Sandrolini L. Catharina

EYELINER.
♛ FT. Nina Dobrev

PRÉSENTE-TOI MON GARS. mon nom c'est Sandrolini et Catharina, Louna c'est l'intitulé qu'on m'a collé à ma naissance à Rome. J'ai 21 ans et je suis célibataire, malheureusement. Mais qui sais, peut-être que dans cinq petite minutes, il y aura quelqu'un. (a). Qui je suis ? Je suis étudiante, ce qui fait que mon banquier ne m'apprécie pas réellement et m'appelle souvent pour des petits découverts de rien du tout, mais ça va, je le vis bien. . T'ES A ROME DEPUIS LONGTEMPS ? Je viens d'arriver, il y a à peine une heure, que j'ai posée les pieds sur le sol italien. Mais, je suis née ici, il y a vingt et un ans dans un petit hôpital privé. Je suis partie il y a trois ans déjà, pour poursuivre mes études dans une université prestigieuse. Donc, me revoilà chez moi, enfin. Il me tardait de retrouver Rome, ces quartiers, ces habitants. ET NIVEAU SEXE OPPOSÉ, COMMENT ÇA SE PASSE ? Je suis hétérosexuelle, j'aime les hommes. Enfin, un à la fois c'est mieux. C'est moins compliqué pour les prénoms. Non, j'ai jamais testé, je suis plutôt du genre fidèle. Il m'est arrivé de passer une nuit avec un homme dont je ne savais rien, quelques fois. Mais, j'étais sous l'emprise de l'alcool et surtout je traversais des périodes difficiles. J'aime les relations stables et sérieuses, j'ai donné pour les petites histoires d'adolescents. Si j'ai déjà testé avec une femme ? Non et sincèrement cela ne m'attire pas du tout. En ce moment, je suis libre comme l'aire, aucun individu de sexe opposé n'est dans les alentours. ET LA FAMILLE, SISI BIEN OU QUOI ? Je ne connais pas mes parents biologiques et au fond tant mieux. Du peu que je sais, ils ne m'aimaient pas. Mais, vous m'avez parlé famille non ? Et bien, j'ai une famille. Une vraie famille soudé. Mes parents adoptifs sont des personnes admirables pour qui j'ai un respect inqualifiable. Ils m'ont tout apprit et ils m'ont donné une petite soeur, Annaëlle avec qui je m'entendais très bien. Maintenant, c'est assez compliqué. Mais j'essaie de me racheter, je l'aime, c'est ma soeur. J'ai juste fait une erreur, ça arrive à tout le monde. ET TON RAPPORT AVEC LE FRIC ? L'argent, mes parents en ont, c'est avec ça qu'ils m'ont payé mes études d'histoire de l'art et du patrimoine. Sinon, moi ? Disons, que comme je l'ai dit tout à l'heure, mon banquier ne me porte pas vraiment dans son coeur et j'ai souvent le droit à de petits coups de fil, pas très aimable d'ailleurs. Il faudrait que je le lui dise, la prochaine fois. Bref, je travaille de temps en temps, mais en addict du shopping, j'aime bien faire les magasins donc l'argent est vite dépensée et il faut dire que j'ai mes factures à payer même si mes parents m'aident pour une partie, il faut que je trouve l'argent manquant moi-même. Rassurez-vous, je ne fais pas le trottoir pour arrondir mes fins de mois, c'est vraiment pas mon genre.

C'EST MON HISTOIRE.

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Une petite chambre, minuscule même, dans un immeuble avec deux lits d'une personne, un simple drap quadrillé recouvrant chacun d'eux, dans un tout petit espace. Décoration inexistante, quant à des jouets, seule une petite poupée trône sur l'un des deux lits. Décor désolant d'orphelinat qu'à connut Catharina durant son enfance. Une petite fenêtre mal isolée laisse percevoir la lueur du soleil et passer l'air froid d'hiver. Sur le sol, juste à côté de la fenêtre, une petite fille attendait sagement, le regard perdus à l'horizon. Dur épreuve pour une enfant. Catharina est, comme le disaient ces parents biologiques un grave accident, la petite fille ne pouvait que le ressentir puisque ces deux personnes ne lui montrer aucun intérêt, aucune attention. Parfois même, ils avaient même des mots très dur envers elle, voir bien plus. Même si, elle n'avait qu'un an et demi lorsqu'ils l'abandonnèrent, la petite fille comprenait bien ce qui se passait et ressentait, malheureusement la haine que ses parents lui portaient. Un matin d'Aôut, ils emmenèrent leur fille dans un foyer, un orphelinat pour petites filles. Ils la déposèrent s'en avoir le moindre regret. Là, elle vécut au grès des visites de parents potentiels. Catharina, n'a aucun souvenir de son enfance chez ses parents biologique et c'est peut-être mieux ainsi, cela ne la ferait souffrir que bien plus. Trois mois à peines après son admission à l'orphelinat, un couple vint rendre visite à Catharina. Lucia et Michelangelo Sandrolini ne pouvaient avoir d'enfants, en effet la jeune femme enchaînait les fausses couches, à leurs plus grand désespoir. Lorsqu'ils eurent accepté le fait qu'ils ne pourraient jamais avoir d'enfant "naturel", de leurs sangs, ils décidèrent d'opter pour l'adoption. C'est pour cela, que ce jour ils étaient là, dans un orphelinat de Rome. C'est ce jour, que pour la première fois, la petite Catharina rencontra ses parents adoptifs, ces nouveaux parents, ceux qui l'aimeraient réellement comme le font de véritables parents. Car on peut le dire, les Sandrolini eurent le coup de coeur pour la petite demoiselle. La jeune femme sera Catherina dans ses bras. La petite fille se s'y sentait bien. Un peu de chaleur humaine, d'amour c'était nouveau pour elle et pour la première fois depuis son arrivée à l'orphelinat elle se mit à sourire, un léger sourire certes, mais un sourire quand même. Catherina venait enfin de trouvé une famille, une vraie, rien qu'a elle. Les Sandrolini étaient aux petits soins pour elle, ils lui avaient installé une sublime chambre tout en rose, avec des jouets et des peluches partout. Elle était heureuse pour la première fois de sa vie. Pour son premier anniversaire dans sa famille, le 23 février Luca annonça à sa princesse qu'elle allait avoir une petite soeur. En effet, le couple avaient entamé une seconde demande d'adoption. Annaëlle arriva rapidement à la maison, elle deux ans de moins que Catharina, mais cela n'empêcha pas les deux petites d'être comme les cinq doigts de la main, inséparables. Elles se disaient tout, partageaient tout.

L'année des dix ans de Catharina, elle commença à changer. En effet, elle ne confiait plus les moindres détails de sa vie à sa soeur, comme elle le faisait par le passé. Bon, ok, elle ne lui confiait plus rien en ce qui concernait ses sentiments. C'est vrai qu'avec le temps, c'était beaucoup plus difficile de tout partageait avec Annaëlle, qui d'une part et un peu plus jeune et car, Catharina voulait plus d'indépendance et ne pas toujours avoir à raconter sa vie à sa soeur. Cela faisait déjà quelques semaines, que Catharina avait changé de clan à le collège. A quinze ans, elle voulait être populaire et pour cela elle délaissait sa propre soeur, beaucoup trop sage aux yeux de ses camarades de classe. Et c'est que Catherina en pinçait pour un garçon de sa classe, tout ce qu'il y a de plus mignon, mais surtout d'inaccessible. Plus vieux qu'elle et surtout très mignon et beaucoup demandé. Chose tout à fait normal pour son âge. Le 15 mai de cette année là, la jeune fille avait été invité à la fête des dit populaires de l'école par ce même garçon, Lucas. Les parents des filles étés de sortie. Seules à la maison, Annaëlle préparait la soirée qu'elles avaient prévue toutes les deux il y a déjà plusieurs mois de cela, Catharina, elle comptait bien sortir, malgré l'interdiction de leur mère et la soirée mensuelle entre soeurs. La jeune fille, c'était habillé et surtout maquillé choses que Lucia, sa mère ne supportait pas, elle la trouvait beaucoup trop jeune pour cela. Elle allait passer pas la fenêtre quand sa soeur entra dans sa chambre, en comprenant ce qu'elle était en train de faire, Annaëlle regarda Catharina bouche bée.

Annaëlle tenta bien évidemment de raisonner sa soeur, en vain. Celle ci, était déterminé à aller à cette soirée. Catharina commença à élever la voix sur la pauvre Annaëlle qui, elle n'avait rien demandé. La jeune fille n'était pas décidé à céder au caprice de sa soeur, une interdiction reste une interdiction. Elle ne devait pas sortir, un point c'est tout. Elles se disputèrent longuement, pendant une dizaine de minutes. Et puis, Catharina en eu marre, elle poussa violemment sa soeur en dehors de sa chambre, qui se retrouva projeté contre le mur du couloir d'une force qu'elle n'aurait pu imaginer. Cath ferma la porte, la bloqua avec sa chaise de bureau et prit la fuite par la fenêtre. Elle avait cru qu'elle allait tuer sa soeur, la frapper. Au fond, ça lui faisait mal de se comporter de la sorte avec sa soeur, mais l'amour rend fou. La preuve. Depuis ce jour, Annaëlle en veut terriblement à sa soeur. La jeune femme tente pourtant depuis toutes ses années de ce racheter, de se faire pardonner. En vain. Catharina s'en veut terriblement et ne supporte pas l'idée que sa soeur puisse la detester et penser ne plus jamais lui parler. "Passe moi le sel"est le genre de phrase qu'elles échangent encore, rien de plus. C'est le silence, le vide. Une simple erreur peut causer tant de dégâts, Catharina s'en rend bien compte désormais.

A quinze ans, la jeune fille se découvrit une véritable passion, la photographie. C'est lors d'une journée à la campagne en famille qu'elle découvrit l'intérêt de la photographie. Le printemps, rien de mieux pour faire de la photo, les fleurs, les oiseaux, les insectes, le soleil, les sourires, cocktail parfait pour réaliser de belles oeuvres. Voyant leur fille s'épanouir dans ce domaine, les Sandrolini payèrent des cours avec des professionnels à Catharina. Pendant leurs nombreuses vacances à l'étranger, la jeune fille vit d'une autre oeil grâce à son appareil photo, tous les monuments historiques de chaque pays. Notamment, le patrimoine français pour lequel elle s'est découvert, peu après la photographie un intérêt particulier pour tout le style de la renaissance, entre autre les Chateaux de la Loire. A la fin de son cycle scolaire secondaire, elle décida d'étudier l'histoire de l'art avec comme spécialité l'histoire, de France notamment. Seulement voilà, ces parents avaient une idée bien particulière de l'université dans laquelle elle ferait ses études. Un soir, alors qu'ils étaient en train de diner, le couple Sandrolini annonça à Catharina qu'il avait trouvé une université dans laquelle elle pourrait étudier ce qui lui plaisait. Seulement voilà, cette université ne se trouve pas à Rome, ni en Italie. Alors, forcement, la jeune fille fût hésitante au départ, mais quand ses parents lui annoncèrent que l'université qu'ils lui offraient se trouvait à Paris et n'était autre que celle de la Sorbone, Catharina fût tellement surprise qu'elle en laissa sa fourchette tomber dans son assiette. Ensuite, ce fût la joie, les remerciements, les pleurs. Et vain, le moment de partir, de quitter le cocon familial, de prendre son envol. Catharina eut beaucoup de mal à quitter ceux qu'elle aimait, mais également sa ville natale. Rome, c'était toute sa vie, pourtant, à partir de ce jour elle vivrait dans la capitale la plus visitée au monde, Paris.

Les "adieux" à l'aéroport furent difficiles à vivre pour tous ceux qui étaient présents ce jour-là. Catharina prit place à bord de l'avion qui la conduirait jusqu'en France, le visage baigné de larmes. Une nouvelle vie s'offrait à elle, mais à quoi bon si ceux qui font notre bonheur ne sont pas avec nous ?

Trois ont passé, Catharina est devenue une véritable jeune femme. Toujours aussi dynamique et motivée, elle vient de terminer sa licence double à l'université de la Sorbone à Paris. Elle à réussit avec brio ses études et ses parents sont évidemment très fièrent d'elle. Annaëlle quant à elle, n'a toujours pas pardonné à sa soeur. A chaque fois qu'elles se parlaient au téléphone, cela finissait mal, au désespoir de Catharina. Aujourd'hui, Catharina est à bord d'un avion et elle fait pour la première fois depuis trois ans, depuis son départ, le chemin retour vers Rome. Catharina est comme apaisé à l'idée de retrouver le sol italien, sa terre natale. En descendant de l'avion, elle affichait un large sourire équivoque du bonheur qui l'animait. Aujourd'hui, si elle est de retour à Rome ce n'est pas pour un simple week-end ou un drame familial, non elle est de retour. Elle rentre au pays, comme dirait certain. Catharina compte bien reprendre sa vie ici et ne plus repartir. Rome, ses habitants, ses ruelles, ses amis, sa famille, tout lui a tellement manqué.

YOU LIKE. I DON'T Plat préféré : Les pâtes à la carbonara. Couleur Préférée : Hum, faut vraiment choisir ? On va dire, Fushia ou Vert ... J'en sais rien à vrai dire, j'aime toutes les couleurs. Livre Préféré : N'oublie pas que je t'attends, d'Amanda Stevens Musique Préférée : Femme libéré de Cookie Dingler Boisson Préférée : Citronnade. Parfum de Glace Préféré : Les cornets de glace Fraise-Citron, un vrai régal. Qui dit mieux ? Odeur Préférée : L'odeur du chocolat fondu. Endroit Préféré : Arles en Provence ou centre ville de Cardiff. A j'oubliez, Rome, Bien évidemment. Saison Préférée : Le printemps avec ses fleurs, ses oiseaux, son soleil... Pays Préféré : L'italie, la France et le Pays de Galles. Other ? : Hum ... Non.

Salut les gueux ! Mon prénom à moi c'est Aurélie, et Hope, Charlie, Eléa ... pour les intimes dont tu ne fais pas encore partie. J'ai atteins l'âge canonique de 17ans sans me faire renverser par un bus, ni mordre par une grand-mère. Je suis ici parce que le top-site obsession m'y a conduit, et si je compte vous pourrir l'existence à peu près 7j/7 c'est parce qu'emmerder le monde, c'est une raison d'être. J'ai trouvé le super code qui est Code parce que je suis trop fort. Et maintenant, on dit quoi ? Vive les kangourous !

CITTA ETERNA.