CIPRIANI ♣ Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi.
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Sara T. Giolitti
V.O.X P.O.P.U.L.I
AGE : 24 ans MESSAGES : 1913 ARRIVÉE LE : 01/03/2009 EMPLOI : Pour l'instant je me consacre à ne rien faire. C'est bien aussi. ADRESSE : 25 via s. maria sopra minerva - Parione, Palatin. QUOTE :
"cette fille, c'est un prédateur déguisé en caniche"
AVATAR : kristen stew POINTS : 576
. ARE U IN MY CELLPHONE: STATUT: Marié(e) DISPO POUR UN SUJET ?: pas pour l'instant.
Sujet: CIPRIANI ♣ Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi. Dim 8 Aoû - 23:46
Cipriani Prénom(s) au choix
MICROWAVE.
Fermez les yeux, et imaginez la caricature type de l'héritier italien qui se la pète... A y est ? Vous voyez ? Je vous présente Monsieur Cipriani. Son grand-père, Giuseppe Cipriani, a fondé en 1931 le Harry's Bar de Venise, et depuis, l'empire immobilier et la fortune des Cipriani n'a cessé de croître, et avec eux, l'ego sur-dimensionné du petit fils, unique héritier de cette fortune colossale ! Il a baigné dans le luxe depuis sa plus tendre enfance, et aujourd'hui, âgé de 24/25 ans, on peut dire qu'il n'a jamais rien connu d'autre. Il aime flamber, conduit des voitures alliant vitesse et lignes pures, et s'affiche au bras des plus belles femmes du moment, souvent mannequins. Volage et libertin, il n'a aucunement l'intention de se poser, au contraire, son crédo c'est d'user et d'abuser de ses privilèges, de faire tourner les têtes, chavirer les cœurs, et onduler les sous-vêtements de soie. Arrogant et charmeur, intelligent et arriviste, inquiétant et intriguant, il sème les emmerdes où qu'il passe. Il aime les sensations fortes, c'est la seule chose qui le fait se sentir vivant. Il a fréquenté les plus grandes et prestigieuses écoles, il a passé son adolescence dans un pensionnat anglais où il s'est forgé une réputation de tombeur. Il a ensuite suivi une formation accélérée au sein de l'entreprise familiale, à Venise, où il brilla parmi la jeunesse dorée. Charmant et bien élevé, il est l'image même du prince charmant avant de révéler son arrogance et son dédain une fois sa proie ferrée. Il vit pour lui, rien d'autre n'a plus d'importance à ses yeux. De retour de ses vacances d'été, il s'installe à Rome pour reprendre la vice-présidence des hôtels Cipriani de la Capitale. C'est juste un titre, une couverture puisqu'on se charge de tout à sa place. Il va maintenant pouvoir sévir dans une ville nouvelle.
NATURE DU LIEN.
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Il connaissait déjà Sara. La fille Giolitti est une légende au petit pays des noceurs ! La Princesse de la fête, la Reine des coups d'un soir, une véritable sommité dans son domaine. Si elle avait été un homme, il l'aurait certainement admiré et l'aurait prit pour modèle, mais le fait qu'elle soit une femme lui conférait une aura d'attirance supplémentaire, il avait toujours eu envie de l'avoir, de la posséder juste une fois, pour voir ce que pouvaient donner leur deux caractères autoritaires dans un lit. Seulement, voilà, lui il était coincé en Angleterre, et les rares fois où il revenait en Italie c'était à Venise, alors qu'elle sévissait à Rome. Il était persuadé qu'il pouvait l'avoir, qu'il lui suffirait d'une occasion, un sourire, une main habilement placée sur sa cambrure, ou remontant sur sa cuisse, et elle serait toute à lui. C'était comme ça, personne ne lui résistait jamais, même les filles les plus prudes, même celles arborant un anneau de chasteté à l'annulaire, qu'il s'amusait à prendre en bouche pour les ôtés des doigts de ces fillettes alanguies, nues, en travers de son lit. Ce n'était pas de la prétention, juste une réalité de fait. Il obtenait toujours ce qu'il désirait, et même ce qu'il ne désirait pas tant que ça. Mais dérober des vertus était donné au dernier des gosses de riches, ce n'était pas un challenge assez audacieux. Il voulait jouer dans la cour des grands, et son droit de passage, c'était Sara Giolitti qui devait le lui offrir. Malheureusement pour lui, lorsqu'il s'était décidé a faire un petit séjour dans la Capitale, sa proie n'était plus qu'un fantôme. Il avait arpenter les fêtes, les clubs sélectes où les gosses de riches aimaient à se retrouver entre eux, mais rien à faire, la belle lionne n'apparaissait jamais. Il apprit plus tard que la damoiselle se terrait chez elle, subissant et encaissant une rupture. Une rupture ?! Voilà qui la faisait valdinguer du piédestal où il l'avait posé. Julian Spinelli. Tout Rome n'avait plus que ce nom à la bouche. Il était donc celui qui avait réussi là où tous les autres avaient échoué. Il avait ratatiné l'héritière. Il aurait pu en faire son modèle, mais il préféra en faire son rival. Il comptait remplacer le nom Spinelli par celui de Cipriani sur toutes les lèvres. Voilà un challenge à sa hauteur, un challenge digne de lui. Pour cela, il fallait qu'il s'installe à Rome, et c'est donc tout naturellement qu'il demanda à son père qu'il lui confit la direction des hôtels de la capitale. Lui qui n'avait jamais rien fait de ses dix doigts, pu lire une sorte de fierté dans le regard que son paternel jeta sur lui. Bien sûr, il ne s'occuperait de rien, des gens seraient payés pour faire son boulot à sa place, mais l'intention était là. Mais avant ça, il comptait bien s'octroyer quelques mois de vacances. Et comme à son habitude, c'est en Californie qu'il allait se rendre... une belle surprise l'attendait sur place.
(...)
« Hum… Miam… » S’exclama langoureusement la jeune femme à ses côtés, en faisant claquer sa langue en signe d’approbation. Sara ne daigna même pas ouvrir un œil. Voilà plus d’une heure que Bliss trouait le silence avec ces petits commentaires gourmands. Elle avait dû apercevoir un énième surfeur californien s’élançant à la conquête des vagues, et dans quinze secondes, elle aurait reporté son attention sur un autre. C’était son passe-temps favoris, et c’était pour cette raison qu’elle insistait tellement pour descendre sur la plage plûtot que de rester lézarder autour de la piscine de la Villa que son père lui avait offert pour ses 16 ans. Oui, Bliss était la Californienne type, petite chérie de son papa, aux yeux duquel sa cascade de cheveux blonds faisait passer pour un ange. C’était vite oublier les deux pare-chocs qu’elle s’était fait poser pour ses 17 ans et qui lui donnaient plus l’allure d’une Miss Juillet du célèbre Playboy, plutôt que celle d’un ange sortit tout droit d’un Botticelli. La jeune femme n’avait pas froid aux yeux, ni à la culotte, d’ailleurs, et c’était surement ce que Sara appréciait le plus chez elle. « Non, mais matte-moi ces abdos de folie ! Des tablettes de chocolat à croquer ! » Poursuivait son amie, ses lunettes Gucci baissée sur son nez pour mieux admirer l’apollon des plages. Sara soupira, et tourna la tête de l’autre côté, espérant échapper aux babillages intempestifs de la blonde. Ok, elle l’aimait bien, mais là elle avait juste envie de roupiller sur sa serviette après une nuit bien trop courte passée entre les bras de… c’était quoi son nom, déjà ? Qu’importe, elle n’avait pas l’intention de le revoir de toutes manières. Sur le ventre, rôtissant sous le soleil californien, elle somnolait, à peine consciente de ce qui se passait au-delà. « Retourne-toi, chéri, montre-moi ta belle gueule ! T’as forcément une belle gueule avec un corps pareil ! Au pire, je te collerais un oreiller sur la tête en m’occupant de toi… » Sara soupira une nouvelle fois, sans, toutefois, parvenir à retenir un léger rire. Bliss, s’abaisser à coller un oreiller sur la tête d’un mec alors que toutes les bombes de Californie et d’ailleurs bavaient sur ses Jimmy Choo en pleurant pour qu’elle leur jette un regard ? N’importe quoi ! « Ho mon dieu ! » S’écria-t-elle brusquement. « Il s’est retourné, et… » « Il a une tête de cul ? » Demanda Sara dans un anglais fortement teinté d’accent italien. « Si son cul ressemble à sa tête, je veux bien lui… » Commença la blonde. « Pitié ! Épargne-moi ce genre d’image, s’il te plait ! » La coupa Sara en rabattant ses bras au-dessus de sa tête, comme si elle voulait disparaitre dans le sable. « Oh Gosh ! Il rapplique ! Il rapplique ! » Mouvement de panique chez la blonde qui commença a remuer sur sa serviette, ne sachant plus quoi faire de son corps sublime. « Comment je suis ? » Demanda-t-elle à Sara. « Parfaite. » Répondit l’autre sans même la regarder. Elle était toujours parfaite de toutes manières, c’était bien Bliss qui remportait tous les suffrages auprès des hommes, Sara, elle était plus discrète, bien loin des standards californiens avec ses cheveux roux, ses yeux verts et son corps menu, voir enfantin. Elle plaisait, certes, mais on ne la remarquait pas forcément tout de suite. « Oh, son corps est divin ! Viens à moi, Adonis, vient que je te croque. » Continua la blonde en passant le bout de sa langue sur ses lèvres pleines et glossées. D’une main manucurée elle envoya promener son imposante toison dorée derrière son épaule, tout en accueillant d’un sourire l’Apollon à l’allure nonchalante, et au corps doré à souhait. Tout ce qu’elle aimait. Ses pupilles voilées de désir, elle se voyait déjà l’entrainer jusqu’à la villa, derrière elle, lui ôter son short et coller sa peau satinée contre la sienne. L’homme s’agenouilla à leurs pieds, un sourire carnassier aux lèvres, puis de sa voix rauque et fruitée, souffla un « Bongiorno, Sara… » Sara ? SARA ? Mais… Comment avait-il pu la remarquer ? Comment l’avait-il… Il la connaissait ? Rouge de colère et de frustration, Bliss observa l’italienne se retourner rapidement, surprise elle aussi, au point d’en oublier qu’elle s’adonnait au topless. « On se connait ? » Demanda-t-elle en italien, consciente que l’accent du blond était naturel et non feint. « Pas encore. » Lui répondit ce dernier, élargissant son sourire de prédateur. « Mais ça peut s’arranger… »
(...)
« Tu rentres ? » Demanda-t-il doucement en promenant le bout de son nez contre l’épaule féminine échappée du drap de satin. « C’est le principe des vacances, si elles ne prenaient jamais fin, ce ne serait plus des vacances, et ça ôterait à leurs charmes… » Répondit la jeune femme en s’étirant lascivement. « Comme moi… » Souffla-t-il, presque tristement. Il aurait pu l’attendrir si elle ne le connaissait pas aussi bon acteur, s’amusant à jouer un rôle en permanence. Il tentait de lui faire croire qu’il était attristé par son départ, et attristé de se voir relégué au rang de « plaisir de vacances ». « Oui, comme toi. » Répondit-elle dans un sourire en coin. Il ne l’aurait pas aussi facilement, elle connaissait tous les tours de passe-passe des mecs de son espèce. L’un d’eux l’avait conduit à sa perte, on ne l’aurait pas une deuxième fois. Déjà qu’elle avait décidé qu’ils ne joueraient ensemble qu’à Los Angeles et qu’il l’avait fait mentir en débarquant à New York quelques jours après elle afin de remettre le couvert, il était hors de question que cette « relation » perdure en Italie. De toutes manières il vivait à Venise, donc aucun risque, n’est-ce pas ? « Mon avion ne décolle que dans douze heures. » Reprit-elle en crochetant sa nuque. « Ça nous laisse encore un peu de temps. » Elle laissa naître un sourire gourmand sur ses lèvres, sourire qui trouva un écho sur celles du prédateur, avant qu’il ne fonde sur elle.
(...)
Mais ce que ne savait pas Sara, c'est qu'il n'était plus vraiment vénitien, et qu'il allait rejoindre Rome seulement quelques jours après elle. Ce qu'elle ignorait aussi, c'est que leur accord tacite n'avait pas été signé par les deux partis en présence. Pour elle, il s'agissait d'une simple histoire de fesses qui prenait fin aussi vite qu'elle avait commencé, le soir même de leur rencontre sur la plage de Malibu. Mais lui, en revanche, ne l'entendait pas du tout de cette oreille. Il n'est pas amoureux d'elle, certes, mais elle le fascine toujours autant, de part cette indépendance retrouvée, ce caractère sauvage, son statut social aussi, et sans conteste son côté volcanique au lit. Il imagine déjà une alliance entre Cipriani et Giolitti, qui ravirait son père et lui offrirait, à lui, une aura bien plus forte que celle de Spinelli qui n'a pas su saisir sa chance. Il va donc devoir la conquérir. Mais pas de manière romantique, très peu pour lui, il va plutôt faire en sorte de l'agacer, de la frustrer, d'attiser sa jalousie, un jeu de séduction dans lequel il excelle. Il a toujours obtenu tout ce qu'il désirait, et là, son désir est d'épingler de manière définitive Sara Giolitti à son tableau de chasse.
J'aimerais pour ce personnage un membre actif et présent, qui soit capable de faire plus de 60 lignes sans problème. Je n'impose pas de prénom, mais le nom est important car véridique. Pour l'avatar, c'est Alex Pettyfer. Si cela ne vous convient pas, vous pouvez tenter de me faire changer d'avis, mais je préviens que ça risque d'être assez difficile, je tiens beaucoup à cet avatar. Ce personnage va être important pour moi, mais aussi dans l'évolution du forum, donc si vous n'êtes que moyennement motivé, ce n'est pas la peine de vous inscrire. Si vous espérez une belle romance ou un fin heureuse à la "ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants", passez votre chemin, car ça ne ressemble ni à Sara, ni à Cipriani. C'est un personnage sombre et manipulateur, un véritable diable tentateur. Il est humain aussi, à vous de décrire ce côté de lui que j'ai laissé libre. Il fera partie intégrante de la jeunesse dorée romaine, et n'aura de cesse que d'arriver au sommet. Il n'en reste pas moins drôle et charmant. Pour finir, je remercie quiconque prendra ce scénar que j'attends avec impatience.
Milo Auditore
S.P.Q.R.
AGE : 25 MESSAGES : 50 ARRIVÉE LE : 20/09/2010 EMPLOI : being awesome ADRESSE : trastevere QUOTE : your search for life's purpose is as obvious as it is tragic AVATAR : matt gordon POINTS : 26
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Sujet: Re: CIPRIANI ♣ Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi. Lun 20 Sep - 13:09
*toc toc* puis-je ?
Invité
Invité
Sujet: Re: CIPRIANI ♣ Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi. Lun 20 Sep - 13:17
Tu vas faire une heureuse !
Milo Auditore
S.P.Q.R.
AGE : 25 MESSAGES : 50 ARRIVÉE LE : 20/09/2010 EMPLOI : being awesome ADRESSE : trastevere QUOTE : your search for life's purpose is as obvious as it is tragic AVATAR : matt gordon POINTS : 26
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Sujet: Re: CIPRIANI ♣ Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi. Lun 20 Sep - 13:21
J'espère j'adore le scénario ^^ (après je connais pas spécialement le mec sur l'avatar mais ca me dérange pas) ! Je dois attendre son approbation pour commencer ma fiche ou pas ? (a)
Invité
Invité
Sujet: Re: CIPRIANI ♣ Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi. Lun 20 Sep - 13:27
Non, je ne pense pas ! La surprise sera encore meilleure si elle a de la lecture ! (a) Tu peux entamer ta fiche, sans soucis !
Milo Auditore
S.P.Q.R.
AGE : 25 MESSAGES : 50 ARRIVÉE LE : 20/09/2010 EMPLOI : being awesome ADRESSE : trastevere QUOTE : your search for life's purpose is as obvious as it is tragic AVATAR : matt gordon POINTS : 26
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Sujet: Re: CIPRIANI ♣ Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi. Lun 20 Sep - 13:32
OK merci
Sara T. Giolitti
V.O.X P.O.P.U.L.I
AGE : 24 ans MESSAGES : 1913 ARRIVÉE LE : 01/03/2009 EMPLOI : Pour l'instant je me consacre à ne rien faire. C'est bien aussi. ADRESSE : 25 via s. maria sopra minerva - Parione, Palatin. QUOTE :
"cette fille, c'est un prédateur déguisé en caniche"
AVATAR : kristen stew POINTS : 576
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Sujet: Re: CIPRIANI ♣ Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi. Mar 21 Sep - 2:32
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !! Merci d'avoir pris ce scénario ! Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas !
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Sujet: Re: CIPRIANI ♣ Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi.
CIPRIANI ♣ Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi.