Lieu de Naissance : Naples, et oui, je ne suis pas de Rome !
Profession : Simple serveuse au Mamma Lucia cafe.
Groupe : Studenti.
Avatar : LEIGHTON MEESTER PARCE QUE C'EST LA MEILLEURE -avec blake lively- :arrow:
II. Description physique & psychologique :
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Détails psychologiques : Pour mieux connaître la belle brune, faisons plutôt ce qu’on appelle plus communément, une interview des gens qui l’on toujours connus et développons ensuite grâce à ces petites réponses, ces faits pour voir comment est vraiment la belle Sybille.
« Sybille ? Visconti ? On était ensembles, pff… Je sais même plus quand ! Un mot pour la décrire ? Indescriptible ! Cette fille c’est une tornade ! A chaque fois qu’on la voyait passer, elle était toujours différente : tantôt de bonne humeur, souriante, blagueuse et à l’écoute des autres, tantôt de super mauvaise humeur, vache, méchante et comment vous envoyait bouler ! Ah ça non, il ne fallait pas avoir le malheur de lui demander si ça allait bien lorsqu’elle s’était levée du mauvais pied ! Pourtant, on avait l’impression qu’elle pouvait faire pire. Ouais, elle vous disait ouvertement que vous étiez un gros nul mais elle était quand même capable de garder en elle les raisons pour lesquels elle parlait comme ça, les raisons de cette mauvaise humeur. Moi j’ai toujours aimé qu’elle soit aussi franche, aussi souriante. Elle avait beau passer comme une flèche, elle était ce qu’il a de plus gentil et de plus doux ! Un ange, mais aussi un démon lorsqu’elle était pressée ! Attenzione alle slittate ! » Lysis Chiaro; Ancienne camarade de Sybille.
« Syb’ ? Je souviens d’elle, on sortait ensembles lorsqu’on avait genre 16 ans ! Cette fille était comme un ange avec moi. Câline, douce, tendre, sexy… Elle avait toujours cette façon adorable de passer sa main dans la mienne et de poser sa tête sur mon épaule que j’étais obligé de fondre. Elle était vraiment un petit ange. Elle embrassait super bien aussi ! Par contre, elle était super rancunière ! Je me rappelle comment ça a finit entre nous ! On était a une soirée et Sybi’ avait bien bu, moi aussi d’ailleurs, et je lui avais dit comme ça : « Ca t’a jamais tenté un tatouage ? », de là elle m’a répondu oui et je lui ait proposé d’aller s’en faire un, pour déconner. Elle était trop éméchée pour réfléchir et a dit oui, on est allé chez le tatoueur qui s’est dit que ça devrait lui faire du pognon en plus. Le lendemain elle s’est réveillée et à découvert le « massacre » comme elle l’a nommé. Elle s’est énervée sur moi, m’insultant de tous les noms, m’envoyant dehors. Pourtant j’aimais bien ce tatouage moi ! C’était le signe de notre amour après tous ! Elle était mon soleil… » Angelo DeLuca ; Ancien petit ami de Sybille.
Alors. Maintenant que nous savons tous ceci sur Sybille, nous pouvons mieux cerner son caractère et ce qu’elle est réellement. La brunette est très impulsive, elle ne réfléchit jamais vraiment avant de faire quelque chose, ce qui suppose beaucoup de dérapages à cause de ce manque de réflexion. Elle est une boule d’énergie pure qui a un besoin évident de sortir, de se laisser aller, de s’évider naturellement. Démonstrative et franche, Sybi’ n’a pas besoin qu’on l’énerve pour se faire envoyer en plein figure ses quatre vérités, que ça face mal au non. La brunette aime dire ce qu’elle pense des gens, elle sait que cela peut faire mal mais s’en fiche, elle aime cette idée de stabilité et de connaissance. Mentir, elle ne sait pas alors attention aux sous-entendus parce qu’elle peut très vite vous boucler le clapet seulement avec un mot. Tendre, douce et câline, elle est un bout de chou, adorable. Elle se transforme en ange lorsqu’elle est fatiguée, c’est alors qu’elle se blottit contre vous et s’endort comme une gamine de cinq ans, elle devient alors adorable, très loin de la bombe atomique qu’elle est d’habitude. Attention, elle n’est comme ça qu’avec les gens de confiance, les gens qu’elle considère les plus proches d’elle. Elle est aussi très rancunière et maladroite dans ses paroles, il ne faut pas interpréter trop vite ses mots car sous l’impulsivité dont elle fait preuve, il peut aussi y avoir de l’empressement et ainsi elle peut dire des choses qui dépassent complètement sa pensée, tous cela sous l’effet de l’énervement. Lunatique et imprévisible, on ne sait jamais à quoi s’attendre avec elle. Passer d’une humeur à l’autre est son quotidien, ce qui peut parfois dérouter certaines personne mais cela n’arrive pas que très rarement de la voir passer d’une profonde joie à aux chaudes larmes.
Détails physiques : Grande, brune, des yeux de biche –des fois bien cachés derrière des lunettes rectangulaires de couleur noire-, une attitude quelque peu sensuelle, Sybille est l’exemple même de la fille belle et qui sait en jouer. Elle cultive la Je-suis-super-sexy Attitude et son physique va donc avec le reste. Son visage est assez enfantin, on lui dit souvent qu’elle ne fait pas son âge et, le pire, c’est qu’elle ne trouve pas du tout dégradant. Elle aime faire un peu plus jeune que son âge, attirer tous le monde dans sa tornade, comme si elle était l’œil d’un cyclone, comme si elle était le centre du monde. Ses cheveux bruns sont sûrement sa plus grosse faiblesse, elle les adore. Littéralement, Sybille est amoureuse de ses cheveux. Fins, souples et coiffés toujours d’une façon différente, elle les décline dans toute une panoplie de looks plus ou moins acceptables, plus ou moins ridicules. Elle les porte coupés un peu en dessous de l’épaule depuis quelques temps mais demain elle pourrait bien arriver avec un petit carré adorable. Son sourire est aussi la plus grande de ses armes de séduction, qu’elle montre ses dents dignes d’une publicité pour le dentifrice Max White ou qu’elle ferme la bouche dans un style très petite fille parfaite, Sybille a toujours un sourire expressif et surtout communicatif, tous comme son rire mais ceci, c’est une autre histoire. Avec ses pommettes assez rembourrées montre toujours son visage enfantin en premier lieux, ce qui donne toujours des petites moqueries accompagnées de rires seulement parce que les gens qui la voient sourire voient aussi ses pommettes ressortir et disent, avec quelques verres d’alcool à leur actif : « Regardez-moi ça, Sybi’ elle a des joues toutes molles ! ». Evidemment, cela donne une bonne raison que tout le monde la touche et Sybille se fait assaillir de toute part, ils veulent tous toucher la star. Ses yeux bruns sont souvent des puits sans fond où on ne trouve pas de petits barreaux d’échelle histoire de remonter à la surface, on s’y noie parce que Sybi’ ne sait parler qu’avec ses yeux, son regard. Elle laisse passer des messages que les mots ne transmettent que moins bien, elle laisse passer ses émotions, moment fugace d’éclair… Par contre, elle sait aussi ne rien montrer de ce qu’elle ressent, le plus souvent lorsqu’elle n’est pas bien, lorsqu’elle est au plus mal, c’est souvent lorsqu’on ne peut rien lire qu’il faut forcer le passage vers son être. Bizarrement, Sybille ne se plaint jamais de sa taille, au jour où les femmes se disent souvent trop petites et portes des talons toujours plus hauts, elle s’amuse de sa taille, se dit qu’elle n’est ni trop petite, ni trop grande, elle relativise. Assez mince de nature, elle a hérité de formes gracieuses, dignes d’une petite fille sage de bonne famille malgré le faite que ce ne soit que de façade. Elle est belle, elle attire les regards sur ses hanches bien formées et s’en amuse, beaucoup. Ce que l’on regarde tout de suite chez Sybille, c’est exclusivement ses longues jambes musclées, elle fait de la gymnastique activement, en réalité de la GRS mais préfère dire Gymnastique tout simplement, pas besoin de passer pour la maniaque de service. Elle est donc très musclée, elle a une taille assez fine sans pour autant qu’on puisse la traiter de maigreur ou qu’on puisse voir des côtes saillir de sa peau. La maigreur extrême, très peu pour elle. Elle adore se gouinfrer de glace à la menthe et de chocolats mais comme elle pratique un sport régulier, elle est toujours en forme et perd très vite ce qu’elle avale.
Signes particuliers : Il faut savoir que la belle demoiselle porte des lunettes de vue car elle est myope depuis sa petite enfance et elle a souvent eut quelques moqueries lorsqu’elle était toute gamine à cause de ces énorme lunettes rouge aux verres de forme ronde, vous savez, ces fameuses lunettes vraiment idiotes ? Elle les a toujours d’ailleurs, rangées dans un tiroir de sa chambre. Elle a un tatouage sur les reins, un soleil. Sa signification ? Aucune, elle s’est réveillée un matin alors qu’elle avait 16 ans avec un tatouage ici et ne sait pas du tout pourquoi, elle sait seulement que ça doit avoir un rapport avec son petit copain de l’époque qui l’appelait toujours : Il mio sole. Elle porte toujours un collier en or avec un cœur où il y a écrit derrière : Sybille, ti amo.
III. Histoire & Co :
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Le plus beau jour de votre vie : Le plus beau ? C’est le jour où mon père ma mit ma première guitare dans les mains, ma pris sur ses genou et m’a dit avec sa voix grave et réconfortante : « Plus tard Sybi’, plus tard tu viendras avec nous sur scène et tu seras avec nous. Tu verras… ». Le plus beau jour de ma vie car c’est ce jour là que j’ai compris une chose, mes parents avaient toujours crue en moi et ils croiront toujours en moi.
La plus grande épreuve que vous avez surmonté : Sans hésitation la mort de mes parents et de ma sœur. Lorsque je me suis réveillée ce jour là je n’étais plus rien. Sans le soutien de ma grand-mère qui est aussi ma dernière famille sur cette terre, je n’aurais jamais pu retrouver la force de croire en la vie. Grazie donna.
Si vous pouviez changer une chose : Evitez la mort de mes parents et de ma grande sœur mais est-ce bien de vouloir changer les choses ? Je ne sais pas…
Votre plus grand rêve : Mon plus grand rêve est certainement de devenir la femme qu’ils voulaient que je sois.
L'instant parfait : Lorsque je prends un bain, que je m’allonge dans l’eau et sans l’eau me recouvrir entièrement et que je suis seule, entièrement seule.
IV. Goûts :
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Plat préféré : Moi qui suit plutôt desserts, je vais quand même vous crier au visage mon plat préféré : La pizza ! *bave déjà*.
Couleur Préférée : Vous allez rire mais je n’en ai pas ! Du moment que cette couleur me vas bien, elle me plait !
Livre Préféré : Lorsque j’arrive à me concentrer dix minutes sur un livre, mes lunettes vissées sur le nez, j’aime bien lire : « Le diable s’habille en prada » ou alors « confessions d’une accro au shopping ».
Musique Préférée : J’aime les acoustiques, vous savez, lorsque vous entendez les guitares en vrai, je sais en jouer d’ailleurs ! J’aime beaucoup Bethany Joy Lenz, Kate Voegle… Après j’aime de tout, oui, il m’arrive d’écouter du rock s’il n’est pas trop hard.
Boisson Préférée : Une bonne bière ne fait jamais de mal !
Parfum de Glace Préféré : Aloooooors… J’aime presque tous les parfums mais mes favoris sont : Menthe, Ferrero, Stracciatella ou encore noix de pécan.
Odeur Préférée : L’odeur de mon gel douche à la framboise. Un délice !
Endroit Préféré : Une rue piétonne, là où je peux me fondre dans la masse et observer les gens passer, c’est bête mais j’aime bien observer les gens passer et me dire que je ne suis pas la seule à le faire.
Saison Préférée : L’hiver, pouvoir remonter mon manteau sur mon visage, marcher dans la neige, pouvoir faire un cœur dans la buée…
Pays Préféré : Je suis une pure patriote alors je crie haut et fort : Forza Italia !
Other ? : , je vois pas là... , là non plus...
Dernière édition par Sybille Visconti le Lun 29 Juin - 15:51, édité 36 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 18:50
V. Le joueur.
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Nom ou pseudo : Elodie - On m'apelle Elow' mais le plus souvent c'est... Je vais pas le dire sinon on va me reconnaitre !
Fille ou garçon : Ragazza !
Âge : 15 ans & demie, on se moque pas !
Comment avez vous connu le forum ? Qu'en pensez vous : Hum... bonne question, a votre humble avis ?! Un très bon forum, ça faisait longtemps que je venais voir .
Evaluez votre niveau de RP sur une echelle de 1 à 10, ainsi que votre présence sur le forum : C'est pas a moi de juger !
Un exemple de post : Mon meilleur poste jusqu'ici à été de 8 pages mais je vous postes un normal :
Spoiler:
[justify]Décrire la relation entre Quinn et Neyliah était un peu comme essayer de découvrir la recette d’un gâteau autrement dit : Presque impossible à moins d’avoir un très bon palais. Leur relation n’était pas très normale pour un cousin et une cousine. Ils s’aimaient, s’adoraient, se prenaient dans les bras, prenaient des photos –ce qui était la pire des lubies de Neyliah-, explosaient de rire tous les deux, faisaient des blagues aux autres mais parfois… Parfois ils se détestaient, s’envoyaient bouler, s’insultaient, se chamaillaient…. Ils avaient passés pas mal de temps ensembles pendant leur enfance, Neyliah accueillant avec un grand plaisir son cousin dés que les vacances d’été arrivaient, débarrassant au passage ses parents heureux d’avoir deux semaines rien qu’à eux. Alors ouais, Quinn était l’un des garçons qui connaissait le mieux la belle italienne pour être l’un des membres les plus de sa famille, le plus proche, le plus apprécié… le plus charrié aussi. Neyliah adorait rendre la vie dure à son cousin, c’était à chaque fois elle qui le réveillait le matin, c’était à chaque fois elle qui lui donnait une tape derrière la tête en passant à côté de lui, c’était à chaque fois elle qui commençait les bagarres, c’était à chaque fois elle commençait les batailles d’eaux, c’était à chaque fois elle qui venait s’excuser avec un sourire penaud lorsqu’elle le dénonçait sans faire exprès pour avoir manger encore tous les chocolats, c’était à chaque fois elle qui lui faisait peur en lui tombant dessus, c’était à chaque fois elle qui arrivait en pleure et lui demandait de la consoler…
Quinn était celui avait été le plus là à la mort de sa mère, il était venue avec ses parents, les adultes se soutenant entres eux, les enfants faisant de même. Il était arrivé et avait lâché toutes ses affaires lorsqu’il avait découvert Neyliah habillée tout en noir en vue de l’enterrement, des larmes coulant le long de ses joues, ses poings fermés avec hostilité, les yeux perdus dans le vide, ses jambes tremblantes comme des feuilles soumis au vent marin. Il avait donc lâché ses sacs et avait courut vers elle pour la prendre dans ses bras, la consoler, lui murmurer des mots apaisants, tous ce que n’avait su faire son propre père. Les parents de Quinn avaient déposé un baisé sur le font tout en disant avec tristesse des « pauvre petite choute ! » en veux tu en voilà. Heureusement pour elle, elle sa main dans celle de Quinn et arrivait à prononcer quelques mots à l’attention des nouveaux venus, elle avait même réussit à faire un demi-sourire avant de leur dire avec la voix chevrotante : « Je… Je suis triste mais ça va aller… ». Elle aurait pu ajouter qu’elle les remerciait d’être venus mais ça, c’était le boulot de son père qui s’en acquittait avec beaucoup de sollicitude, faisant des petites scènes, il était pitoyable, elle au moins avait la prestance de ne pas faire transparaître ses sentiments pour ne pas mettre mal alaise les gens et, surtout, pour garder un semblant de dignité, lui se laissait fondre comme une madeleine, elle avait honte de son attitude…
Ils étaient montés tous les deux à l’étage et avaient alors parlés, de ce Neyliah ressentait, du fait qu’elle avait peur, du fait qu’elle en voulait à son père, qu’elle lui en était reconnaissante pour être venu la soutenir. C’était comme ça qu’ils lorsqu’il n’y avait aucun différent entres eux : Soudés, complices, proches… Neyliah avait terriblement besoin de cette complicité, elle l’adorait, la chérissait parce qu’elle n’avait ni frère, ni sœur, qu’elle n’avait plus de mère et que son père était un parfait inconnu à ses yeux, Quinn était devenu sa seule famille, sa seule et unique famille, elle l’adorait, ne voulait pas qu’il la laisse tomber, ils étaient tous les deux trop proches pour se séparer de toute façon. Malheureusement pour eux, l’un et l’autre étaient des petites têtes brûlées, des casse-cou, des dragueurs, des flambeurs mais surtout… ils étaient très, très rancuniers. Ouais, c’était un des traits de familles des Spencer : ils étaient vachement rancuniers, et associé à leurs complicité, cela donnait des blagues sous forme de revanches pas vraiment toujours très sympathiques pour les intéressés.
Neyliah connaissait très bien ce professeur, elle l’avait elle-même et c’était pour cette raison qu’elle avait finalement décidé d’aider son cousin à décorer sa voiture avec une tonne de papier chiotte, sachant parfaitement qu’ils pourraient se faire avoir comme des bleus mais c’était tellement… tentant ! Elle avait foncé, sans réellement penser aux conséquences dans l’hypothèse qu’ils se fassent avoir, elle aurait du pourtant ! En réalité, ce professeur était un prof d’histoire, fabuleux professeur qui avait l’habitude d’endormir ses élèves pendant qu’il sortait son charabia, ainsi qu’un très bon parleur lorsqu’il s’agissait de les rembarrer. Neyliah avait essuyé quelques tuiles avec lui, comme ce fameux jour où elle avait oublié un devoir dans sa chambre étudiante, il lui avait alors demandé avec froideur : « Mademoiselle Spencer, je pensais que vous passiez assez de temps sur votre bureau pour avoir la chance de nous ramener votre brillant sujet ! ». Le sous-entendu était claire : Neyliah passait suffisamment de temps à se faire des mecs sur son bureau pour avoir le temps de voir son sujet et de le prendre. La réplique avait été des plus virulente : « Excusez-moi mais moi j’ai la classe de faire ça autrement qu’avec des revues de lingerie féminine ! ». La classe entière avait explosé de rire et Neyliah s’était vue exclue du cours avec une dissertation à faire sur le respect des adultes, elle avait même pas écris trois mots que ça l’avait bien énervé, elle avait passé tout le reste de sa retenue à faire des dessins sur sa feuille, Neyliah dessinait très bien.
A la réponse vaseuse de Quinn, Neyliah se renfrogna, elle avait décidé de passer plus ou moins incognito sachant qu’une des jumelles l’avaient vus sur le toit avec Aaron et qu’elle ne voulait pas franchement que tous ça se sache, pas avant qu’ils aient pu parler tous les deux sans se sauter dessus et s’arracher leurs vêtements. Elle avait assez de trucs sur le feu de son côté personnel et elle savait que plus elle se faisait remarquer, plus on parlait et plus on parlait d’elle, plus vite ça se saurait entre elle et son soi-disant meilleur ami. Neyliah savait ce que voulait dire son cousin par : dans notre langue. Il se moquait gentiment du fait que la jolie blonde était italienne et qu’elle aurait des problèmes de traduction, elle pouvait le rassurer, elle le détestait dans toutes les langues. Elle ne parvint pas à lui faire la tronche longtemps à compter du moment où il lui disait qu’il l’aimait, dans le langage des cousins/cousines naturellement. Elle lui renvoya un sourire lumineux et haussa les épaules avec un soupir et le regarda avant de lui répondre.
« Je respire, d’accord ! Je suis libre, j’ai les poumons grands ouverts, regarde ma poitrine qui se soulève, c’est bon ! Je sais que c’est pas la première fois mais je voulais plus ou moins, je sais pas moi… ne pas me faire choper ! Et arrêtes de te foutre de ma gueule parce que moi je vais t’apprendre comment on fout des claques en Italie, tu vas pas être déçus du voyage mon petit ! Au passage, moi aussi je t’aime mais là je suis en mode gonflée alors me cherches pas ! »
Neyliah avait toujours eu la chance de connaître pas mal des surveillants, hommes par la même occasion. Elle avait eut la chance de leur parler, de voir à peu prés comment ils fonctionnaient, comment les manipuler le plus simplement possible sans pour autant utiliser son physique, ce qui était plutôt rare. Alors que celui-ci les observait, Neyliah savait qu’avec lui, elle allait pourtant en avoir besoin. Il était un coucheur né et elle allait devoir lui promettre la lune pour avoir une chance de les faire sortir, elle et Quinn, sans que personne n’en sache rien. La jolie blonde fusilla son cousin du regard en vue de sa réponse, il n’était pas gêné ! Si elle s’en souvenait bien, c’était lui qui lui avait conseillé de se sapée comme une prostituée pour se fondre dans la masse de San Diego. Lorsqu’elle était arrivée, elle était habillée comme un mec et s’était Quinn qui l’avait obligée à mettre des talons, des strings et des minijupes ! Elle se retourna avant de lui cracher son venin à la figure.
« J’te rappelle que c’est toi qui a eu la brillante idée de me foutre des strings lorsque je suis arrivée ici alors aucun commentaires, sinon je sors les crocs Casanova ! »
Lorsque Neyliah revint, elle était heureuse. Elle était heureuse car, encore une fois, elle avait eut ce qu’elle voulait sans utiliser la force, seulement en faisant des sous-entendus doux et directes, explicites, elle était un bonne comédienne. La jolie blonde s’assit sur la table de Quinn, elle avait envie de se mettre en tailleur mais la tenue n’était pas adéquate, elle croisa les chevilles et fit un va et vient avec ses jambes, tapant parfois dans les mollets de son cousin sans en faire exprès. Lorsqu’il lui répondit, elle tapa plus fort, volontairement, pour qu’il pousse un cri et la tape, comme ils en avaient l’habitude. Elle remonta son décolleté avec de revoyez un regard nerveux à Quinn, s’il disait vrai, qu’allait-ils faire ? Attendre pendant plus de deux heures ici comme des cons ? Il en était hors de question !
« Qu’est-ce que t’as dit tout à l’heure ? Je cite : « Tu m’aimes à la folie et passionnément ! Et c’est réciproque ! », Tu l’as dit toi-même et tu me dis que tu peux pas l’oublier parce que c’est moi qui te saoules avec ça, laisses-moi rire deux secondes ! Et puisque t’es un génie, pourquoi t’as pas pris les devant pour aller t’occuper de ça au lieu de me laisser y aller ?! Je suis sûre que t’as pas de plan, lavette vas ! »
La jeune femme entendit le bruit d’une porte qui se fermait et l’homme qui était partit haussa les épaules avec un air désolé, ça n’avait pas marché ! Ce foutu Doyen allait-il enfin les laisser tranquilles ? Ce n'était pas parce qu'ils s'appelaient Quinn et Neyliah Spencer qu'ils étaient de futurs délinquants ! Elle en avait marre de se retrouver dans cette situation aussi souvent et elle en avait marre de Quinn, après tout, c'était à cause de lui si elle se trouvait assise sur cette table à se chamiller avec lui alors qu'il fasse quelque chose et vite parce que sinon, elle allait exploser. La jolie blonde leva les yeux au ciel en jurant en italien, elle allait devoir subir les moqueries de son cousin, il allait partir, elle le sentait. Elle se tourna vers lui avec un sourire sarcastique avant de lui répliquer avec beaucoup de mal.
« T’es content ? Vas-y, dis-moi que tu le savais ! En attendant, qu’est-ce qu’on fait ? Un poker ? Un uno ? Une bataille navale ? On dessine ? »
Code :
Spoiler:
Spaghetti
CITTA ETERNA.
Dernière édition par Sybille Visconti le Lun 29 Juin - 15:53, édité 4 fois
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 19:06
Et tu crois que je vas pas te roconnaitre ?!!!
Ma Dodixe !!!
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 19:08
Je suis sûre que si j'avais pas posté le RP tu m'aurais pas reconnu !
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 19:10
La fameuse Dodixe ?! -Ouais j'ai entendu parlé de toi... Bienvenue miss ! J'ai laissé le rôle "pris", comme ça même pas besoin de préciser qu'il est réservé... Il est à toi ! ^^
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 19:13
La "fameuse" ?? Je vais commencer à croire que j'étais attendue au tournant !
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Invité
Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 19:27
bienvenue
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 19:35
Bah, j'avais une petite idée quand même, rien qu'avec Elow', mais ... Mais zut !!!
En tout cas, bienvenue !!!
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 19:40
D'accord !
Bah merci Posh & Dario aussi, que je t'oublies pas parce que j'avais vus mais j'écrivais alors j'ai pas eut le temps de poster !
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 21:18
Bienvenue Miss ^^
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 21:31
Hey Bienvenue. Je suis toujours sur le cul de voir ce que les gens peuvent poster en une heure a peine mdr ^^ Y'a pas que moi qui écrit des fiches vite ? XD (Quand elle font pas 10pages mdr^^) Je me suis m'y ta présa rien que pour le fond sonore xD Et j'ai lu rien que pour le plaisir ^^ J'adore
Invité
Invité
Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 22:20
Elle est douée ma Doxide, hein ?
Thalie J. Spinelli
AGE : 24 ans MESSAGES : 2249 ARRIVÉE LE : 17/03/2008 EMPLOI : Glandeuse professionnelle ! Tout un art ! Même s'il m'arrive de m'occuper d'instruire les autres, même contre leur volonté ! ADRESSE : Trastevere - Demeure Spinelli. QUOTE :
. ARE U IN MY CELLPHONE: STATUT: Libertin(e) DISPO POUR UN SUJET ?: not yet
Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 22:47
Bienvenue !
Invité
Invité
Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Dim 28 Juin - 22:56
Julian Spinelli a écrit:
Hey Bienvenue. Je suis toujours sur le cul de voir ce que les gens peuvent poster en une heure a peine mdr ^^ Y'a pas que moi qui écrit des fiches vite ? XD (Quand elle font pas 10pages mdr^^) Je me suis m'y ta présa rien que pour le fond sonore xD Et j'ai lu rien que pour le plaisir ^^ J'adore
Oh merciiii ! C'est vrai que les MGMT !
Merci aux autres, je finis demain, là je suis... fénéante
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Lun 29 Juin - 12:28
Bienvenue !
Invité
Invité
Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Lun 29 Juin - 14:57
Merci !!
Histoire:
« Sybille, descends, je viens de retrouver un album photo pour toi… »
La belle brune dévala les escaliers quatre à quatre, sa robe blanche tapant à chaque marche sur ses cuisses musclées. Elle partait dans l’après-midi direction Rome, s’était la première fois qu’elle quittait sa grand-mère, elle avait déjà pleurée trois fois en une heure, ce qui faisait bientôt trois litres de larmes… Ou pas ! Elle avait une fâcheuse tendance à rendre tout extrême en ce moment, comme une fille qui ne parle qu’avec des hyperboles, super chiante, mais super attachante en même temps. Enfin arrivée à la fin des escaliers, Sybille posa un pied sur le carrelage froid, la sensation que quelque chose d’important se préparait se fit encore plus ressentir et elle fronça les sourcils en s’approchant de sa grand-mère son regard se posa sur l’album et elle entrouvrit la bouche, touchée au plus profond de son être, son cœur accélérant immédiatement sous la vue de la photo que la vieille femme tenait entre ses mains tremblantes. Elle se retourna avec un sourire où la douleur se faisait ressentir comme une flèche parfaitement ajustée avec pour seul but de faire le plus de mal lorsqu’elle rencontrerait sa cible. Elle prit la photo qu’elle lui tendait et l’observa, passant un doigt sur le visage souriant de la personne toute à droite.
« Mes parents… »
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« Cher Journal,
Mon prénom est Sybille et j’ai 20 ans. Je suis arrivée à Rome depuis maintenant deux heures et je suis maintenant assise sur le rebord de la Fontaine de Trévi… Il est dit que si on lance une pièce par-dessus son épaule en tournant le dos à la fontaine tout en faisant un vœu, elle vous assurera de revenir à Rome et de réaliser votre vœu. Si j’avais un vœu à faire, ce serait un simple vœu : Revenir en arrière. Vous savez ? Remonter le temps, rembobiner la cassette, revenir au début pour changer les choses. On dit souvent qu’un journal intime cache les pires crasses et les pires secrets des gens, et bien dans mon cas, c’est tout à fait ça ! Je ne veux pas dire que j’ai un cadavre dans le placard, je veux seulement dire que ce journal intime contient les pires moments de ma vie, les plus douloureux… Ecrire sert à me faire réfléchir sur ces évènements, à réfléchir et à comprendre. A relativiser. Ecrire est tellement important que… que j’ai même eut cette stupidité de noter tous ce dont je me souvenais de ce fameux jour parce que sinon je savais que j’allais oublier et je n’avais pas le droit… »
Extrait du journal intime de Sybille Visconti.
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Sybille est née le neuf Septembre 1989 dans la belle ville de Naples. Son enfance fut tous ce qu’il y avait de plus agréable. Ses parents étaient beaux, ils étaient même des chanteurs et elle a appris très jeune à jouer de la guitare et du piano. Ils étaient célèbres et pourtant Sybille n’a jamais eut de problèmes par rapport à la célébrité de ses parents. Pourquoi ? Parce qu’elle était leur secret, rares étaient les personnes qui savaient que ses parents avaient un enfant et elle leur en est reconnaissante. Son enfance fut jalonnée de tellement de bons moments et malgré leurs petites absences, le fait qu’ils rentraient tard certains, cela ne dérangeait pas Sybille qui se faisait gardée par sa grande sœur, Lorella. Malheureusement pour elle, le bonheur est souvent de courte durée car alors que ses parents avaient quinze jours de répits et qu’ils avaient décidés d’aller vers Sienne pour voir Il palio, un accident survint. Il faisait sur l’autoroute, le tableau de bord affichait déjà minuit et demi. Sybille et Lorella dormaient sous le regard de leur mère. Elles étaient adorable, la tête de Sybille posée sur l’épaule de sa sœur et celle de Lorella sur posée sur celle de sa petite sœur. Les doigts enlacés sur siège gris de la banquette arrière. C’est alors qu’elle fut aveuglée par des phares arrivant de l’autre côté de l’autoroute. C’est alors que le temps s’arrêta. La voiture se prit le rail de sécurité, passa dans la voie de celle de leur voiture, puis le choc…
Le noir complet. Un vide profond. Une douleur sans nom. Un froid intense. Paralysée. Puis un flot de lumière. D’une blancheur glaciale. Elle se bat. Elle se débat. Percer ce si petit filtre qui s’est forcé sur son cerveau. Ce si petit filtre qui lui dit qu’elle ne peut pas ouvrir les yeux. Ce si petit filtre qui la bloque entièrement. Puis une déchirure. Retour à la réalité. Elle ouvre les yeux. Elle voit floue. Elle ne peut pas respirer. Elle se débat. Elle veut crier. Ne peut pas non plus. Quelque chose bloque sa gorge. Elle s’étouffe. Est-ce ça mourir ? Elle attrape le tuyau qui descend dans sa gorge, ses poumons réclament l’air, elle tire de toutes ses forces. Elle a envie de vomir, le tuyau passe sa bouche. Elle respire à grands coups, remerciant dieux de lui offrir l’air si précieux. Son rythme cardiaque s’accélère, sa vue trouble se pose sur l’endroit où elle est. Elle ne distingue presque rien. Elle regarde frénétiquement partout, croit distinguer une porte. Elle court. Elle découvre la poignée, ouvre la porte. Cri.
« A L'AIDE !! MAMAN ! »
La jeune femme découvre sa tenue avec effroi. Elle porte une chemise de nuit d’hôpital, elle ouvre de grands yeux. Non… Une infirmière arrive, la prend dans ses bras et la transporte vers son lit, lui bloquant entièrement la vue. Elle sent les larmes monter à ses yeux. Elle veut partir, elle veut savoir où est sa mère, où est son père, où est Lorella. Sybille se débat mais la femme ne se laisse pas faire et la jette sur son lit et cri un nom, appelle un docteur. Il arrive en courant, ouvre la porte et murmure un juron dans sa chemise. Les larmes ruissellent déjà sur les joues de Sybille. Elle se pose des tonnes de questions. Où elle est ? Où est sa famille ? Qu’est-il arrivé ? Pourquoi personne n’est là ? Son crâne lui fait un mal de chien à force de réfléchir intensément. Elle sent le désespoir s’abattre sur elle, la fatalité aussi. Le médecin s’approche et lui dit dans un murmure presque inaudible ce qu’elle redoutait le plus au monde…
« Mademoiselle Visconti ? Je suis le Docteur Angelo. Vous êtes ici car vous avez eut un accident de voiture et vous êtes restée dans le coma… Pendant six mois. Vos parents sont morts Sybille et… votre sœur aussi. Je suis navré. »
Morts ? Morts ? Sybille s’effondra en larmes. Elle avait mal, elle voulait mourir elle aussi. Elle était seule, seule au monde, elle n’avait plus de famille, plus d’avenir…Elle poussa un cri. Un cri déchirant. Témoin de sa douleur la plus profonde. Elle cri parce que parler lui est impossible pour décrire l’état dans lequel elle se trouve. Des veines saillent sur ses tempes et ses mains. Elle se prend le crâne et fait de lents ronds avec ses doigts pour calmer la tempête intérieur qui faisait rage en elle-même. Qu’allait-elle devenir ?
La jeune femme se réveilla en sursaut. Ses yeux étaient quelque peu mouillés, elle passa une main tremblante sur son visage. Elle avait huit ans lorsque tous ceci est arrivé, elle avait huit ans à son réveil. Aujourd’hui elle en a vingt et ce cauchemar la hante encore. Elle se souvient de son réveil, mais ne se souvient pas de l’accident. Des fois, des images fugaces reviennent, alors Sybille prend son journal intime et écrit. Elle écrit ce qu’elle a vu, ce dont elle se souvient, pour comprendre. En attendant, elle a toujours vécus chez sa grand-mère, celle-ci la recueillant et lui offrant tous l’amour dont elle avait terriblement besoin pour tenir encore sur pied. Elle a quitté Naples avec un énorme album photo de ses parents avec sa sœur et elle, qu’elle cache précieusement dans un tiroir dans sa chambre. Mais pourrait-elle vraiment savoir ce qui s’était passé cette nuit là ?
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Lun 29 Juin - 15:54
Désolée du DP mais j'ai finis :ymca:
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Lun 29 Juin - 16:10
Je Valiiiiiiiiiiiiide ! Bienvenue à Rome Miss Visconti !
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Sujet: Re: Sybille _ angelo o demonio? Lun 29 Juin - 16:11