AGE : 24 ans MESSAGES : 2249 ARRIVÉE LE : 17/03/2008 EMPLOI : Glandeuse professionnelle ! Tout un art ! Même s'il m'arrive de m'occuper d'instruire les autres, même contre leur volonté ! ADRESSE : Trastevere - Demeure Spinelli. QUOTE :
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Sujet: Ce qu'il faut savoir sur eux. Lun 5 Oct - 1:45
T i t o . D i . B o i l l e . D e . B a g h e r i a «Capo di Capi Re»
Le Parrain a écrit:
Cosa nostra (Ce qui est à nous ou Notre chose) est le nom de la mafia sicilienne (bien qu'une seconde organisation, la Stidda, soit implantée dans le sud de l'île). Elle est aussi surnommé « La Piovra », la pieuvre pour ses réseaux tentaculaires.
En Sicile, elle a aussi été surnommée pendant longtemps Società onorata (l'« honorable société »). Cette appellation venait du fait que la Cosa nostra avait des règles d'honneur très strictes, telles que l'interdiction de s'en prendre aux femmes et aux enfants ; l'adultère, le proxénétisme et le trafic de drogue ont ainsi été longtemps proscrits des « familles » siciliennes. Aujourd'hui, la plupart de ces principes ont été nettement délaissés, surtout pour faire face à la concurrence d'autres clans mafieux moins regardants sur les principes (mafia russe, mafia albanaise, etc.). À ce jour, Cosa nostra refuse toujours de s'adonner aux enlèvements contre rançon. Elle est considérée par de nombreux spécialistes comme l'organisation criminelle la plus influente en Europe[1]. Du fait de l'immigration massive d'italiens du Mezzorgiorno à la fin du XIXéme siécle, elle est également présente aux États-Unis, au Canada, en Australie et en Amérique latine. Les membres de la Cosa nostra sont appelés « mafieux » ou « mafistes » en français et « Mafioso » au singulier et « mafiosi » au pluriel en italien. Elle était considérée comme l'organisation la plus puissante jusqu'au début des années 2000. Mais la repression des autorités semble l'avoir affaiblie.
Le Parrain a écrit:
10 Commandements
* Personne ne doit se présenter directement à un autre de "nos amis". Une tierce personne doit être présente. * Ne convoite pas les femmes d' autre "homme d'honneur". * Ne collabore jamais avec la police * Les bars et discothéques te sont interdits. * Toujours être disponible pour Cosa nostra, même si ta femme est en train d'accoucher. * Les rendez-vous doivent être toujours respectés. * Les femmes doivent être traitées avec respect. * Quand on te demande une information, la réponse doit être la vérité. * L'argent ne peut pas t'être approprier si il appartient à un autre "ami" ou à une autre famille. * Ne peut faire parti de Cosa nostra les personnes qui ont un proche dans la police, quelqu'un qui a quelqu'un de sa famille dans une autre famille mafieuse, quelqu'un qui se comporte mal et qui n'a pas de valeurs morales et les homosexuels.
La Cosa nostra est scrupuleuse lors de l'initiation d'un futur membre au sein de leur « famille ». Un mafieux doit être obligatoirement :
* sicilien de père et de mère * de sexe masculin et catholique
Sont d'office interdits d'initiation :
* Les éléments nés hors de la Sicile, * Les fils illégitimes (même de parents séparés ou divorcés), * Les communistes ou fils de ces derniers, * Les fils ou frères de femmes « légères », * Les homosexuels, * Les divorcés, * Les conjoints ou proches de victimes de Cosa nostra (le vœu de vérité entre hommes d'honneur leur révèlerait le nom de l'assassin et déclencherait des vendettas sans fin), * Les proches parents de policiers, magistrats ou fonctionnaires de toute instance répressive.
Dès l'âge de raison, et souvent de père en fils, le jeune est imprégné des « valeurs mafieuses ». Il est observé, jaugé longuement par les anciens, puis prudemment abordé par des sous-entendus, des demi-silences ou allusions. Si l'évaluation est positive, le candidat est invité à adhérer à Cosa nostra. Cette introduction est à sens unique et on ne sort de l'honorable société que mort ou exclu.
Lors de son initiation, le nouveau mafieux doit prêter serment. Le code d'honneur suivant lui est édicté :
* Ne pas voler, ne pas se livrer au proxénétisme, * Ne pas tuer d'autres hommes d'honneur, sauf ordre de la « Coupole », * Ne jamais parler de Cosa nostra en public, * Respecter l'omertà (loi du silence) ; la rupture de l’omertà est punie de mort.