son parfum, et le goût de sa peau."
    "Tu parles de quoi, là ?"
    "Je parle pas de quoi, je parle de qui !"

    Je venais de me laisser tomber dans le canapé du salon. Dario assit sur la table basse m'observait avec inquiétude. Je me doutais bien que mes propos très incohérent devaient me faire passer pour une junkie. Etirant mes membres endoloris par la nuit que je venais de passer, je lançais un sourire amusé à mon meilleur ami. Ca y est, il venait de comprendre.
    "Oh ! Je vois ! Ta nouvelle proie ?"
    "Non, cette fois, c'était moi la proie !"

    Etrangement, je disais vrai. Depuis 4 ans, je n'avais pas fait un seul écart au contrat post-Stefano que je m'étais fixé. Pas une fois je n'étais tombée amoureuse. J'avais joué avec les mâles sans me faire le moindre mal. Après la remise de diplômes, nous avions tous quitté l'université de Milan, nous éparpillant tous à travers l'Italie. Dario m'avait suivit à Rome. On avait prit un appartement à deux, avant de se rendre compte que ce n'était pas vivable. Il supportait mal les amants d'un soir qui se succédaient. Même si je ne comprenais pas trop sa réaction, j'acceptais sa décision de déménager. Il n'alla pas loin, cependant, récupérant l'appartement en face du mien. Ce qui fait qu'il n'échappait pas au défilé, et que je n'échappais pas à ses interrogatoires en règle quand je squattais chez lui pour un petit dej' improvisé. Il jouait même souvent le rôle du petit ami jaloux, quand un homme de passage se prenait a rêver d'un avenir avec moi. Impensable ! Jamais je ne referais l'erreur d'ouvrir mon coeur. J'étais juste une chasseuse, et quand la proie était ferrée, je passais à une autre ! Mais la nuit dernière, les rôles avaient été inversés, et je m'étais retrouvée dans le rôle de la proie, tombant sur un chasseur plus expérimenté, et plus habile que moi ! Mais je n'avais pas dis mon dernier mot ! J'allais rétablir l'équilibre des choses ! Il fallait qu'il redevienne la proie, histoire d'exorciser cette nuit ! J'avais du pain sur la planche étant donné que je ne connaissais rien de lui, si ce n'est son odeur...
    Pourquoi Dario me regardait-il de travers ?


  • Le plus beau jour de votre vie : Il n'a probablement pas encore eu lieu. Non pas que j'ai à me plaindre de ma vie, mais je n'ai pas de souvenir où je me vois pleinement heureuse. Il y a à chaque fois quelque chose, même une toute petite chose, qui casse le moment magique, et le rend bien trop réel pour que ce jour soit le plus beau de ma vie. Mais patience...
  • La plus grande épreuve que vous avez surmonté : Une mère absente, un père laxiste, élevée par une Nanny même pas italienne, trompée par le seul amour de ma vie. Ca fait un paquet d'épreuves !
  • Si vous pouviez changer une chose : Je souhaiterais une famille normale. Moins riche, mais aimante. L'argent pourrit tout !
  • Votre plus grand rêve : Faire la fierté de mon entourage. Que mon père me dise juste 'je t'aime' et ne me le fasse pas comprendre avec une Ferrari. Que ma mère me remarque enfin. Que je puisse de nouveau avoir confiance en le genre humain.
  • L'instant parfait : Quand les rayons de soleil caressent ma peau ensommeillée, après une nuit mouvementée.

    II. Description physique & psychologique :
  • Détails psychologiques : "Pauvre petite fille riche !" Cette phrase à elle seule pourrait résumer le caractère de la brunette. Quand dans une famille normale les rejetons cherchent a attirer l'attention, ils multiplient les bonnes notes, font de brillantes études, fondent une famille idyllique ! Mais quand on s'appelle Giolitti, une mère qui ne daigne pas remarquer votre présence, et un père qui s'enthousiasme à chacune de vos boulettes, on ne suit pas vraiment les règles ! Rebelle ! Voilà ce que Sara est devenue au fil des ans. Comme si elle n'avait jamais quitté le stade d'ado en crise, elle aime choquer ! C'est le seul moyen qu'elle a trouvé pour attirer l'attention de son père. Elle le teste, cherche ses limites en multipliant les écarts. Mais il ne semblerait pas qu'il ait de limites. Croulant sous le travail, il s'accuse du comportement de sa fille. S'il avait été plus présente pour elle, surement qu'elle ne souffrirait pas autant. Alors à chaque connerie de sa fille, il se déculpabilise en lui offrant un luxueux présent. Bijoux, voitures, appartements, gros chèques... Elle n'a jamais manqué de rien, si ce n'est d'amour ! Habituée à ce qu'on lui cède ses moindres caprices, elle cherche pourtant le contraire ! Elle voudrait qu'on lui résiste pour une fois, qu'on lui dise 'non', et alors elle sortirait certainement de sa lassitude. Brillante, elle n'a jamais eu à travailler dur pour obtenir ses diplômes. Titulaire d'une licence en Lettres Modernes, elle souhaité poursuivre, et s'est interessé à la psychologie. Elle en a aussi profiter pour étudier plusieurs langues. Ainsi elle parle italien, anglais, français, espagnol, et possède quelques notions de Russe. Il faut dire que sa Nanny, Ana, étant slave, les premiers mots de l'enfant furent "dasvidania". Comme toutes les petites filles de la haute bourgeoisie, elle a fait de la danse classique, mais à souhaité arrêter à son entrée au lycée. Le piano, le violon, et même la harpe furent ses ennemis ! Elle joue encore du piano, le violon seulement sous la torture, mais ne vous avisez pas d'approcher une harpe d'elle ! Franche, elle va droit au but, ne mâchant pas ses mots. Elle parle souvent avant de réfléchir, et le regrette ensuite. Un peu gauche, il lui arrive souvent de renverser un tas de trucs sur son passage, de rater des marches, de rentrer dans des gens. Drôle, elle a du mal a rester sérieuse plus de dix minutes d'affilée. L'esprit incisif, elle maitrise l'art du sarcasme et de l'ironie. Le second degré est indispensable pour la comprendre. Pas vraiment imbue d'elle-même, elle ne se trouve rien de fantastique physiquement, mais elle compense en sensualité et en petites manies et mimiques attendrissantes. Elle sait ce qu'elle veut, et en général elle l'obtient assez facilement. Elle aime frôler le danger, vivre à 100 à l'heure, flirter avec les tabous. Choquer, rien n'est plus intéressant à ses yeux. Elle se refuse à être comme le commun des mortels, elle veut se démarquer ! Curieuse, elle s'interesse à tout, touche à tout ! Elle n'ouvre que très rarement son coeur, mais une fois qu'on y a sa place, impossible d'en être déloger, et alors la sauvage devient douce, tendre, généreuse, faisant passer ses besoins en second plan, que ce soit avec ses amis, ou ses amours ( même s'il n'y en a eu qu'un seul. )
  • Détails physiques : Petite chose toute frêle, elle pourrait inciter à la sur-protection s'il n'émanait pas une telle force de son petit corps. Petite de taille, elle possède un corps de liane. On n'a presque envie de la forcer à se nourrir quand on la voit. Pourtant elle ne se prive de rien, c'est juste son métabolisme, et surement aussi la danse classique qui la rende ainsi. Ses boucles aubruns lui tombent dans le dos, en vaguelettes négligées. Elle aura tout tenté, le noir corbeau, le blond vénitien, même le roux, pour finalement revenir à ce chocolat aux reflets cuivrés. Mais pour combien de temps ? Pour l'instant, ça lui convient, trouvant que cela fait judicieusement ressortir ses yeux bleus, intenses et rieurs. Elle-même se trouve d'un banal à mourir ! Pire même, elle se trouve bancale ! Sa bouche, rosée et tendre, ne va pas avec son nez, ni avec ses pommettes hautes et saillantes. Ses yeux son trop grands et lui mange la moitié du visage. Son corps n'a pas changé depuis ses 15 ans, et elle regrette de rester bloquée au stade d'adolescente. Mais elle n'est pas très objective ! Un oeil extérieur vous dirait que son visage est au-delà de joli, au-delà de beau, il est intéressant... Sa peau nacrée qui rosit à la moindre émotion, exposant son ressentit immédiat aux yeux du monde Ses grands yeux expressifs sont deux pièges fascinants ! Une fois dedans, on est perdu. Son corps de petite fée, lui donne des allures de femme-enfant, attirante et intrigante. Ses moues rieuses, moqueuses, contrariées, sont des armes de séduction massive, sans même qu'elle le sache. Au premier regard elle inspire confiance. On s'approche, sans se méfier, et une fois trop proche, la fascination opère, et on ne peut plus s'échapper. On est prit au piège. Son look de rebelle l'entoure d'une aura mystérieuse. Dans un monde où toutes les filles à Papa se battent pour du Gucci ou du Prada, Sara débarque en soirée avec un cuir sur le dos, et des converses aux pieds. Choquer encore une fois ! Elle sait faire des efforts, et les robes de soirées n'ont plus de secret pour elle. Sauf qu'elle les agrémente toujours d'un petit détail qui montre que non seulement elle maitrise la Mode, mais qu'en plus elle sait se l'approprier et la faire sienne. Un caméléon, qui s'aclimate à toutes les situations sans perdre une once de sa personnalité !
  • Signes particuliers : Elle en a trop pour les énoncer ici. Donc, à découvrir...

    IV. Goûts :
  • Plat préféré : Pollo alla Diavola ! Rien de plus simple que ce poulet relevé au piment ! Mais un délice !
  • Couleur Préférée : Dure, la question ! Le bleu quand je suis d'humeur romantique, ou cocooning, le rouge et le vert quand je suis d'humeur séductrice. Ca dépend de beaucoup de choses en fait. De la saison, de la mode, de mon humeur, et de ce que j'ai de propre dans mon dressing !
  • Livre Préféré : J'aime les livrets d'Opéra ! Une des seules choses que j'ai en commun avec ma chère mère. Les histoires tragiques me fascinent. Peut être est-ce à cause de ce prénom 'Tosca' que l'on m'a collé ! Les histoires qui finissent mal me confortent dans mon choix de vie. "Hamlet" plus précisemment.
  • Musique Préférée : Même si je ne l'avouerais même pas sous la torture, le classique à ma préférence. Dans un bain, avec quelques bougies et un verre de chianti, il n'y a pas meilleur instant. Par contre, au lever, il me faut du rock, histoire de me réveiller. Des groupes anglais, de préférence.
  • Boisson Préférée : En bonne mondaine : Le champagne. Mais le vin blanc aussi, le rouge moins, même si de temps en temps j'apprécie.
  • Parfum de Glace Préféré : Si un italien vient à lire ça, je suis morte mais... Ben&Jerry's ! A la vanille avec des morceaux de cookies ! Je n'en mange que chez moi, et quand j'en achète, je vais à la superette en imper avec une casquette et des lunettes noires !
  • Odeur Préférée : La fleur d'oranger. Ca me rappelle les crêpes d'Ana, et l'odeur de la maison de campagne où mon père m'emmenait, petite fille.
  • Endroit Préféré : Cette maison de campagne, en Sicille. Dernier refuge d'un semblant de vie familiale. Je n'y ai pas remis les pieds depuis 10 ans !
  • Saison Préférée : L'automne. Cette saison amène une petite brise qui nous permet de respirer entre les murs de Rome, et chasse les touristes ! Je retrouve ma Cité, et la vie mondaine reprend !
  • Pays Préféré : L'Italie. Quel italien dirait le contraire ?
  • Other ? : Là, tout de suite, je vois pas ! Mais si je retrouve, laisse-moi ton téléphone, et je t'appelle !

    V. Le joueur.
  • Nom ou pseudo : La fée Mélusine !
  • Fille ou garçon : Je suis une fée ! Tssss !
  • Âge : J'sais plus !
  • Comment avez vous connu le forum ? Qu'en pensez vous : Dans la rue !
  • Evaluez votre niveau de RP sur une echelle de 1 à 10, ainsi que votre présence sur le forum : Bof
  • Un exemple de post : Non
  • Code :
    Spoiler:



CITTA ETERNA.
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