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 Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia]

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MessageSujet: Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia]   Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia] EmptyJeu 25 Juin - 21:35

    Dante ne semblait absolument pas se rendre compte dans quel sorte de guêpier il était en train de se jeter. Il ne savait rien de cette femme outre le fait qu’elle était affreusement sexy, sensuelle et qu’elle avait envi de lui. Il aurait pourtant pu se poser des questions, elle le connaissait, mais qui ne le connaissait pas? Il faisait souvent la une de l’Osservatore, son fils était très connu, alors même si le quadragénaire n’avait pas été bien souvent à Rome ses dernières années, l’on connaissait bien son nom ainsi que sa réputation. Donc de ce côté, le fait qu’elle le connaisse n’était pas réellement inquiétant. Mais qu’elle soit aussi rapide en affaire, cela aurait peut-être pu inquiéter quelqu’un d’autre que Dante Spinelli. Sincèrement? De quoi devait-t-il se méfier? Comment pouvait-t-il deviner qu’il avait affaire à une femme mariée. À une femme mariée à un sénateur, sénateur qui n’aimerait pas du tout l’idée qu’un Spinelli baise avec sa femme. Mais le fait qu’elle soit la mère de Sara, voilà ce qui aurait bien découragé l’italien. Il aimait son fils, il appréciait Sara, il n’avait pas envi d’être celui qui ajoutait du gaz sur le feu, il en avait déjà fait bien assez. Mais il ne savait pas, il n’avait pas la moindre idée que la femme qu’il embrassait, caressait, tripotait et imaginait un nombre indéfinissable de fantasmes à réaliser avec elle, allait le porter à sa perte. Perte qui était un bien faible mot, il serait chassé de Rome avec toutes les conneries qu’il avait faites jusqu’à présent. Olivia Giolitti n’était pas seulement la goutte d’eau qui faisait déborder le vase, elle le faisait exploser, carrément! Dante devrait finir par savoir à qui il avait affaire. Mais pour le moment, il était hors de question de perdre son temps, il se fichait du comment elle s’appelait, d’où elle venait et pourquoi elle voulait baiser avec lui. Et ça il l’avait bien prouvé en abandonnant son verre et en l’attirant dans la salle de bain du bar, elle n’étant pas plus énervé que cela d’être prit en photo ou chassé de cet endroit. Lorsqu’il avait bien apprécié s’amuser ainsi dans la voiture... Non, il n’avait pas la moindre inquiétude alors qu’il devrait en avoir pourtant. Il s’était rapidement redressé, plaqué la déesse rousse contre le volant. Pas qu’il détestait ce qu’elle était en train de faire. Peut-être avait-t-il un peu peur? Il avait toujours eu le contrôle et elle était capable de le lui prendre sans la moindre difficulté. Cette femme, c’était Satan en personne. Mais est-ce qu’il pouvait dire qu’il n’aimait pas? Au contraire, c’était nouveau, excitant et franchement torride. Un homme comme lui ne pouvait qu’apprécier ses caresses sur son corps, le fait qu’elle le retienne ainsi. Mais il aimait procurer du plaisir et elle n’allait pas l’empêcher de faire sa part également. Toutefois ce ne fut pas de longue durée, le trafic commençait à se dissiper et il devait reprendre le volant. Il nota tout de même sa main sur son entre-jambe, dévoilant son envie qui n’était pas dissimulable au fond. Il la désirait ardemment, et elle en faisait toujours un peu plus pour éveiller ce désir en lui.

    « C’est encore loin chez toi beau gosse ? »
    « Trop loin. » Répondit-t-il rapidement en se concentrant à contre cœur sur la route. Il aurait tout de même espéré qu’elle reste près de lui, il aurait pu laisser sa main se balader sur elle, la caresser tendit qu’il conduisait. Mais cette femme avait plus d’un tour dans son sac et elle savait comment rendre un homme fou de désir. Ce qu’il était en ce moment. Il devait se contenir, il n’avait pas le choix d’attendre alors qu’une femme merveilleusement sexy se glissait contre lui pour atteindre le banc arrière de sa voiture. Loin de sa portée, il ne pouvait la voir que dans le rétroviseur. Ce qu’il se retenait de faire trop souvent si il voulait éviter un accident. Il devait prendre son mal en patience, retenir le surplus de désir qu’il avait en lui. Il était tombé ce soir sur une démone séduisante. Le genre de femme qu’il n’avait jamais eu dans sa vie. Excité au plus haut point il tentait de rester calme, de ne pas montrer à quel point il la désirait, ce qui n’était franchement pas simple. La route fut courte, mais pour l’Italien elle fut longue… très, très longue. Toutefois il ne fut pas si surpris de voir la belle rousse sortir sans remettre son soutien gorge. Elle avait un sacré culot. Bien qu’il faisait noir ils pouvaient très bien être vus. Mais cela l’importait peu et ajoutait un peu de piquant, n’est-ce pas? Il l’admira un moment, puis s’avança vers la porte d’entrée, déverrouilla la porte et fut rapidement agrippé par la sicilienne. Il récupéra rapidement l’état d’excitation dans lequel il s’était trouvé quelques instants auparavant, il la laissa déboutonner sa chemise, ne constatant plus qu’il était la personne plaquée contre le mur… Il était rarement dans cette position. Qu’il était rarement la personne qui frissonnait sous les baisers et les caresses avant le lit… Il devait se rendre compte d’une chose, il aurait bien de la difficulté à mener la danse cette nuit. Mais il n’avait pas dit son dernier mot, il avait plus d’un tour dans son sac.

    « Alors Dante… Fait honneur à ta réputation »
    Il se mit à sourire sous cette requête. Sentant ses mains habiles se charger de son jean.
    « Je n’ai jamais été très catholique tu sais… Encore moins patiente… »
    Il se trouvait entre les griffes acérés d’une bête… une bête de sexe. Il devrait donc sortir les siennes ce soir, si il ne voulait pas se retrouvé mordu et griffé, le seul blessé dans cette histoire. Non, elle sortirait dans le même état que lui. Pas indemne.
    « Tu parles toujours ainsi… » demanda-t-il, joueur, imitant la belle rousse lorsqu’elle s’était moqué de lui un peu plus tôt. Il s’attaqua à sa bouche qu’il prit avec vigueur, retournant la situation et la plaquant à son tour contre le mur, l’emprisonnant entre ses bras, ne lui laissant plus l’accès à son jean. Lui il prit en charge son pantalon de cuir. Il laissa sa bouche pour s’en prendre à son ventre ferme et délicieux, son bas ventre et il se défit du pantalon serré de la sicilienne. Il n’eut pas trop de difficulté à s’en débarrasser, ayant l’habitude. Il avait connu toutes sortes de vêtements après tout. Il l’embrassa longuement, par-dessus l’unique sous-vêtement qu’il lui restait. Il ne pouvait pas juger de son niveau de plaisir comme elle pouvait le faire avec lui, mais elle était excité, et ça, il était facile de s’en rendre compte, de par sa respiration, de par ses mains qui cherchaient également à le toucher. Sans lui laisser l’occasion de le caresser également, il la souleva doucement dans les airs, une main sous ses fesses, et l’autre maintenant l’un de ses bras derrière son dos. Elle pouvait le toucher, mais seulement d’une main. Lui, il avait sa bouche qui pouvait pleinement en profiter, manipulant sa poitrine avec aisance et expérience, cherchant à lui soutirer gémissement de plaisir. Bien qu’il était plus direct, il cherchait toujours le plaisir chez sa partenaire et voilà ce qui plaisait autant aux femmes. Il l’attirait doucement vers sa chambre, glissant contre le mur.
    « Ma réputation … Et tu en as une toi? Belle inconnue? » demanda-t-il en l’embrassant sauvagement, alliant avec une parfaite maitrise tendresse et sauvagerie. Il était tendre, il était animal, tout cela allait ensemble. Il se fichait de sa réputation, toutefois, il ne devait pas savoir son nom, la nuit ne serait plus exactement pareil après cela. Si il avait apprit qui elle était, il ne l’aurait pas attiré chez lui, il ne l’aurait pas embrassé dans ce bar et il n’aurait probablement pas eu le même désir. Mais maintenant qu’il la désirait autant, il serait difficile de s’arrêter. Lorsqu’ils furent dans la chambre, ayant toujours le dessus il la plaqua sur le lit, lui retenant les mains il dû toutefois les abandonner pour s’attaquer au bout de vêtement qui lui restait …
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MessageSujet: Re: Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia]   Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia] EmptyVen 26 Juin - 1:42

    Sa réputation, s’il avait su… Olivia n’était pas le stéréotype de la mère de famille romaine. Elle n’était pas plus large que haute, elle ne passait pas sa vie dans sa cuisine a préparée de quoi nourrir sa tribu, d’ailleurs elle n’avait pas de tribu, enfanté une fois dans la douleur avait été une expérience suffisante pour la belle Madame Giolitti. Non Olivia n’avait rien de l’image conventionnelle qu’a tout européen de la mère de famille italienne. Elle était longue, toute en jambe et en fine musculature, sa peau avait la couleur dorée des sicilienne, sa passion pour la cuisine s’arrêtait au plaisir de dégusté un pat de grand chef dans un restaurant plusieurs fois étoiler, elle n’avait jamais imaginé d’avoir plus d’un enfant et pour le plaisir des hommes de cette ville elle était plus mince que large. Olivia Giolitti était un peu la femme à abattre dans le milieu prestigieux des « riches italiens », elle était la femme sur qui tous les regards assassins des épouses officielles se braquaient lorsqu’elle pénétrait dans une salle en compagnie de son mari. Toutes les femmes un tant soit peu riches de cette ville savait que ce n’était pas l’alliance autour de son annulaire qui empêchait Olivia d’obtenir d’un homme ce qu’elle désirait, cela ne l’avait jamais arrêté durant les vingt quatre dernières années, alors vous pensez bien que ce n’était pas aujourd’hui que cela la gênerait de faire comme si elle était libre d’attaches. Olivia Giolitti jouissait d’une certaine réputation en ville, une réputation plus ou moins flatteuse tout dépendait de votre source d’information. Si c’était un homme on vous la décrirait surement en ses termes : « bonne, sexy, intelligente, fougueuse, diabolique, provocatrice, intéressante, manipulatrice, sensuelle, charmante, cultivée, dangereuse, experte en crash test de matelas ». Alors que si votre interlocuteur était une femme, une femme dont le mari vous aurait décrit la belle Giolitti en ses mots le vocabulaire était plus fleurit et surtout emplit d’une certaine animosité et d’une envie plus qu’évidente : « provocante, vulgaire, salope, trainée, cruche, menteuse, intrigante, infidèle, mauvaise mère… » Et je vous passe les commentaires beaucoup plus épicés que sa simple vue suffisait à faire surgir. Sa réputation Olivia se l’était forgée au fil des années, beaucoup de choses que l’on disait sur elle étaient fausses, par exemple elle n’était pas une cruche, elle avait entamé avec brio des études de médecine avant de rencontrer le brillant Paolo Giolitti, à cause de sa grossesse puis de ses obligations de femme de sénateur elle n’avait pu obtenir officiellement son diplôme de médecine, elle avait cependant assister à chaque cours de l’école de médecine en tant que simple spectateur. A cause de cela elle était une femme brillante, douté d’un intellect remarquable elle était une femme que l’on appréciait d’avoir à sa table lors d’un gala de bienfaisance ou une cérémonie officielle, elle n’avait pas que son corps pour elle, elle avait aussi le charme, la classe, l’humour, l’intelligence et la conversation. Peut être était ce aussi pour cela qu’après vingt quatre années de mariage Paolo soit encore amoureux d’elle, parce qu’il y avait deux Olivia la fille brillante charmante et belle dont il était tombé amoureux et dont il avait encore de vagues aperçus lors de ses soirées, et la femme adultère sans remords qui se fichait de ses sentiments.

    Preuve flagrante qu’elle n’en avait rien à faire ce que pouvait ressentir, éprouvé, vivre son mari, elle avait décidé ce soir d’ajouter le fils de son pire ennemi à son tableau de chasse, après que sa fille eut ajouté le petit fils dans le sien. Telle mère telle fille ne dit-on pas ? Elle faisait preuve de très peu de retenu avec cet homme contre lequel elle se pressait à demi nue dans une voiture dans laquelle l’espace vitale était très réduit. Elle se fichait des conséquences de ses actes, seul comptait son plaisir et ses envies. Dante Spinelli avait une jolie réputation derrière lui, aussi voulait-elle savoir par elle-même si tout ce qu’on disait sur lui était sur fait ou non. C’était simple elle voulait savoir si elle possédait un alter égo masculin ou si elle régnait toujours seule sur le trône de la reine des plaisirs à plus d’un. Elle était une chasseuse, elle avait ce soir débusqué le gibier de ses rêves, la pièce de choix à placarder au dessus de sa cheminée interne. L’homme idéal pour elle, le coup d’un soir de ses rêves enfin, s’il se montrait digne de sa réputation. Car une chose était sure, elle se montrerait à la hauteur de la sienne, comme toujours. Olivia n’avait jamais rendu sa liberté à un homme sans l’avoir satisfait d’une quelconque manière que se soit, possédant sans se laisser posséder, toujours au contrôle de l’acte, elle était une dominante et n’avait été dominé qu’une seule fois, lorsqu’elle avait jouée la douce et fougueuse maîtresse au début de sa relation avec Paolo afin de le séduire, d’obtenir sa confiance, qu’il oubli une unique fois de se protéger pour qu’elle obtienne ce qu’elle désirait, à savoir une vie à l’abris du besoin et la liberté absolue. Ce soir aussi elle aurait le contrôle mais peut être pas dans sa totalité, pour obtenir les « faveurs » de Dante Spinelli avait du accepté de faire certains compromis, mais il en valait la peine, après tout elle n’avait plus été aussi échauffée par un homme depuis des années. Il avait autant de culot qu’elle et du répondant à revendre, sexuellement ils étaient fait pour s’entendre.


    « C’est encore loin chez toi beau gosse ? »
    « Trop loin. »
    « Alors roule plus vite… »


    Impatiente ? Peut être un peu, alors qu’elle se prélassait sur cette banquette arrière en cuire elle s’amusait des regards de plus en plus fréquent qu’il lui lançait au travers du rétroviseur, le laissant se consumer seul, atteindre le point de non retour. Elle savait qu’il n’en faudrait que peu encore pour qu’il atteigne cet état de désir qui n’aurait su souffrir un contre temps, Dante Spinelli lui ferrait l’amour ou bien elle ferrait l’amour à Dante Spinelli ce soir, à moins qu’ils ne fasse les deux qui sait, la nuit ne faisait que commencer. Allant toujours plus loin dans la provocation elle poussa le vice à sortir uniquement vêtue de son pantalon de cuir de la voiture, se dirigeant vers la maison de cette démarche féline et chaloupée qui était sienne. Elle savait comment s’y prendre, que faire pour le faire céder, après tout il n’était qu’un homme, et tout les hommes pêchaient pour la chaire, fut-elle aussi appétissante que celle d’Olivia. Elle se plaqua, l’entrainant avec lui contre le battant de la porte prenant ses lèvres, son torse son bas ventre en main tandis qu’elle lui ôtait cette chemise gênante. Allant plus loin dans la provocation elle ajouta « Alors Dante… Fait honneur à ta réputation » puis d’une voix plus chaude et sensuelle murmura à son oreille en effleurant son torse de ses mains puis en lui ôtant son jean « Je n’ai jamais été très catholique tu sais… Encore moins patiente… ». Elle avait envie de lui et elle sentait à quel point il avait envie d’elle. Mais il était tout aussi joueur qu’elle, et ne supportait pas de perdre ses moyens sous ses caresses et ses murmures, provocateur il lui demanda si elle parlait toujours ainsi, elle lui a peine le temps de répondre que déjà il prenait sa bouche dans un baiser plus profond, plus sauvage aussi.

    « Seulement quand un homme conduit aussi lentement… »

    Une nouvelle provocation de plus alors qu’il la plaquait fermement contre le mur, l’empêchant de le toucher en bloquant ses mains, de sa bouche il réveillait la peau de son ventre, de sa poitrine, explorant toujours plus bas, encore plus bas, jusqu'à la débarrasser de ce pantalon de cuir pourtant si confortable la laissant seulement vêtue de son dernier dessous. Dessous protégeant une partie sensible de son être que Dante s’amusait à titiller en déposant au travers de ses vêtements une myriade de baiser. Soupirante, frissonnante elle passait et repassait ses doigts dans les cheveux de son amant seule partie de son corps qui lui était accessible tandis qu’il la torturait d’une façon que les hommes d’ordinaires n’affectionnaient pas. Soudainement, il la souleva dans ses bras, la forçant à se stabiliser contre lui en passant un bras autour de sa nuque, la portant une main sous ses fesses l’autre dans son dos ainsi il pouvait avoir accès à sa peau tandis qu’elle d’un bras voyait ses possibilités réduites, elle rit troublée encore par les sensations précédentes et amusée aussi de le voir aussi peu presser de devoir lui rendre bientôt la main. Ils glissaient l’un contre l’autre contre le mur, en direction de la chambre du maître des lieux.

    « Ce serait brisée le mystère que de t’en dire plus sur ma réputation… J’ai toujours rêvée de faire l’amour à un homme qui ne serait rien de moi… »

    Pour toute réponse il l’embrassa sauvagement et passionnément la forçant à se servir de sa langue pour autre chose que de parler, lorsqu’ils basculèrent sur le lit, il la maintint sous lui la forçant à une certaine immobilité, elle sourit pressant son corps ferme et tout en courbe contre celui dur de son compagnon.

    Spoiler:
    ?
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MessageSujet: Re: Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia]   Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia] EmptyVen 26 Juin - 13:22

    « Seulement quand un homme conduit aussi lentement… »
    Il s’amusa de cette réplique, souriant et riant doucement alors qu’elle l’embrassait à son tour. L’empêchant ainsi de répondre à cela. C’était un moment tout simplement parfait, il venait de trouver l’amante exceptionnelle. Sauf que la belle rousse était exceptionnellement mariée, à l’un des hommes les plus influant. C’était la plus belle connerie qu’il avait fait depuis longtemps. Mais c’était le meilleur coup qu’il avait eu depuis longtemps également. Comment savoir qu’il faisait une chose aussi stupide que de coucher avec la femme d’un sénateur, ennemi des Spinelli depuis des lustres, future belle-mère de son fils… Il y avait trop de choses qui faisaient qu’il ne pouvait pas coucher avec Olivia. Toutefois il allait visiblement le faire, et il le regretterait, car il ne l’aurait pas fait. Non, qui pouvait croire que Dante saurait se contenir? Il savait qu’il n’aurait pas couché avec cette femme. Parce que c’était mal de le faire. Même si elle était une bête de sexe, même si il avait envi d’elle, il ne l’aurait pas fait. Point final. Mais il n’avait pas insisté, après tout, il se fichait pas mal de son nom. Du moins, il voudrait tout de même connaître le prénom de la femme avec qui il allait baiser. Mais ce n’était pas pressant n’est-ce pas? N’avait-t-il pas déjà couché avec une femme en ignorant tout d’elle? Oui, et cette femme, c’était Aurélia. Il n’avait pas connu son nom immédiatement. Il ne l’avait sût que quelques jours plus tard. Elle avait beaucoup apprécié le rendre fou, le faire attendre alors qu’il était terriblement impatient et qu’il voulait en savoir plus sur elle. C’était comme si un tableau se répétait. Un tableau qui ne plaisait pas réellement à Dante. Après tout, Aurélia était tombée enceinte. C’était peut-être de mauvais augure que de ne pas connaître le nom de la personne avec qui l’on baise pour la première fois…

    Il n’était pas superstitieux! Il n’avait pas de croyances étrange, en fait, il ne croyait en absolument rien! Alors qu’est-ce qu’il faisait en ce moment? Il était en train de croire une chose totalement idiote comme quoi cette femme pourrait tomber enceinte de lui parce qu’il ne connaissait pas son nom? Comme Aurélia dans le passé? C’était totalement stupide, un simple hasard. Il se protégeait, toujours. Il comptait le faire, il avait bien un condom dans son tiroir… Alors il n’avait qu’à se concentrer sur elle et tout irait bien. D’ailleurs il ne s’y prenait pas trop mal, il prenait soin de sa partenaire et elle ne semblait pas détester. Ses frissonnements et ses petits gémissements de plaisir le prouvaient. Mais ce n’était pas assez, il voulait plus. Sauf qu’elle aussi en voulait davantage, et pas uniquement de lui. Elle voulait lui fournir du plaisir, mais se rendait-t-elle compte que c’était ça son plaisir? C’était ce qu’il connaissait le mieux. Mais elle était habile, elle saurait probablement lui en fournir davantage d’une autre manière. Il devait simplement la laisser faire également. Dante était un homme qui avait l’habitude d’avoir le dessus. Depuis bien des années maintenant qu’il faisait l’amour aux femmes et qu’il cherchait toujours à leurs en fournir davantage. C’était ça pour lui prendre son pied. Envoyer les femmes au septième ciel. Il jouissait, il trouvait que c’était bon également, mais peu d’entres elles parvenaient à prendre les reines et à s’occuper de lui comme le faisait Olivia. Et bon sang, même si c’était difficile d’être ainsi mené par quelqu’un d’autre, c’était terriblement torride et satisfaisant! La rousse était belle, habile et douée, ça il ne pouvait que le remarquer et apprécier. Lorsqu’il l’avait plaqué sur le lit et qu’il avait décidé de conserver le contrôle, elle n’avait visiblement pas été d’accord. Elle l’avait rapidement fait retourner et s’était occupé du reste de vêtement qu’il avait sur le corps. Toutefois elle ne voulait toujours pas lui dire son nom, disant que ce serait briser le mystère que de le révéler et qu’elle avait toujours voulu faire l’amour a un homme qui ne saurait rien d’elle. Bon ok… Il commençait à être un peu nerveux. C’était simplement un mauvais pressentiment. Il devait savoir son nom, ou bien mettre un condom… C’était psychologique et il ne parviendrait pas à faire l’amour l’esprit tranquille si il ne savait pas. Après tout, qu’est-ce que cela pouvait bien changer? Il ne connaissait pas davantage cette femme avec son nom. Le problème était qu’il la connaissait simplement de réputation justement.

    Il se mit tout de même à rire doucement lorsqu’elle lui expliqua ce qu’était un compromis et de ne pas la forcer à mettre un minuteur. Elle se venta même qu’il attendrait avec impatience le moment où elle reprendrait le dessus. Toutefois la suite fut trop rapide au goût de l’homme qui s’imaginait parfaitement prendre le condom dans son tiroir et ensuite il n’aurait plus eu la moindre inquiétude. Il n’avait qu’une seule chose en tête, qu’elle tombe enceinte. Il n’imaginait pas les ennuis. Pas maintenant il ne pouvait pas faire ça. Elle se frotta contre lui puis soudainement il glissa en elle. Il ouvrit la bouche avec surprise et la fixe, déconfit. Il changea rapidement d’expression lorsqu’elle amorça un mouvement de va et vient. Il la désirait tellement que ce mouvement était un véritable soulagement. Son visage reprit rapidement une expression plus amusé et il posa ses mains sur elle, la caressant, l’attirant légèrement vers lui pour pouvoir la toucher puisqu’elle voulait visiblement rester sur le dessus. Mais rapidement les inquiétudes reprirent le dessus. Il devait savoir. Il devait absolument connaître son nom. Uniquement son nom. Il l’attira vers lui, jusqu’à ce qu’elle soit entièrement couchée contre son torse, toujours en lui et il demanda, murmurant à son oreille :

    « Dit moi ton nom. »

    Une voix sèche tout en étant douce, il la maintenait, elle ne pouvait plus bouger, elle ne pouvait plus le rendre fou et lui faire oublier ses idées étranges. Il voulait simplement connaître son nom, c’était une idée fixe. Il avait peur de répéter un scénario vieux de vingt-quatre ans. Faire tomber une femme inconnue enceinte. Évidement il était tombé amoureux d’Aurélia et avant qu’elle ne le quitte il avait passé les plus beaux moments de sa vie. Mais il ne voulait pas qu’une autre femme tombe enceinte de lui. Simple crainte. Pourtant si elle avait à tomber enceinte, ce n’était pas un nom qui l’en empêcherait. Mais ensuite il pourrait être rationnel et se dire qu’une femme dans le genre de celle-ci devait prendre elle-même ses précautions pour ce genre de nuit. Elle était douée, elle était belle, elle n’avait certainement pas envi de tomber enceinte. Elle avait l’expérience pour elle. Et surtout elle ne lui avait absolument pas laissé le temps d’enfiler quoi que ce soit pour se protéger.

    « Dit le moi, j’ai besoin de savoir… » murmura-t-il, il ajouta rapidement : « Je te jure que tu pourras faire de moi ce que tu veux ensuite, mais je veux simplement ton nom »

    Oh… la mauvaise promesse. « faire de moi ce que tu veux » cela ne devait pas tomber dans l’oreille d’un sourd. Il faisait une promesse à une femme avec qui il ne devait surtout pas baiser. Une femme qui avait son membre en elle et qui se préparait réellement à faire de lui ce qu’elle désirait. Ce n’était qu’une promesse qui l’aiderait à parvenir à ses fins n’est-ce pas? Délicatement, il lui embrassa le cou et l’oreille, question de ne pas l’empêcher de parler avec sa bouche. Il fit descendre ses mains habile sur le corps nu de la quadragénaire caressant chaque parce de son corps qu’il pouvait atteindre ainsi. Elle devait savoir que maintenant il n’abandonnerait pas. Il ne voulait absolument pas se soustraire d’elle. Mais il ne la laisserait pas continuer son mouvement si elle ne lui disait pas son nom. En somme, ils resteraient ainsi quoi.
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MessageSujet: Re: Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia]   Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia] EmptyVen 26 Juin - 15:45


    Ils s’amusaient, l’un comme l’autre, ils s’amusaient de se tenir tête, de flirter sans limite à l’intérieur de cette voiture, de s’exciter mutuellement alors qu’ils attendaient qu’un bouchon se déloge pour pouvoir enfin concrétiser tous ses préliminaires dans l’enceinte close d’une maison. Non pas qu’ils n’auraient pu faire ça ailleurs, mais il fallait avouer qu’entre la banquette arrière et un lit confortable dans une maison non explosée aux regards des passants, elle préférait le lit, question de goût ! Elle prenait son pied de la voir se damner de la sorte avec une application toute particulière, il ne savait rien d’elle, il ne savait pas qui elle était, il ignorait même son prénom, tout autre homme aurait freiné des quatre fers, mais pas Dante Spinelli. Il avait encore moins d’étique qu’elle, il était un homme à femme, il enchaînait les conquêtes, il se fichait presque de savoir avec qui il faisait l’amour tant que la belle n’était pas trop farouche. Elle ne regretterait pas cette nuit pour une simple et bonne raison, contrairement à Dante elle n’avait pas de liens avec sa famille, pas d’amis, pas d’ex officiel, ce n’était pour elle que du sexe, rien de plus. Il n’y aurait aucune conséquences pour elle, Paolo n’avait jamais rien dit, il s’était contenter de faire chambre à part lorsque ses infidélités l’avait blessé une fois de trop, quant à Sara la petite avait prit son envol lorsqu’elle avait quitté la demeure familiale, et Olivia ne lui avait jamais du le moindre compte. Dante n’était qu’une proie de plus, un homme qui tomberait dans ses filets sans même savoir ce qu’il faisait, elle causerait sa perte si cela se savait, et cela se saurait à coût sur, que son fils lui en veuille, que Sara décide de mener une vendetta contre lui et elle, Olivia s’en fichait, elle se fichait de savoir quel ennuis elle causerait au Spinelli Médium. Ce qu’elle voulait c’était franchir cet interdit… Et elle était bien partit pour réaliser cet objectif.

    Olivia avait bien des défauts et elle les assumait complètement, mais ses défauts tenaient plus à sa manière de penser, d’agir qu’à son physique. Non parce que physiquement il était difficile de faire plus sensuel et plus musclée que le corps de la sulfureuse rousse. Elle avait tout ce qu’il fallait pour rendre un homme fou, des hanches délicates, une souplesse à faire pâlir d’envie un artiste de cirque, une poitrine voluptueuse et encore ferme malgré l’âge avancé de la belle, des fesses musclées et bombées, un ventre plat et ferme, une peau dorée et douce comme du satin. Elle était belle à se damner et une sensualité folle se dégageait de ce corps ouvert et rebondie. Son corps reflétait une simple pensée « je peux te faire du bien ». Un de ses amants lui avait un jour dit que son corps tout entier, son être, sa démarche, était une invitation au plaisir, qu’elle était faite pour être aimé. Sauf que voila Olivia procurait du bien être avec son corps, mais ne se laissait pas approcher, sentimentalement parlant il s’entend. Elle tenait à sa liberté, elle était plus du genre à aimer les hommes au pluriel que de poser ses valises dans une seule et unique maison. Elle savait comment rendre un homme fou, elle savait aussi que son corps, son intelligence et son côté « sale garce manipulatrice » lui assurait de régner en maîtresse sur Rome, en tirant les ficelles dans l’ombre. Dante était autre chose, une sorte de défis personnel, coucher avec lui ne lui apporterait que du plaisir, rien de plus, il n’était pas un de ses amants qu’elle manipulerait, non lui c’était plus « intime ». Elle voulait coucher avec lui parce qu’elle en avait envie, elle voulait « évaluer » la concurrence si vous voulez, et puis si ainsi elle pouvait mettre un peu les Spinelli dans la misère ce n’était pas plus mal, après tout elle était tout de même une Giolitti et n’avait elle pas juré d’aider son mari devant l’autel ? Bon elle avait aussi juré de l’aimer, de le chérir et de lui être fidèle, sur ses petits points elle avait un peu plus de mal, mais bon, personne n’était parfais ! D’ailleurs sa réputation parlait pour elle sur ses petits détails, elle avait fait de Paolo le plus grand cocu de la ville, un cocu qui n’ignorait pas son statut mais ne faisait rien pour y remédier. Paolo était un faible, mais un faible intelligent en un sorte, il savait qu’Olivia était une salope, mais que pour une garce elle savait plutôt bien mener sa barque, elle offrait son corps à des hommes influents, des hommes qui s’ils faisaient un seul faux pas, que se soit en politique ou dans la vie de tout les jours ses voyaient rapidement corriger par la belle, n’aller pas croire qu’Olivia n’aidait pas Paolo, elle le faisait mais il n’en avait pas vraiment conscience.

    Pour la première fois depuis longtemps elle sentait une certaine résistance chez Dante alors qu’elle se refusait à lui avouer son identité, c’était étrange, elle l’avait crut cuit à point, plus suffisant en possession de ses facultés d’analyse et de réflexion pour insister. Elle aurait du se douté qu’il opposerait un peu de résistance par principes, parce sur ce coup là il avait surement plus à perdre qu’elle, et puis s’il aimait autant les femmes qu’il le laissait croire il ne pourrait décemment par faire l’amour à une femme dont il ignorait même le prénom. Alors elle prit les choses en main si je puis le dire, avant qu’il ne la stoppe, elle le déshabilla en explorant son corps de ses lèvres, nue sur lui elle profita d’une certaine apathie chez le quadragénaire pour « le prendre », elle le glissa en elle si l’expression convenait, le chevauchant soudainement, il la fixait proprement surpris par un tel comportement, elle sourit énigmatique et amusée, pour faire taire la rébellion dans son regard elle amorça un mouvement fluide des hanches du haut vers le bas, prenant plaisir à voir la surpris remplacé par la satisfaction dans ses yeux. Il sembla se prendre au jeu, glissant ses mains sur elle, caressant sa peau, l’attirant à lui pour mieux l’explorer, ne se rebellant plus sur le fait d’être nu au dessous d’elle. Elle se retrouva bientôt coucher sur son torse, elle lui vola un baiser avant qu’il ne l’attire un peu plus près pour murmurer à son oreille d’une voix sèche bien que toujours velouté. « Dit moi ton nom ».

    Il la maintenait contre lui, l’empêchant d’une main posée dans le creux de ses reins de continuer son envoutant mouvement des hanches. Il l’immobilisait, l’empêchant ainsi de lui faire oublier d’un petit cercle du bassin ce à quoi il pensait. Et merde, ce qu’elle avait craint s’était produit, il s’était fait trop curieux, heureusement pour elle, pour une fois elle avait eut un plan de secours, s’était en pensant à son mari et à sa fille qu’elle avait d’ailleurs eut cette idée dans la voiture, sa fille Sara Tosca Giolitti que de l’intimité son père appelait tout simplement « Tosca ». Cette idée était étrange, enfin pas tant que ça, après tout si Paolo utilisait son second prénom avec leur fille, pourquoi ne pas en faire de même avec son amant ? Il semblait que le simple faite de lui avouer un prénom et un nom l’apaiserait automatiquement. Tout le monde en ville connaissait Olivia Giolitti mais qui personne ne connaissait celle qu’elle avait été avant, la famille de Paolo avait suffisamment fait le ménage pour que personne n’apprenne ses origines modestes, son statut de roturière lors de leur mariage. Dante insista à nouveau, semblant justifier ce besoin qu’il avait de savoir qui elle était, promettant qu’elle pourrait faire de lui ce qu’elle voudrait une fois qu’elle le lui aurait dit. Elle sourit doucement et passa un doigt taquin sur les lèvres de son amant.

    « Tu devrais te méfier de ce que tu souhaites Beau Gosse. » Elle l’embrassa presque doucement, comme une femme se devait de le faire dans pareil situation. « Et faire attention à ce que tu promets… Je te l’ai dis, je ne suis pas très catholique… Encore moins très… Coincée dirais-je… » Il picorait son cou de baisers, son oreille, ses mains caressaient doucement sa peau lorsqu’elle se pencha un peu plus pour murmurer à son oreille. « Vittoria Pastore… Quand je t’ai dis que je n’avais rien de catholique… » Sensuelle elle mordilla le lobe de son oreille entre ses dents. « Alors…. Tu comptes me retenir prisonnière ainsi toute la nuit ou profiter de la situation pour me faire concrètement l’amour ? »
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MessageSujet: Re: Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia]   Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia] EmptyDim 28 Juin - 16:12

    Malgré la peur qu’une autre femme tombe enceinte de lui, Dante ne pouvait se cacher qu’il avait rarement eu autant envi d’une femme. Cette créature avait envi de lui, elle le désirait c’était évident et le contraire était aussi bon. Il voulait être son meilleur coup et elle voulait évidement l’épater également. Voilà ce qui faisait d’eux de très bons amants, surtout l’un envers l’autre. Olivia n’était pas idiote. Elle connaissait assez Dante pour savoir qu’il n’était pas comme elle, qu’il ne coucherait pas avec la belle rousse si il savait qui elle était. Il avait beaucoup trop à perdre et elle à gagner. Pas que la sicilienne avait quoi que ce soit contre lui, peut-être un peu contre sa famille. Elle n’avait tout simplement pas de principes et l’italien en avait lui, bien que cela pouvait sembler assez surprenant. Il aurait couché avec elle sans connaître son nom, parce que tout allait si vite, parce qu’elle le rendait fou et qu’il avait besoin d’elle, de sentir son corps, de lui faire l’amour. Mais il avait eu un simple petit doute qui avait germé dans son esprit et qui avait finit par prendre une place importante; le simple souvenir de la grossesse d’Aurélia. Si une femme retombait enceinte de lui, il y aurait énormément de chose qu’il modifierait. Mais il ne voulait pas d’un autre enfant. Non, premièrement pas avec n’importe quelle femme et puis, il était trop vieux et encore trop irresponsable. Il doutait surtout que Julian ne l’accepte un jour. Fin bref, il ne voulait pas d’enfants et le souvenir, la perspective de répéter un scénario l’avait assez coupé pour qu’il exige de connaître son nom. Il l’avait donc attirée vers lui et l’avait emprisonnée histoire qu’elle ne poursuive pas les mouvements de bassin destinés à lui faire perdre la raison. Parce qu’elle savait bien que cela fonctionnait. Il poursuivait tout de même les caresses, lui permettant ainsi de faire durer le plaisir, de relaxer un peu, il ne savait pas pourquoi elle était allée aussi rapidement, mais lui il avait besoin que cela dure un moment… Si bien qu’il lui fit une promesse plutôt dangereuse vu la femme avec qui il se trouvait. Il lui avait promit de faire tout ce qu’elle voulait si elle lui disait simplement son nom. Il se retrouva avec un doigt sur les lèvres, quelques mots lui disant qu’il devait se méfier des promesses qu’il faisait. Il récolta toutefois un magnifique baisé, alors des promesses comme cela, il pouvait très bien en faire. D’ailleurs, une idée germa dans son esprit, idée dont il lui ferait part lorsqu’elle lui aurait dit son nom, ce qui ne tarda pas à venir. Vittoria Pastore. Et bien, le mystère était résolu, et en prime il ne craignait plus qu’elle tombe enceinte. Comme par magie.
    « Alors…. Tu comptes me retenir prisonnière ainsi toute la nuit ou profiter de la situation pour me faire concrètement l’amour ? »
    Une lueur de défi traversa son regard. Il fixa Olivia un moment puis d’un coup de bassin il rétablit ce qui devait être. Lui au dessus et elle en dessous. Puisqu’ils allaient faire de cette nuit une baise mémorable, aussi bien rendre les choses… Plus disons, le, spéciale. Il l’embrassa de nouveau, toujours en elle et murmura à son oreille :

    « Comme j’ai brisé ton fantasme… Tu n’en n’aurais pas un autre en réserve? Je pourrais t’attacher… comme ça, tu ne me ferais pas tomber sur le dos une autre fois… » dit-t-il d’un air taquin et visiblement amusé par la situation.

    Oh oui, il comptait bien lui faire l’amour. Mais il retournait la situation d’une certaine façon. Elle semblait pressée et lui il l’avait été dans la voiture. Elle l’avait fait patienter de la plus horrible des façons en allant s’installer à l’arrière, sans qu’il ne puis lui toucher. Maintenant c’était à lui de la faire souffrir un peu… D’ailleurs, il amorça un mouvement de bassin si lent en elle que ça, ça c’était une véritable torture. Il était lent, il voulait faire durer le plaisir et rendre cette femme aussi folle qu’il ne l’avait été dans l’attente et le désir. Évidement, il se faisait souffrir, mais c’était toujours moins cruel pour la personne qui avait le dessus, qui maniait les ficelles et qui décidait de la suite des évènements. Il ne doutait pas qu’elle trouverait le moyen de prendre le volant et de décider de la direction. Visiblement elle avait beaucoup d’expérience là-dedans et comme de son côté il n’avait jamais réellement connu de femme qui ne lui laissait pas guider leur histoire d’un soir, Olivia était certainement la première à mettre autant de résistance. Il lui avait demandé un fantasme. Est-ce que lui en avait un? Probablement, tout homme avait un fantasmes n’est-ce pas? Mais de là à savoir ce qu’il était réellement. En fait, cette femme devait être le fantasme de tout homme n’est-ce pas? Belle, sexy et chaude, très chaude, elle ne laissait pas le moindre moment de répits et voilà ce qui effrayait le quadragénaire. Peut-être une petite crainte de ne pas suivre la cadence, ne pas être capable de suivre son rythme à elle. Pourtant, ce n’était pas l’expérience qui manquait. Il ne voulait simplement pas rater son coup, alors il était bien heureux d’être parvenu à mettre un frein durant quelques instants. Poursuivant sa douce torture sur le corps de la belle rousse il parcourait son corps avec sa langue et sa bouche. S’attardant longuement sur ses seins à qui il réserva un traitement de faveur. Il adorait cette position. Lorsqu’il était sur le dos il ne pouvait pas faire ça, il devait se contenter de regarder et de caresser un peu à tâtons.

    « Alors? ne me dis pas que me cacher ton identité était l’unique chose qui t’excitait… » murmura-t-il en venant reprendre possession de sa bouche. Maintenant toujours le rythme lent de son bassin qui devait réellement rendre cette femme folle. Elle qui aimait avoir le pouvoir, qui semblait établir un rythme assez rapide, Dante lui infligeait une lenteur des plus insoutenable. Mais cela l’amusait énormément, il guettait ses réactions, la fixait d’un air moqueur. Cette nuit serait mémorable puisque visiblement les deux êtres aimaient posséder l’autre et savait que faire pour rendre les choses plus… Compliquées? Ce n’était pas le bon mot mais en fait il était parfait pour exprimer ce qui se déroulait dans cette chambre. Compliqué, et réellement torride. Les amants dangereux de Rome s’étaient trouvés, même si l’un d’eux ignorait totalement à qui il avait affaire croyant baiser avec une certaine Vittoria Pastore… À coup sûr, il serait furieux lorsqu’il apprendrait la vérité. Surtout qu’elle n’était pas belle à entendre. Elle lui dissimulait qui elle était réellement, lui cachait qu’il faisait une énorme bêtise aux conséquences importantes sur sa vie. Il aurait des ennuis avec Paolo, avec son fils, avec la copine de son fils et le restant de sa famille. Il flirtait avec l’ennemi, baisait avec une femme mariée. Ce qu’il faisait cette nuit était tout simplement horrible. Et elle en était plus que fière. Il était là, heureux, et ne savait même pas ce qu’il faisait. Enfin oui il savait qu’il baisait une femme magnifique avec beaucoup d’expérience, mais ce n’était pas assez pour allumer une petite lumière dans son esprit sur son identité.
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MessageSujet: Re: Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia]   Avoir satan en personne dans son lit...[Olivia] EmptyLun 6 Juil - 17:56

    A peine lui eut-elle dévoilé son identité qu’elle vit dans ses yeux disparaitre toutes traces de craintes, d’appréhension mais surtout toutes traces de résistances. Elle avait gagné, il n’avait pas marché, il avait couru, les hommes étaient si faciles à manipuler que parfois cela semblait si facile qu’elle envisageait un break. Si la salope sans cœur coureuse de pantalons avait parfois envisagé de se ranger quelques temps, mais très vite le naturel était revenu au galop… Si elle avait été heureuse sexuellement et émotionnellement avec Paolo, elle ne l’aurait probablement jamais trompé, si elle avait été amoureuse de lui, si elle avait tenue à sa fille, elle aurait pu renoncer à son rêve d’indépendance. Mais voila toute sa vie elle n’avait fait qu’intriguer pour obtenir ce qu’elle désirait, ce n’était pas maintenant qu’elle allait brusquement changer dans un élan de conscience. Mais le problème venait justement de là, si une chose manquait bien à Olivia Giolitti c’était une conscience, elle n’éprouvait ni remords, ni culpabilité, et encore moins de compassion. Et c’était là le vrai problème, elle ne serait jamais la mère que Sara attendait au plus profond d’elle-même, elle ne serait jamais l’épouse modèle et fidèle dont rêvait Paolo, elle ne pouvait les aimés qu’à sa façon, et sa manière d’aimer impliquait de les blesser parfois. Et ce soir n’échappait pas à cette malheureuse règle, sa liberté avait ce coût pour ceux qu’elle avait dans sa vie. Ce soir elle ferrait l’amour avec Dante Spinelli, c’était ce qu’elle voulait et elle obtenait toujours ce qu’elle désirait quitte à mentir pour l’obtenir. Ce n’était qu’une demi-vérité qu’elle avait énoncé, elle avait été une Pastore, et son second prénom était Vittoria. Elle avait simplement déformé la vérité, et dieu qu’elle ne le regrettait pas !

    « Alors…. Tu comptes me retenir prisonnière ainsi toute la nuit ou profiter de la situation pour me faire concrètement l’amour ? »


    Elle l’avait provoquée pour une simple raison, afin qu’il ne réfléchisse pas, Une lueur de défi traversa son regard et Olivia comprit que c’était dans la poche, il allait arrêter de penser et se concentrer maintenant ce qui n’était pas plus mal, elle commençait à sentir de la frustration dans son corps d’être ainsi bloquée. Il décida finalement de réagir en rétablissant ce qui pour lui était l’ordre naturel des choses, lui au dessus elle en dessous. D’un coup habile du bassin il la fit passer sous elle, le dos de la belle rousse allant se reposer contre le matelas. Elle sourit contre ses lèvres alors qu’il demandait dans un souffle si elle n’aurait pas un autre fantasme à lui proposer, comme par exemple l’attacher, afin qu’il est le contrôle de la situation. Avant qu’il eut le temps de se reculer elle lui lapa le lobe de l’oreille et mordilla doucement sa peau histoire de lui prouver qu’elle avait beau être en dessous il ne commandait toujours pas.

    « Umh si c’était plutôt moi qui t’attachais… Tu avais plutôt l’air d’aimer ça dans la voiture. » Elle retint à grand peine un gémissement lorsqu’il bougea involontairement en elle en s’appuyant sur ses mains pour ne pas l’écraser de son poids.

    La situation l’amusait visiblement, il prenait ce petit air taquin, il avait ce sourire en coin qui montrait qu’il prenait plaisir à la dominer ainsi sans qu’elle ne puisse réagir pour reprendre le contrôle. Elle savait qu’il allait lui faire payer ce qu’elle lui avait fait subir dans la voiture, et que pour ralentir le rythme endiablé qu’elle imposait il allait s’enfoncer dans la lenteur. Elle avait deviné juste car déjà il entamait un long et lent va et vient en elle, un mouvement d’une lenteur absolu qui la fit soupirer et rejeter la tête en arrière. Il désirait la rendre folle, la faire se languir, supplier peut être, et il s’y prenait de la meilleure façon qui était, il savait exactement où appuyer pour la faire réagir, entre ses bras elle s’abandonnait quelques instants, n’avait-elle pas parlé de compromis tout à l’heure ? Elle lui laissait les reines un instant, heureuse de la sentir se damner avec autant d’application en vérité. Tandis qu’il dévorait doucement sa poitrine et son buste de baiser elle se cambra un peu plus contre lui, plaquant son ventre contre le sien, creusant les reins se cambrant un peu plus pour facilité son exploration. Elle soupirait doucement au rythme de ses caresses du lent mouvement de ses hanches, du va et vient de son sexe en elle.

    « Alors? Ne me dis pas que me cacher ton identité était l’unique chose qui t’excitait… »

    « Alors je ne te le dirais pas… Mais j’avoue que faire de toi mon amant est un fantasme amplement suffisant pour le moment… » Murmura-t-elle en lui rendant son baiser avec autant de passion, glissant ses mains le long du torse de son amant pour effleurer du bout des doigts ses abdominaux, son bas ventre et enfin cet endroit où ils ne faisaient plus qu’un.

    Elle gémit, se cambra violement contre lui lorsqu’il pénétra à nouveau en elle, dieu que c’était bon, elle vibrait littéralement en cet instant, ses muscles internes se contractaient presque douloureusement au passage du membre de son amant, elle n’avait jamais ressentit cela, d’ordinaire elle menait la danse, elle choisissait le moment, le lieu, l’individu, le comment, le pourquoi. Elle avait entièrement le contrôle d’ordinaire. Mais cette petite expérience lui plaisait, c’était torride, sensuel et extrêmement plaisant, que demander de plus ? Elle n’avait plus eut un tel sentiment de plaisir depuis des années. Prenant soudainement conscience qu’il allait la mener a l’orgasme rapidement si elle ne reprenait pas les reines elle se cambra contre lui, noua ses bras autour de sa nuque et le fit basculer sur le côté, se retrouvant à nouveau au dessus de lui, amusé et surprise aussi qu’il n’eut pas opposé une résistance particulière.


    « Un fantasme m’est brusquement revenu en mémoire… » Murmura t-elle sensuellement en séparant leur deux corps parfaitement lié a partir de la ceinture pour s’asseoir à califourchon sur lui. « Que dirais tu de rester sage un moment pendant que je m’occupe de toi et de ton ami… » Murmura t-elle en descendant doucement le long de son corps. Elle allait prendre son membre entre ses lèvres quand la sonnerie du téléphone mobile d’Olivia brisa ce moment hyper sensuel. Elle fronça les sourcils en reconnaissant la sonnerie qu’elle avait attribuée à son mari. Et merde, les photos étaient elles déjà parues ? Troublée elle se redressa et l’embrassa, pourquoi était-elle étonnée que Paolo l’appelle ? Pourquoi éprouvait-elle brusquement un sentiment d’urgence, d’angoisse ? Elle secoua la tête, l’embrassa de nouveau avec passion tenant de s’enlever son mari et sa fille de l’esprit, cherchant à se perdre dans ce baiser.

    « Aide moi a oublié le reste du monde s’il te plait… » Murmura t-elle soudainement. « Prends moi… »
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